Page d'accueil   Lire les nouvelles   Lire les poésies   Lire les romans   La charte   Centre d'Aide   Forums 
  Inscription
     Connexion  
Connexion
Pseudo : 

Mot de passe : 

Conserver la connexion

Menu principal
Les Nouvelles
Les Poésies
Les Listes
Recherche


Poésie contemporaine
jabbar : Malade de toi...
 Publié le 29/03/17  -  9 commentaires  -  506 caractères  -  224 lectures    Autres textes du même auteur

Poème d'Amour…


Malade de toi...



Château de sable ou en Espagne,
Petit soldat ou grand seigneur,
Le paradis ou bien le bagne,
Grand rêveur, petit penseur,
Mon cœur enclume ou bien de plume,
Morosité et amertume,
En grand navire, voguant en brume,
En chapiteau en grand jongleur ;
Le meilleur et puis le pire,
Et les remèdes aux noms latins,
Ne peuvent en rien sinon ton rire,
Ritmer ma vie et mes chagrins
Rien que tes lèvres et ton sourire,
Quand vient le soir et au matin.


 
Inscrivez-vous pour commenter cette poésie sur Oniris !
Toute copie de ce texte est strictement interdite sans autorisation de l'auteur.
   lucilius   
8/3/2017
 a aimé ce texte 
Bien
Petite poésie sentimentale de forme libre, pas prétentieuse pour un rond, plaisamment composée. Une écriture un peu enfantine mais qui ne nuit pas à l'ensemble.
Attention de ne pas entrer dans la mièvrerie.

   silvieta   
29/3/2017
 a aimé ce texte 
Bien
Comme la première ligne est le titre de ma nouvelle d'Oniris, je suis instinctivement particulièrement sensible à l'esprit de ce petit poème
dont j'aime bien le thème, les sonorités brumeuses en "u" et les alternances entre les mots "grand" et "petit" qui rappellent cette éternelle vérité : minuscule à l'échelle du monde, le microcosme où chacun de nous, pauvres humains, évolue est notre galaxie.

   papipoete   
29/3/2017
 a aimé ce texte 
Bien
bonjour jabbar,
Le poète est si épris de son aimée ( é ), que tout l'or de la terre, ses paradis, et tous les superlatifs ne sont rien à côté des rires et sourires, que lui offrent ses lèvres .
NB ces octosyllabes disent bien par leurs images ce mot d'amour " mon coeur enclume ou bien de plume ", lourd contre léger !
" Ritmer " m'a surpris par son orthographe, mais je vois que le dictionnaire accepte cette façon .

   Anonyme   
29/3/2017
 a aimé ce texte 
Bien
Un gentil poème pour l'Aimée dont seuls les " lèvres et le sourire " peuvent " ritmer la vie " de l'auteur.

"Mon cœur enclume ou bien de plume," bien trouvé.

   Anonyme   
29/3/2017
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Poème plaisant, agréable à lire, sur un sujet tant rabâché... Quelques belles images, une simplicité de bon aloi.
Je me pose des questions sur l'orthographe de ritmer ?
Merci pour ce joli moment.

   dom1   
29/3/2017
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↑
Bel écrit, beau moment de lecture qui entraîne dans le sillage de votre incertitude et votre désarroi...

   Raoul   
1/4/2017
 a aimé ce texte 
Bien
Préambule : je ne suis pas sentimental & j'ai un cœur de pierre, donc…
C'est un bel essai, et pour un "pouème d'amur" il est plutôt osé - dans la forme, s'entend ;-) -. La litanie des contradictions est jolie.
Je suis gêné en revanche par les articulations grammaticales, "ou, ou bien, en" mais j'admets qu'il est difficile de faire autrement.
Le jeu irrégulier des rimes est très réussi; seul le mot "chagrins" un peu trop daté, un peu trop tout court, manque de "vie".
Merci pour cette lecture.

   Anonyme   
3/4/2017
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↑
J'aime comme le poème est orchestré. Ce va et vient allant d'une comparaison à l'autre, pour mieux nous faire ressentir l'importance de l'enjeu.

Poème court, mais très parlant, avec une belle musicalité, il est savoureux, il est fondant comme un bonbon au cœur doux/amer; bien volontiers il est charmant à lire et à relire.

Et que cela est bien joliment dit :

" Et les remèdes aux noms latins,
Ne peuvent en rien sinon ton rire,
Ritmer ma vie et mes chagrins
Rien que tes lèvres et ton sourire,
Quand vient le soir et au matin. "

Et c'est bien là l'essentiel, l"Amour nous porte et nous emporte" dans un monde au valeur sans pareil.

   jabbar   
10/4/2017


Oniris Copyright © 2007-2023