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bulle
26/1/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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C'est d'une fraîcheur et d'une 'tendreté' !
"c’est que fleure encore sur ses lèvres un odeur de barbe à papa" S'entend un double-sens subtil ici. Déjà le titre est plus qu'attirant. Une jolie démarche, ondulante de rythme. Bon, il y a bien ce "tel une" qui m'accroche, d'autant que je ne sais comment l'éviter pour certains de mes textes. Du coup, il m'a sauté aux yeux. Infime détail personnel, l'ensemble est chaloupé, et très coulant à mon oreille.. Comme quoi la 'simplicité' sait si bien authentifier les sentiments. J'aime beaucoup. |
Lhirondelle
28/1/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
Une première impression... un amour profond tout en fraîcheur décliné sous un regard bienveillant et protecteur. J'ai apprécié la quasi totalité des images de ce poème, un seul bémol pour moi "en saison vent vague" cela me laisse une impression de pas construit suffisamment. J'ai vraiment aimé : "avec la beauté candide d'un cerf-volant bleu jeans noué à ses dix-huit ans." En ce qui concerne la forme : Au vu de la quasi absence de ponctuation (une seule virgule et deux guillements) la découpe rythmique est un peu maladroite à mon sens. Cependant à la deuxième lecture, j'ai su mettre en place les respirations et cela fut plus agréable. Donc, dans l'ensemble, une lecture qui me plaît bien où la poésie est subtilement parfumée. Amicalement |
Garance
30/1/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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De bien belles images poétiques, empreintes d'originalité, qui évoquent avec une infinie délicatesse l'univers de l'enfance, et nous font partager le sentiment de l'amour maternel.
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colibam
30/1/2010
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Une belle ode à l'enfant qui s'envole sur un nuage de liberté, poussé par le vent du large.
Les vers sont de qualité inégale. J'ai aimé le premier, l'avant dernier ainsi que le "je veille", suspendu dans la compassion pudique du parent. "En saison vent vague" par contre sonne bizarrement. Un poème tout en simplicité mais agréable à lire. |
Anonyme
31/1/2010
a aimé ce texte
Bien ↓
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Plaisir d'un texte adressé à sa fille qu'on voudrait, juste un peu prolonger... De jolies images comme : "c'est que fleure encore sur ses lèvres" ; "mon amour sa lanterne chinoise pour enluminer le va-et-vient de la vie". Bref un ressenti positif pour un texte qui nous touche.
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Anonyme
4/2/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un texte très touchant, très joli ; j'ai beaucoup aimé le premier paragraphe et les deux premiers vers du deuxième. J'ai apprécié aussi la lanterne chinoise.
En revanche, comme d'autres, j'ai moins aimé "en saison vent vague". Merci pour ce joli poème tissé de fraîcheur et de tendresse. |
nora
4/2/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une première strophe exceptionnelle, une deuxième moins réussie et tout le reste - un soupir à la fois inquiet, heureux et nostalgique, riche de ce qui est innommable dans l'amour maternel.
Rythme intéressant, agréable, images originales, un je ne sais quoi de triste et de beau. Merci |
Anonyme
4/2/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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cerf-volant bleu jeans est une très belle image, le passage de l'enfance à l'adolescence a ici un parfum de friandise et d'innocence. Pleins de tendresses a travers le regard d'une maman. Par contre j'ai du mal à saisir ses vers " Mon amour, sa lanterne chinoise pour enluminer le va-et-vient de la vie".
Un rythme fluide, sans accroche. Une agréable lecture. |
Anonyme
4/2/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonsoir Iris ... Seule une femme, et pour cause, peut écrire avec cette douceur que confère l'amour maternel ! C'est simple mais émouvant ; voilà une jeune fille qui a beaucoup de chance d'avoir une maman qui veille sur elle et écrit de si beaux vers... Alex
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Chene
4/2/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonsoir
Je n'ai pas eu la chance de l'avoir en groupe de lecture, ce "cerf-volant", il m'aurait bien agréablement requinqué de bien des platitudes indigestes. Bref, tout de go j'apprécie beaucoup d'aspects dans ce poème : - tout d'abord l'émotion qui se ressent dès les premiers vers. - ensuite la délicatesse du phrasé en parfait accord avec ce sentiment maternel et lumineux si bien exprimé avec "la lanterne chinoise" (qui s'élève aussi haut que le "cerf-volant"). - puis ce titre absolument superbe et d'une très grande originalité (je l'avais repéré dans la liste des poèmes en attente avec l'espoir de goûter ce qu'il cachait)... - enfin par le choix des assemblages poétiques présents dans chaque vers ou presque. Il faudrait tout citer ou presque (le presque pour "en saison vent vague" qui s'il exprime bien le flux et le reflux n'a pas la puissance poétique des autres vers, mais également un presque pour le "c'est que" qui jure un peu par sa dureté sonore avec la justesse tendre du "fleure encore"). Un poème comme on en lit peu sur ce passage délicat de l'adolescence insouciante à l'âge adulte. Un poème qui me parle de mes deux filles aînées qui ont franchi ce "cap" de façons complètement différentes... Un poème écrit avec le coeur. Bravo, Iris... Cordialement Chene |
pieralun
4/2/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bravo Iris! De tout ce que j'ai lu de toi, c'est le poème le plus abouti (je n'ai peut-être pas tout lu).
La première strophe est splendide du premier jusqu'au dernier mot; rien à dire toutes les images sont superbes. La deuxième...........aussi!!! Je la trouve même plus profonde quant au sens multiples que ces quelques mots peuvent prendre. Je comprends mal le 3eme passage, pourquoi "chinoise"; la lanterne chinoise a t'elle une signification particulière dans l'histoire asiatique? J'adore:"l'épaule confidente, je veille" où tout est dit en 4 mots J'ai une fille de 17ans.....donc la chute a mis une larme dans mes yeux. |
jaimme
4/2/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Rien. Je n'enlève rien (même le "telle", tant pis).
Et j'admire tout dans cet amour que je partage aussi avec ma fille. Le "bleu-jeans noué", "mûre à cueillir"(non pas ma fille, non!!!!!), la "lanterne chinoise" si manga... Moi aussi " je veille", "mon ange"! Oh, merci Irisdenuit, et continue à veiller, elle est si petite encore. |
Lunastrelle
4/2/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Légèreté à la lecture, on s'envolerait presque avec ce cerf-volant... Pour retrouver notre jeunesse passée! (enfin pas pour moi, suis un peu jeune pour dire ça hem). Ou alors notre enfance, tout simplement...
Ce que j'ai particulièrement aimé, c'est ce passage là: "mon amour, sa lanterne chinoise pour enluminer le va-et-vient de la vie" Il me fait penser à beaucoup de dessins animés, où apparaît l'image d'une lumière qui se balade, sous n'importe quelle forme, et où derrière une musique se met en route... Il y a juste le "telle", et le "c'est que", qui me font bizarre quand je les lis... Je ne sais pas trop l'expliquer par contre... |
ristretto
4/2/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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« bottes de sept lieues » celles pour découvrir le monde mais qui sont encore un peu trop grandes pour l'enfant-presque-femme .
pour la strophe : « c'est que fleure encore .. » très doux et sensuel à la fois j'aime beaucoup « je veille » ... petite phrase isolée – quand la mère retrouve sa solitude au départ des enfants - mais ce « je veille » est posé sans angoisse pour cet envol sans « looping » . émouvante poésie merci iris |
Marite
5/2/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonsoir Iris je n'avais pas encore lu ton poème. Avrai dire c'est le titre qui m'arrêtait: que venait faire un blue jeans dans une poésie? Et ce soir je le découvre et trouve très beau cette façon d'exprimer un amour maternel. J'ai particulièrement aimé:
"mon amour, sa lanterne chinoise pour enluminer le va-et-vient de la vie le berceau de mes bras en saison vent vague l'épaule confidente je veille " C'est exactement cela... |
Anonyme
10/2/2010
a aimé ce texte
Bien
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Simple, touchant, aimant. Un poème cadeau d'amour qui dit les choses du bonheur.
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Anonyme
13/2/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un thème intéressant.
La petite fille qui devient grande mais qui reste la toute petite aux yeux de la mère. J'aime bien la première strophe qui évoque une adolescence effervescente, remuante, où tout doit bouger, aller peut-être un peu trop loin aux yeux de la mère. il y a ce coté frivole du cerf-volant bleu jean que j'aime particulièrement. La couleur est réellement bien choisie. Et la suite du poème laisse place à une nostalgie, un semi refus de voir grandir. une évocation enfantine : "barbe à papa" Et puis la "fraise savoureuse mûre à cueillir" ,c'est l'époque de toutes les opportunités amoureuses. Mais la mère est là et veille, peut-être un peu inquiète : ) |
Heisenberg
25/2/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Je suis officiellement fan de votre écriture Irisdenuit. Une tendre déclaration d'un père, les mots sont vaporeux et doux pour un sujet qui est souvent traité de manière triste et lourde. Un texte qui s'impose de lui même sans chercher à en faire trop, du talent en fait !!!.
Une musique qui s'écoute en boucle : "Ses pas épousés par des bottes de sept lieues elle arpente le dos de l’univers avec la beauté candide d’un cerf-volant bleu jeans noué à ses dix-huit ans" Merci Irisdenuit |