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shanne
11/10/2010
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
du rythme, oui, et c'est beaucoup...zut, il me manque la musique pour faire l'essai de chanter avec vos paroles. Aucun commentaire et le texte est publié...merci au C E, mais c'est vrai, ma nouvelle vie commence demain donc il ne faut pas désespérer. Merci et bonne chance, je ne suis que lectrice, je peux tout simplement dire, oui, j'aime. |
placebo
7/10/2011
a aimé ce texte
Un peu ↑
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J'ai bien aimé cette chanson, on ne voit pas trop la nouvelle vie du personnage se dessiner au début, et puis finalement sa sensiblité à l'art, son rêve de propriété tranquille et son regard critique sur l'avenir (le vieux con :) en font un protagoniste attachant.
ok, je viens de relire, j'ai tout faux... à ma décharge (en fait à ma honte ^^) je n'ai pas regardé très attentivement le refrain sur la fin. Peut être que le refrain est trop long justement. ou alors le séparer d'avec le reste qui change. bref, une tentative de se ranger qui tourne mal :) l'appel de la liberté est le plus fort. Les marmots dans une maison banlieusarde, pas trop son truc. Pour le style, le vocabulaire est resté bien sage comparé aux élisions de syllabes nombreuses, il me semble que la personne se contient quand elle parle, ça va assez bien avec la frustration de la fin je trouve. J'aime beaucoup ''hydro super machin'', ça fait très années 70-80 dans la représentation que j'en ai :) à mon niveau c'est tout ce que je peux dire dessus :p j'aurais bien vu renaud chanter dessus par exemple, mais je serais intéressé par une démonstration de l'auteur bonne continuation, placebo |
Anonyme
11/10/2010
a aimé ce texte
Un peu
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un texte qui ne m'a pas trop emballé, ni touché.
je n'arrive pas à ressentir l'émotion, et les mots comme: "moé," "l'on m'ava dit," "ben" m'en va..." je trouve ça assez ringard, même si je comprends que c'est de l'argot ou du patois. une pointe d'humour qui ne m'a pas fait sourire. j'aime bien le rythme, une jolie histoire mais manque ce petit truc qui aurait pu me toucher. |
wancyrs
12/10/2010
a aimé ce texte
Pas
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J'ai cru déceler dans ce texte quelque "Québecismes", mais je regrette que l'auteur ne soit pas allé au bout. Par exemple, le fait d'avoir commencé par "moé", terme qui signifie "moi", je ne comprends pas pourquoi l'auteur dit ensuit "toi" au lieu de "toé". il brise ainsi une certaine logique qui est initiée par la première expression.
"Tomber en panne" aussi ne se dit pas au Québec, on dit "tomber en rack". Au lieu de "allons boire deux bouteilles de vin", le Québecois de souche dirait : "allons virer une tabarnak" Le Québecois aussi aime faire dans la précision lorsqu'il se vante du nombres de bières ingurgitées, alors il ne dira pas : "une caisse de bière", il dira : "un six pack", "un douze pack" ou "un 24 pack", en fonction du nombre de bouteilles que contient le caisson. Je trouve donc l'exercice un peu raté, même si certains passage évoquent Kaïn dans http://www.youtube.com/watch?v=fyD21zfSph4 ou bien le même Kaïn dans "Comme dans l'temps" http://www.youtube.com/watch?v=OA11h_uK2ik&feature=related à un prochain texte Wan |
Raoul
16/10/2010
a aimé ce texte
Bien
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J'allais dire que parfois le "parler-chanter" à la Loïc Lantoine n'est pas assez prononcé, que les raccourcis ne sont pas assez nombreux (avec un "t'as l'moral qui tombe en panne" par exemple) mais ce n'est qu'affaire d'interpretation puisque nous sommes en rubrique slam/chanson, donc…
La progression est bien amenée, le refrain et ses nuances évolue bien, apportant quelques précisions jamais appuyées. La fin est un peu prévisible mais la pirouette con con-temporaine fait passer le tout dans un sourire. J'ai bien aimé. |
Charivari
12/2/2011
a aimé ce texte
Pas ↑
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Bonjour.
Je trouve qu'il y a quelques images assez intéressante, comme "regarder pousser le gazon", ou le musée "con-contemporain"... Le ton aussi est sympa, et permet une certaine empathie avec le gars qui raconte. Par contre -C'est inégal au niveau de l'expression, pour certains passages on ne sait pas trop si c'est naïf ou voulu (faire l'amour main dans la main ?) -C'est longuet et pas forcément bien structuré. Le passage du colloc', par exemple, et ce "tu" tout d'un coup, ne sert pas à grand chose. De même pour les compteurs... Tandis que la fin qui nous parle de fusains et d'artiste, tombe selon moi comme un cheveu sur la soupe : rien ne préparait à cette fin dans le texte. Pas une métaphore picturale, pas une mention de forme, de tracé, de couleur... - Beaucoup de clichés aussi, sur la "vie libre" du marginal qui refuse la routine... |