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Gemini
21/1/2021
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Je doute pour la catégorie (métrique v7, v8, v9, v12, rime joue/saoul, v6/7).
Autant dire de suite que je me suis arrêté à : "J'approche, tu frémis et je suis du Verseau" en me demandant si l'affaire était sérieuse. Déjà peu versé en astrologie, j'ai eu la même réaction que si je lisais : Je t'aime et je suis du groupe sanguin O négatif. Relier le destin aux astres, je croyais que ce genre de superstition avait disparu depuis bien longtemps. Apparemment non. Mais admettons. Alors, j'ai lu attentivement les vers suivants introduits par : "Voilà pourquoi peut-être" dans l'espoir de comprendre l'importance de ce détail astral, mais j'avoue m'être un peu perdu en conjectures : "ivre" saoul' "eau-de-vie" auraient pu donner des pistes, mais je les ai jugées malencontreuses. Pour le reste, si les alexandrins ne sont pas très bien tenus, le propos est assez cohérent avec des images poétiques pas forcément originales "Ta lumière...jaillit des ténèbres", mais pas obscures, une recherche de style assez marquée ; j’ai bien aimé les inversions "Me baptisent, m’abreuvent… Tes larmes…", et "Son écho puisse-t-il" ainsi que l’oxymore "…silence/Qui couvre le vacarme…" Hors la forme pas assez soignée, texte plutôt correct, si l'on occulte cette histoire et ce titre de destin astrologique, incongrus, à mon goût. J’ai d’ailleurs trouvé que pour un poème d’amour, l’auteur aurait pu avoir la courtoisie d’offrir un titre plus en rapport avec l’objet de cet amour, et qui soit donc un peu moins nombriliste. Par exemple, il y avait un excellent "Toi, mon dernier voyage" à la dernière strophe qui aurait pu convenir. Du coup (et toujours par exemple), on aurait pu remplacer "et je suis du Verseau" par "comme une onde dans l'eau". À mon goût encore. |
Miguel
26/1/2021
a aimé ce texte
Pas
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La ponctuation anarchique et les constructions grammaticales alambiquées n'aident pas à la compréhension. "J'approche, tu es nue ..." fort bien ; et puis "ton absence...", ces contradictions n'aident pas non plus. Le dernier voyage en général, c'est la mort ; ici, on a tendance à comprendre qu'il s'agit de la femme nue, destinataire depuis le début du poème. "A bon port" c'est quand on arrive, et ici il est question de prendre la mer. Décidément tout ceci est trop confus pour moi. Désolé. Je souhaite à ce poème des lecteurs plus réceptifs.
Migue, en EL |
papipoete
2/2/2021
a aimé ce texte
Un peu ↓
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bonjour JeanDoe
une histoire d'amour, une ode à ce que l'on fut, seul et ce que la passion d'un couple peut compter...avant que séparé pour toujours, à nouveau l'on soit " cet enfant et son destin "... NB je trouve votre récit quelque peu embrouillé, où vous insistez tant sur ce partage des joies et des malheurs, que tout tend à se mélanger, laissant le lecteur au bord de la feuille, comme égaré... Quelques maladresses à l'image du 4e vers " tu frémis et //je suis du verseau// " au 7e vers " me baptisent...tes larmes " le sujet n'est-il pas trop éloigné de son verbe ? le 6e vers mesure 13 pieds le 7e vers aussi le 8e aussi etc... en outre les rimes ne s'alternent pas ( masculine/féminine ) il y a énormément de hiatus Voici un exercice fort éloigné de ce que peut être un " alexandrin " |
inconnu1
2/2/2021
a aimé ce texte
Bien
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Beaucoup a déjà été dit. Faire un poème contemporain laisse la place à beaucoup de libertés, mais il faut tout de même que le lecteur pense que liberté ne rime pas trop avec facilité. Il faut choisir entre prononcer ou élider les e muets, et ne pas choisir ce qui nous arrange. Par exemple dans le 7e vers, pour faire un alexandrin, on doit prononcer entièrement baptisent et scellent mais pas m'abreuvent...
C'est dommage car sinon, beaucoup de belles images même si on ne comprend pas tout, il y a de la musicalité bien à vous |
Provencao
2/2/2021
a aimé ce texte
Bien ↑
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" ce chant de l'amour" est un véritable langage poétique presque musical dirigé vers l'écho apparaissant comme un destin du dernier voyage en langage d’être et de vie.
J'ai bien aimé ce recueillement de la lumière, au plus intérieur de soi, les mots, assignent l'inflexion du chemin vers le ciel. Au plaisir de vous lire Cordialement |
Robot
3/2/2021
a aimé ce texte
Bien ↓
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L'expression m'a paru parfois un peu confuse notamment ce passage:
"Ta douleur est la mienne, elle est ivre, je suis saoul, Me baptisent, m’abreuvent et scellent mon serment, Tes larmes, une eau de vie mêlant le sel au sang" J'ai eu du mal à déterminer à quoi correspondait le pluriel des verbes. S'il s'agit des larmes je trouve que l'inversion n'est pas trés heureuse. Par contre j'ai trouvé plus d'éléments poétiques dans les vers suivants et dans les deux premiers vers. |