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Anonyme
6/12/2008
a aimé ce texte
Bien
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Pour le fond, il n'y a rien a dire. On ne peut qu'être écoeuré par la misère (et l'indécence de certains, à l'approche de Noël).
Non à la misère! non à l'exclusion! Le poète a toujours raison! Pour la forme, les rimes alternées donnent à cette poésie un air de chanson. Ca se lit bien. Pourquoi le "faux jour venteux"?Pourquoi 'faux"? N'oubliez pas de donner au téléthon. |
David
7/12/2008
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour Jaja,
Je ne connaissais pas "drache", cela désigne la pluie dans le poème, Le jour de noêl est bien noir ici. La charité est plus l'objet du poème que la misère, enfin le poème invite un peu à juger l'une par rapport à l'autre plutôt, mais ce n'est pas très affirmé. |
marogne
10/12/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Vraiment un beau rendu de la mendicité, du contraste entre celui qui est sur le trottoir et celui qui l’emprunte. Je ne suis pas sur d’avoir vraiment apprécié la fin, car l’exploitation de es enfants roumains par des bandes organisées est par nature encore plus inacceptable.
J’ai trouvé le texte très plaisant à lire, chantant, sans doute cette utilisation de vers plus courts, et de rimes qui « sonnent « bien |
marimay
18/12/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Jaja,
Votre poème est d'un réalisme poignant et au-delà de l'image de cet enfant viennent celles de tous ceux qui tendent la main sur les trottoirs. Le choix des vers courts bien rythmés, comme déshabillés de toute fioriture, donne de la force au sujet. |
Anonyme
28/12/2016
a aimé ce texte
Vraiment pas ↑
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Ne m'en veuillez pas, mais je suis exaspéré de voir "fleurir" sur ce genre de textes qu'au moment de Noël, comme vous le précisez dans l'incipit "Triste Noël", à croire que la misère n'est visible à nos regards, que ce jour.
Désolé mais je n'y suis pas compatissante, surtout lorsqu'on cherche à faire vibrer la corde sensible au travers de l'enfant. Vous en faites bien trop "Blotti contre sa mère, ce zéro", pourquoi ce "zéro", pourquoi pas "cet enfant", puisque vous dites "sa mère". J'aimerai lire un jour un écrit qui sache vraiment de quoi il parle, en ayant à cœur, d'être plus dans le véridique et non dans le pathos. Sortez un peu de ces clichés, lus et relus, pour moi, ils sont sans aucun intérêt. La misère est bien présente, et des associations, des bénévoles luttent sans relâche pour venir à bout de ce fléau qui ne cesse de progresser. A quand un écrit sur ce sujet. |