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David
17/11/2008
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Jaja,
Un peu de fantaisie dans ce colloredo, il a à voir avec le bas du dos mais à part ça, que peut-il être ? Et il ne frappe que "Le musicien, peintre ou poète"... |
Jaja
17/11/2008
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Colloredo était le Prince-Archevêque de Salzbourg, autrement dit le "patron" de Mozart. On le connaît essentiellement par le coup de pied au derrière qu'il donna au jeune musicien. Mozart avait en effet la fâcheuse habitude de s'éclipser pour aller jouer ailleurs au lieu de remplir les mornes devoirs de sa charge.
Après cette "correction", Mozart reprit sa liberté, avec tous les avantages et inconvénients que cela comportait. |
Anonyme
17/11/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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C'est simple et agréable, mais sans ton explication j'avoue que j'aurai lâché prise.
Peut être mettre en en tête qui est Colloredo? Sinon un style plaisant, une écriture agréable. Et une idée qui me plait derrière tout ça! |
Anonyme
17/11/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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L'Artiste contre l'Autorité.
Un poème qui prend des airs de fable. Bien mené ; bien rimé. Merci pour les éclaircissements en commentaire : ils contribuent pour beaucoup à l'intérêt que je lui porte. |
Anonyme
18/11/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Ce texte a deux qualités:
-Il est bien écrit, et bien structuré. - il me permettra de me coucher moins ignorante ce soir. merci pour cette érudition, et la réflexion, tout à fait juste! |
mimich
19/11/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai appris la petite histoire d'un grand musicien.Il conviendrait de placer une note d'explication à la fin du texte.
La deuxième strophe me plaît ,mais les génies sont des exceptions et connaissent souvent une gloire posthume. Beaucoup d'artistes voudraient surtout être reconnus de leur vivant, et leur notoriété est souvent météorique... Thème intéressant et bien traité dans la forme. |
Anonyme
28/12/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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L'explication que vous avez fournie sur "Les Colloredo" est précieuse, et donne un éclaircissement bien utile. Le plaisir de la lecture en est facilité.
Moi, qui affectionne tout particulièrement la musique de Mozart, ici j'ai apprécié l'histoire poétique contée avec qualité, anecdote qui ne manque pas d'intérêt, mettant en évidence, combien l'apprentissage de la musique ne se fait pas sans douleur. J'en sais quelque chose, j'ai pris quelques coups de règle sur les doigts, lorsque ceux-ci n'étaient pas placés comme il se doit. Cependant je garde un très bon souvenir de cette professeur exigeante. Elle aimait transmettre sa passion pour le piano. L'apprentissage de tout art a ses contraintes, une certaine discipline s'impose, peut-être un peu moins aujourd'hui, sauf encore au sein de la danse classique. Votre langage est comme toujours un peu dans l'excessif, il n'y a pas en effet de quoi fouetter un chat, à cette époque les punitions corporelles faisaient partie de l'éducation quelque soit le domaine. Cela ne m'offusque pas plus que cela, et ces "Colloredo" ne méritent pas le châtiment que vous leurs souhaitez. Texte bien narré, instructif, dans son ensemble agréable à lire. |