|
|
Vincent
15/6/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Cadre - Chambre d'hôtel -
Cet exquis frisson de marquis Est-ce un trouble glauque Ou un luxe effréné ? Option flagellation - Non - Griffe-moi, c'est tout ai-je aimé votre texte car cela est très loin de ma manière de m'exprimer en quelque sorte je ne pourrais jamais l'écrire et c'est cela qu'est merveilleux lire des écritures surprenantes dans ce forum je me suis beaucoup amusé en vous lisant donc j'ai beaucoup aimé |
Bleuterre
14/7/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Bonjour Janam !
Ce texte est pour moi d'une grande fraîcheur jubilatoire. J'imagine une mise en scène avec un rideau qui se lève à chaque fois sur un nouveau tableau. Il y a de l'humour, de la dérision, du grandiose, et du mesquin. Sans doute l'explication du titre pour moi. Il y a aussi du rythme, sans doute le rythme de l'amour... et ces mots qui arrivent créant un effet de surprise : "c'est digue dondaine", "mouscaresse". Il y a de la sensorialité aussi, tout y est : les états d'âme, les sensations, les émotions.. ai-je oublié des paramètres ? |
Purana
14/7/2015
a aimé ce texte
Passionnément
|
La forme est étrange et originale. Il y a un bon rythme tout au long du poème.
Pour la première fois, j'aime un poème sur la sensualité qui semble être sans inhibitions. C'est peut-être parce qu'ici les mots et les expressions très poétiques sont employés, acheminés par un réseau qui est filtré à travers un fin tamis d'autodiscipline. Regarde comme l'eau coule, laissant de côté toute vulgarité potentielle ! Le titre est magnifique ! Il couvre le contenu du texte, mais il est pour moi également un bon exemple de dérision face à cette obsession sans limite de vouloir tout personnaliser, même l'amour. C'est un texte surprenant, léger, amusant et bien dosé. Une dérision revêtue d'une veste de créativité. J'adore l'humour et les jeux de mots. Tout est très raffiné bien que cela soit direct au point de m'en faire rougir . J'apprécie beaucoup ce texte. Je suis vraiment impressionnée. Bravo ! Purana |
Anonyme
14/7/2015
a aimé ce texte
Passionnément
|
Ca c'est de l'originalité ! Dans l'idée, dans le titre, dans la progression.
Rien ne manque à ce texte ; la subtilité, l'humour, la sensualité ardente mais dite avec délicatesse. " Ton cœur au creux de l'aine" "De tes reins tu me défies je me défie" "Ton triangle endiablé me mouscaresse " |
Damy
14/7/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Moi qui croyais qu l'amour était incompatible avec les chiffres, mais quand ceux-ci sont plus poétiques que mathématiques, quelle heureuse découverte !
J'ai particulièrement adoré le chiffre trois et la chute. Par contre, je n'ai pas compris "buc-gen", un manque d'initiation probablement, mais son soleil m'émoustille. Merci, Janam, pour la légèreté et la fraîcheur de la mise en scène de ces tercets à l'évanescence de haïkus. |
Pussicat
14/7/2015
|
autant l'intention est charmante, et hop hop, grivoise, et hop, hop, galopante, et hop hop, coquine, et hop hop, un peu salace, un peu plus loiin même ... ah ah, tant qu'on y est, einh :
"Profondeur du sentiment - Dix-sept - : seulement ??? Caresses buc-géngg - Oui - : le minimum ! Fréquencegggg - Trois - : bof... oui mais par jour ! bof tt de même... quand on aime on ne compte pas, c'est une règle ;) Option flagellationggg - Non : je suis déçue... poème facile sur un thème vieux comme le monde, rien à dire de plus, Bémols : le gras, pas beau. à bientôt de vous lire, |
Anonyme
14/7/2015
a aimé ce texte
Bien ↓
|
La mise page est originale mais que cache-t-elle ? De belles réussites c’est vrai, je comprends que c’est un poème grivois, j’avoue que je n’aime pas trop la grivoiserie.
Bravo pour la recherche comme souvent dans vos textes (ceux d’ici), mais moi qui suis plus sensible à l’implication personnelle de l’auteur dans l’écriture, j’ai du mal à apprécier les jeux. C’est un peu triste, j’en conviens, mais peut-être qu’à certains moments il y urgence à dire autre chose. Je cherche l’homme derrière les mots, j’ai bien lu 17, mais je parle de l’autre, peut-être celui qui n’a pas trouvé la satisfaction, pas le comptable, mais peut-être celui qui ne compte plus, et qui se jette à l’eau sans savoir nager. À vous relire. C. |
Robot
26/7/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Je retiens de ce poème une originale déclinaison de moments. Ce texte à le mérite d'une construction inhabituelle.
Les intermèdes m'ont amusé. |
Janam
26/7/2015
|
|
Anonyme
27/12/2016
a aimé ce texte
Passionnément ↑
|
J'aime que l'on me surprenne, que l'on me bouscule.
Là, je peux dire que je suis servi. Je suis d'ordinaire assez "critique" lorsque je parcours ce genre de lecture. Mais rien de tout cela, ici. C'est bien mené, tant par la forme que par le fond. C'est subtil, original, en fait cela décoiffe complètement, cela dépoussière de ces écrits empêtrés dans le vulgaire ou bien trop prudes. Vous avez su avoir le ton fort juste. C'est simplement savoureux, et fort bien "troussé". |
Donaldo75
30/8/2017
a aimé ce texte
Bien
|
Bonjour Janam,
Je découvre ce poème sur le tard. J'avoue qu'il m'a plu, même si je ne suis pas un afficionado de cette forme, que je trouve un tantinet cinématographique, un peu artificielle parfois, une énorme construction intellectuelle basée sur des polaroids émotionnels mais qui ne suscite pas toujours l'émotion. J'aime: "Pulsations - Cent-vingt - Mon amour, battons, battons, battons-nous Ton cœur, ton cœur, ton cœur, ton cœur Ton cœur au creux de l'aine" Je'aime moins, pour les raisons évoquées plus haut: "Caresses buc-gén - Oui - On ne parle pas à table Je pense à la Méditerranée À la vigne, au figuier, à l'olivier" Merci. Donaldo |