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Corto
16/5/2019
a aimé ce texte
Un peu ↓
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On trouve ici une curiosité dite poétique.
Mais la multitude de jeux de mots, de rapprochements oiseux, de sonorités sans doute destinées à se faire écho rend ce texte peu agréable à lire. Le rythme saccadé ne donne pas de cohérence à un sens ni même à une envolée. Même le vers final ne permet pas d'adhérer. Dommage. |
Gabrielle
25/5/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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"Les fleurs de nuit, sans lui : un jour de pluie, ennui."
La chute résume les sentiments de la narratrice. Le lecteur se laisse emporter par les sentiments éprouvés et décrits ici. Un vrai talent d'auteur(e). Bien à vous. |
Vincent
16/6/2019
a aimé ce texte
Passionnément
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bonjour,
j'ai eu l’impression agréable de me promener dans le palais des glaces et une sensation musicale accompagnant mes quelques pas une douceur qui m'a fait du bien |
poldutor
16/6/2019
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour JasminKelzief,
Comme Corto, cette de suite de jeu de mots, ces rebonds de vocabulaire m'ont décontenancé, et heurté : "Arrose émoi, et toi. Ma rose est toi, émoi." "En fleurs, mon cœur s’émeut. Aurore. Ardeur se meut. Sous la bruine on s’incline, un soupir nous câline Un doux vent sur nos corps, sous leurs cils un décor Ronronne. Entonne. Et tonne. Orage et tout chantonne !", c'est haletant, on n'a pas le temps de reprendre son souffle. puis encore : "Envie et accalmie, Éole a mon ami... Court l’espace et, fugace, aspire en face à face Un sursaut, porte-à-faux, soubresaut, en défaut... Orage-effondre, atone : envole et puis détonne" et "Le soir, il est l’écho. Aubade, encore écho Puis mon souffle en ces mots : un aveu au Très-Haut" que d'eau, que d'eau ! Non franchement je n'adhère pas... Je reconnais néanmoins le recherche, l'originalité et le travail ; aussi je donnerai un "bien" |
Lebarde
16/6/2019
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Un jeu de sonorités et d’association de mots proches au détriment d’une réelle suite dans le propos!
J’ai lu en faisant des efforts de compréhension sans résultat et véritable plaisir. Comme la forme libre ne s’embarrasse pas de prosodie et de rimes il me manque quelque chose pour apprécier. Désolé À plus tard pour m’enthousiasmer. Ed: je viens de parcourir ( en fait survoler seulement !) les échanges déjà anciens sur « l’hermétisme »! On s’y approche peut être mais sans moi! Lebarde |
senglar
16/6/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour JasminKelzief,
Un intrigant exercice de gymnastique avec les mots, les sonorités et les sens. L'auteur est un contorsionniste du cerveau dont l'esprit donne à voir bosses et bossettes tout en vallons, vallées et circonvolutions. Quand un hymne à l'orage devient un hymne à l'amour sous l'égide, l'oeil bienveillant du "Très-Haut" son absence se fait présence par le truchement des fleurs et la rose se fait reine, pétale elle conduit à la nuit se rêvant baiser du lendemain. D'ailleurs j'ai l'impression qu'ici les pétales comptent bien plus que l'orage qui reste relativement discret, qui tonne puis est aux abonnés absents. On me dira qu'il a fait son boulot. Conjurer l'ennui par les fleurs de nuit, papillons de jours sous l'orage finissant. Espoir de l'arc-en-ciel des lendemains vermeils. Virtuosité entre rose et cueillette ! Senglar (Bon, vous nous expliquerez quand même hein :) ) |
STEPHANIE90
16/6/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonsoir,
J'avoue ne pas avoir tout clairement compris mais la rythmique foudroyante de votre poésie m'a saisi au vol au début de la deuxième strophe, qui est ma préférée : "En fleurs, mon cœur s’émeut. Aurore. Ardeur se meut. Sous la bruine on s’incline, un soupir nous câline Un doux vent sur nos corps, sous leurs cils un décor Ronronne. Entonne. Et tonne. Orage et tout chantonne !" Et les jeux de mots bien troussés, j'adore... LOL Par contre, je n'ai pas compris ce que venait faire "aluné" ici. Que vouliez vous nous dire ??? Merci pour cette lecture renversante ! StéphaNie90 |
Anonyme
16/6/2019
a aimé ce texte
Un peu
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Les trois premiers vers, pour qualifier l'orage m'ont bien plu.
Puis, voilà que survient cette gymnastique des mots, assonances, dont je dois dire qu'elles ont vraiment gêné ma lecture. Si bien que je n'ai pas cherché à approfondir le sens de cette poésie. A vous lire une prochaine fois. |
troupi
17/6/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Ce texte a au moins le mérite d'apporter quelque chose de différent et présage peut-être d'un talent nouveau sur Oniris. On verra.
A la première lecture c'est déroutant et peu à peu on s'habitue, on bute moins sur les surprises. A la troisième lecture je parviens à apprivoiser les phrases et il en sort de belles images, des métaphores surprenantes, des jeux de mots bien trouvés, un vrai travail sur les sonorités et le rythme. C'est un peu tout ça la poésie, non ? Je suis curieux de voir la suite. |
Robot
17/6/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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En fait l'écho à l'hémistiche a été utilisé en exercice de style. Ce systématisme a pour lui l'attrait nouveau de cette particularité de construction.
Voici un texte plus plaisant à déclamer qu'à lire. En effet l'oralité permet d'appuyer sur les sonorités dont les vers sont abondamment pourvus. (un peu trop pour la lecture peut -être !). La compréhension est devenue secondaire. L'important c'est le choc du verbe et du son. Ce n'est pas déplaisant mais certainement à utiliser avec modération. |
Zorino
17/6/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour JasminKelzief,
Pour être honnête avec vous, je n'ai pas compris grand chose à votre poème et pourtant, j'ai adoré vous lire. Et plusieurs fois même. J'irai même jusqu'à dire que votre poème a procuré en moi une certaine jouissance. Si, si, je vous assure ! Je salue votre travail basé sur la sonorité et que je qualifie personnellement de colossal. Merci pour le partage |
papipoete
17/6/2019
a aimé ce texte
Bien
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bonjour JasminKelzief
L'orage n'est pas toujours dantesque, ne tue point, ne désole de visages défaits en pleurs. Ici, votre orage est un " gentil ", qui se contente de gronder, comme rouspéter contres ses nuages, et " roule ses tonneaux ", comme l'on disait petit enfant. Il y a cette cascade de bons mots et acrobaties " vocabulesques ", mais tel un troupeau de moutons apeurés, vos vers s'éparpillent quelque peu, et la scène se bouche comme le ciel mauvais ! Les 2 premières strophes étaient pourtant de bon augure, et j'aurais préféré vous lire ainsi jusqu'à la chute de votre orageux poème ! |