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Vilmon
7/7/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Plaidoyer pour que chaque enfant puisse s’épanouir dans un milieu favorable. En prenant exemple de cette épisode des Misérables. Le récit se lit bien, les rimes sont suffisantes et plusieurs sont riches. Bravo ! Les mots font des entre-chats intéressants et je crois que le ton employé se prête bien à celui du roman original. Peut-être un peu long en nombre de vers, mais le tout se lit aisément et ne forme pas de lourdeur. J’ai bien apprécié retourner sur cette partie du roman. |
poldutor
12/7/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour
J'ai bien aimé ce long poème racontant sans larmoyer le martyr subit par la petite Cosette chez le Thénardier. Le magnifique roman de Hugo est ici "raconté" en beaux vers poétiques : "Souillée, bleuie de coups, insultée, la pauvrine Dès l’âge de huit ans, ne sachant plus pleurer, S’abîmait dans la peur où devaient demeurer" "Sans doute le Destin reconnut-il l’outrage, Peut-être un chérubin lui montra-t-il, en bas, La misère infligée, comme bêtes de bat, Aux gueux, aux réprouvés, écartés du partage" ou encore "Le salut vient, parfois, de mânes invisibles Promptes, inespérées, prodigues de faveurs : Un sourire, un regard, ineffables saveurs, Une aide inattendue née d’un être sensible...." J'arrête là, car il faudrait citer presque tous les quatrains. Très beaux travail de composition, poème qui aurait pu être dans la catégorie "classique" ou "néo", sans quelques fautes de "mètre", notamment aux 23ème (pour s'emparer d'une âme...) et 53ème (Cosette s'épanouit...) vers qui comportent 13 pieds, mais cela ne nuit pas à la lecture. Il ne demeure pas moins que c'est une belle performance d'écriture un si long poème que l'on lit avec un grand plaisir. Bravo. Cordialement. poldutor en E.L |
papipoete
16/7/2022
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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contemporain
Difficile de laisser un commentaire argumenté sous une telle fresque poétique ! Tout y est, dans le moindre détail visuel, sonore ne manque que l'odeur... que l'on devine chez les Thénardier ! NB bien sûr que la longueur du récit, ( difficile, en s'attaquant à pareille histoire, de faire court ! ) rebutera nombre de lecteurs, mais j'espère que ce poème paraîtra, et que tout un chacun viendra suivre Cosette et son héros Valjean alias monsieur Madeleine, dans ces vers épiques ! Des vers au vocabulaire simple, mais si riches de cette extraordinaire histoire ! papipoète |
Cyrill
16/7/2022
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Je vais commencer par les deux derniers quatrains ( plutôt 1 quatrain, 1 tercet + 1 tout seul ). Beau programme pour la jeunesse, me dis-je, avec passion et lyrisme au rendez-vous. Ce n'est pas désagréable et pas inutile non plus de dire ces choses.
Mais pour ce qui précède, pardon mais j'ai trouvé ce long résumé très peu digeste. Que de formules superlatives et de préciosité dans les tournures de phrases ! C'est du lourd de chez enclume. Ça frôle parfois la mièvrerie. Je ne vois pas ce qu'apporte votre poème à cet épisode des Misérables, sans doute est-ce fidèle, mais où est la plus-value ? Vous l'aurez compris, ce genre d'exercice n'est pas ma tasse de thé, je suis plus porté sur l'imaginaire perso. |
Anonyme
22/7/2022
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Ithaque,
Un poème touffu inspiré par Hugo. Son principal défaut est d’être bien trop long mais je salue le travail que ça a dû demander pour arriver à un tel résultat. Les vers sont forgés de belle manière et ma préférence va à l’avant dernier. Merci Anna Euphrasie |
Miguel
22/7/2022
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Ah, je suis désolé, je vais venir en grincheux, comme la vieille fée oubliée au baptême de la princesse, apporter ma note négative.
J'ai bien en tête le récit de cet épisode, et ces vers me semblent fort plats et fort laborieux auprès de la prose majestueuse du père Hugo. Il est toujours risqué de se mesurer au génie. Je ne retrouve pas la magie envoûtante de la prose hugolienne, c'est frustrant de lire la même chose en moins bien. "Valjean" est une incongruité : Hugo ne le nomme jamais autrement que "Jean Valjean". Cette familiarité du nom sans le prénom ne correspond pas à la gravité et à la dimension christique du personnage. Même chose pour la morale gentillette de la fin : on est loin du souffle épique des "Misérables". |
senglar
22/7/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Ithaque,
Voilà un travail titanesque dans lequel je me suis plu à m'encastrer. Comment appelle-t-on ces personnages que l'on fait descendre une échelle en tournicotant et inversement en retournant cette échelle dont ils ne peuvent s'échapper ? Eh ben c'est ça que j'ai ressenti. Etais-je acteur ou spectateur ? je ne sais. J'étais un oeil mais pas un oeil extérieur, observateur, j'étais un oeil dans un écrin et j'ai descendu le texte comme on descend une échelle, j'étais une sorte de ludion qui faisait des rétablissements avec des semelles de scaphandrier qui dans cette densité légère passait d'un vers et d'une strophe à l'autre en se disant "Chapeau !" Ce poème m'a été comme une chaumine, j'ai eu regret à quitter son cocon. Voir les étoiles par les yeux des enfants transforme notre propre regard pour faire de nos propres yeux autant de bilboquets. Merci ! |