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Castelmore
13/10/2018
a aimé ce texte
Bien ↓
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Savoureux en son début, léger et sautillant ...Se perd un peu dans la forme et le sens en son milieu, retrouve sa malice et son rythme sur la fin franchement coquine.
Très joli passage des frissons s'affolent le long de mes guiboles, ma paire de bas nylon s'effondre en limaçon L'ensemble souffre peut-être d'un manque de travail ... La plume est légère et facile mais ... pas assez sérieuse ? |
lucilius
14/10/2018
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
Compte tenu de sa teneur polissonne et de son rythme court, j'aurais plutôt vu le classement de ce texte en chanson. C'est gentiment écrit, parfois de manière un peu simpliste et naïve, au détriment du fil conducteur. La légèreté du ton ne doit pas se faire au détriment du raffinement (esthétisme convient également). Mon impression générale est conséquemment très mitigée. |
Anonyme
27/10/2018
a aimé ce texte
Bien
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De bonnes idées dans ce texte.
Cependant, je les ai trouvées exprimées de façon inégale. Des passages intéressants comme : " sur le carrelage, merveilleux décalage. Tous mes satins, glissent entre tes mains." " découvre un bourgeon de fleur, un bouquet de saveurs. Sous une robe blanche, c'est tous les jours dimanche " D'autres, moins. " le long de mes guibolles " pas très poétique à mon sens. " Une culotte grise, si jamais l'on s'avise de me l'ôter " le "on" est équivoque. " ma paire de bas nylon s'effondre en limaçon " le verbe me paraît un peu ... abrupt. Un texte qui, retravaillé, serait plus agréable à lire. |
papipoete
27/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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bonjour izabouille
<< nous sommes entre amis, je vais vous conter ce que recèle ma garde-robe ; mais ne le dîtes à personne, on pourrait me taxer de polissonne ! >> Et de la robe aux diverses couleurs, selon la circonstance, aux dessous chic qu'une main amoureuse viendra à enlever , nous passons les moments de frénésie que le couple formé, savoure ... surtout le dimanche ! NB c'est gentiment fripon, parfois drôle ( les collants qui s'effondrent en limaçon ), et enivrant dans la fin de cette épopée de charme ! la 5e strophe ... hum, que va-t-il se passer ? la scène du collant m'en rappelle une assez rigolote ; alors que mes 2 petites-filles ( 6 et 10 ans à l'époque ) couraient devant ma caméra, alors que Nathan 6 ans les distançaient ( cela se passait au stade, dans les couloirs d'athlétisme, désert ce jour-là ) la grande eut l'ennui de perdre son collant, le remontant désespérément le plus haut possible ; cela dura pendant 100 m ; c'était hilarant ! j'ai beaucoup aimé votre poème, il raconte en toute fraîcheur, ces petits riens qui font la vie, belle ... |
Cristale
27/10/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Ah la coquinette ! M'étonne pas qu'au septième ciel ce soit le bazar :)
Maintenant j'ai compris. J'ai soulevé la jupe de chaque rime et ôté le pantalon de chaque petit quatrain pour y trouver des jolies dentelles de mots et des verbes aux idées polissonnes. C'est mignon, c'est simple, un peu désordonné mais une garde-robe qui cache des fleurs rares est-elle jamais bien rangée ? Je referme la porte et m'éclipse sur la point des pieds... |
Annick
27/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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C'est frais, à la fois coquin et candide, espiègle et mesuré.
Les deux premiers quatrains nous renvoient, peut-être à l'enfance, à un temps où l'on mettait sa robe blanche le dimanche et la petite blouse noire ou grise pour aller à l'école. Le troisième quatrain change de ton et de temps, sans doute celui de l'adolescence. Mais la candeur et la naïveté sont toujours présentes : Une culotte grise, si jamais l'on s'avise de me l'ôter, peut-être pour m'embrasser... Les vers suivants montent d'un cran si je puis dire. C'est le temps des amours, de la vraie découverte : Une dentelle rose, pour les instants moroses, deux petits seins blancs mordillés par tes dents... Par la suite, la jupe blanche du dimanche devient jupe noire, celle de la femme mûre : toutes ces histoires, habitent sous ma jupe noire, celle que tu soulèves, surtout les jours de fièvre. J'aime beaucoup la progression dans le temps, l'intensité qui se noue au fil des vers : Celle que tu déchires quand tout à coup le désir, par tes mains attisé, prolonge l'éternité. Les deux derniers vers ferment la boucle et reprennent partiellement et joliment le premier quatrain : Sous une robe blanche, c'est tous les jours dimanche… Un poème bien construit, plein de fraîcheur et de spontaneïé que je verrais plus sous la forme d'une chanson. Merci pour ce joli moment de lecture. |
wancyrs
28/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Il y a de la sensualité dans ce texte, de l'érotisme. Les choses qu'on veut montrer sont susurrées et ça marche pour moi. Ma lecture a été fluide aussi, sans aucun heurt pour me couper de l'extase. J'aime tout de votre texte, toute cette façon de dévoiler par petit coups de grands secrets. Merci !
wan |
plumette
28/10/2018
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Izabouille
Une lecture plaisante et rythmée. j'aime bien les vers courts qui obligent à une concision, le rapport au vêtement évolue tout au long de cette histoire ( de la vie?) j'ai été déroutée par la culotte grise car je me dis qu'elles ont rarement cette couleur! laquelle ne m'évoque rien d'érotique, alors que c'est à partir de cette strophe que votre poème prend une nouvelle direction. la fin est superbe! Plumette |
JcJaZz
28/10/2018
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Que c'est frais, délicat, sensible, coquin et espiègle !
Des désirs à fleur de peau qui ne demandent qu'à être effeuillés Des vers courts comme ces envies haletantes, ces plaisirs impatients Un poème comme une belle pomme savoureuses, qui donnent l'eau à la bouche et dans laquelle on ne peut s'empêcher d'y croquer à pleines dents Merci |
Robot
28/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un érotisme gentillet dans un joli texte qui me plait surtout par son humeur primesautière. Le récit commence comme une comptine puis nous entraîne dans une intimité dite avec beaucoup de pudeur.
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Anonyme
4/11/2018
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...( Modéré par moi-même)
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jfmoods
29/10/2018
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I) La fraîcheur d'une comptine
1) Un style alerte Treize quatrains à rimes suivies, à rythme court et varié (4 à 8 pieds), confèrent une certaine vivacité au poème. 2) Un jeu associatif Un réseau de correspondances s'établit entre vêtements et couleurs. Le texte se pare alors d'une dimension ludique. II) Le feu insatiable du désir 1) Dévoiler et attiser Tour à tour source d'effeuillage et place forte à abattre, le vêtement assure le comblement de l'imaginaire érotique. 2) Le couronnement du plaisir Des images sensuelles ("pour une fleur", "un bourgeon de fleur", "un bouquet de saveurs") invitent au carpe diem amoureux. Merci pour ce partage ! |
Quidonc
29/10/2018
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Izabouile,
Petit moment récréatif que vous nous offrez là. Une comptine qui me fait penser à la chanson de Richard Anthony "Les Ballons" et puis qui glisse façon coquine mais amoureuse sans vulgarité. Un joli moment de détente et d'humour. Merci pour ce partage |
solo974
29/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour izabouille,
J'aime beaucoup votre poème. Outre le thème choisi - original et personnel - et un titre aussi incitatif que coquin, j'ai particulièrement apprécié la tonalité espiègle et badine qui anime votre texte. La sensualité qui en émane m'a également beaucoup plu. Tout petit bémol, me concernant : le dernier vers : je l'ai trouvé, en effet, un peu prosaïque. Mais ce n'est là que mon point de vue... Je vous souhaite une excellente continuation ! |
siracolan
31/10/2018
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Vous avez réussi à faire rimer désir et fantaisie ce qui n'est pas aisé. Les frissons le long de vos guibolles sont pétillants de grâce; à ne surtout pas supprimer, il s'agit selon moi d'un des points d'orgue de votre texte.
Vous savez maintenir le rythme qui peut parfois légèrement s'essoufler. Peut-être retravailler certaines transitions... La fin, bof. En décalage avec l'esprit du texte, selon moi. j'ai accroché sur le pull rouge, mais c'est juste un problème de génération. Ce pull rouge évoque chez moi d'autres pull (over) rouge. |
siracolan
31/10/2018
a aimé ce texte
Bien
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'avais oublié de dire que j'avais "bien "aimé mais vous l'aviez sans doute compris.
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