Quelques recherches de jeux de mots, souvent déjà lus ("les eaux/les os", ça n'est pas tout neuf), une certaine musicalité dans les vers... mais tout cela semble quand même expédié. Je ne suis pas fan de l'écriture et j'ai trouvé l'ensemble assez peu poétique.
Il manque vraiment une étincelle de vie dans ces mots pour que je puisse adhérer. Désolé.

J'apprécie les jeux de mots et de sonorité, hélas, je trouve qu'ici, ils se font au détriment du fond, et que le texte n'est qu'un prétexte pour un exercice de style finalement assez facile. En plus, le problème ici, c'est que ce genre de texte n'est intéressant que s'il est dit, à voix haute, cependant, il y a des éléments (homonymes, par exemple) qui ne peuvent être compris qu'en le lisant.

Je n'ai pas trop saisi le fond de ce texte. Les nombreuses répétitions sont gênantes et alourdissent l'expression poétique: l'eau ... de là ... Lalo ... de l'eau.
" Qu’y puis-je, Lalo ?
Et toi ? Qu’y puits tu ? "
trois interrogations si rapprochées, c'est trop d'autant plus que la dernière est incorrecte "...puits..." il s'agit de quel verbe ???
L'auteur devrait retravailler l'ensemble en éclaircissant le thème qui n'est pas évident à saisir. Il me semble qu'il y a davantage eu recherche sur un jeu de sonorités plutôt que sur l'expression poétique.

J'ai aimé! Quel plaisir d'errer dans l'EL et d'y rencontrer un tel texte!
Je suis plutôt d "obédience classique", mais votre texte m'a beaucoup touché.
Le sujet , terriblement triste, est traité intégralement par de petites touches alertes qui s'appuient sur des sonorités légères, des petits jeux de mots permanents.
Le résultat est d'une glande poésie. On lit le texte très facilement, le fond "émerge" peu à peu sans en plomber la fraîcheur; aucune rupture dans le rythme, magnifique.
Je relis, je relis....... je pense que ce texte est féminin......une grande sensibilité......une grande simplicité.....difficile d'exprimer tout ce que l'on ressent à cette lecture.

Il y a quelque chose dans ce texte qui m'émeut. Comme un enfant qui s'exprime: Bébé la la veut la l'eau, la l'eau.. Le son O est très présent et me semble exprimer un HO! qui est un sentiment vif de tristesse.
Je trouve que c'est une belle trouvaille que d'exprimer la tristesse, la perte, le manque, etc. par des jeux de mots que l'on voit plus souvent dans l'humour et la légèreté. Je ne dis pas que ceux-ci sont tous réussis mais l'idée est intéressante.

Dans l’eau de là je me suis trempée,
Immergée et sans foi noyée.
(j'aime beaucoup)

Bonjour Jeanne,

Un poème plein de O, assez fantaisiste avec une mélancolie douce autour du prénom et de l'élément. Ça "O"se pleins de libertés, ça ne raconte pas vraiment, ça voudrait montrer peut-être, comme les tableaux flous impressionnistes.

Ce poème m'a franchement déplu, parce qu'il ne joue que sur les sonorités, sur les jeux autour de o/eau/.
Il y a d'abord ce jeu de mot éculé sur l'eau de là (eau delà), puis ce parallèle malheureux en continent/incontinent, puis le "calembour" eau/os.

Le fond lui est pauvre, sans originalité, rien de nouveau.

Reste un jeu sur les sons assez bien maitrisé tout de même.
Mais je suis vraiment déçu.

C'est une tentative qui a "avorté", ce n'est pas réussi.

Votre écrit est jalonné de maladresses, de répétitions insupportables et de jeu de mots trop usités.

Ce texte manque aussi de fluidité "Qu'y puits-tu ?".

Tout cela mis bout à bout, dessert grandement votre idée qui semblait originale, vous avez raté l'effet des ricochets "Là, l'eau", est restée sans aucun résultat pour ma part, c'est un "flop"

Bonsoir,

Comme disait le regretté Francis Blanche: " je préfère le vin d'ici que l'eau de là."

C'est une histoire un peu trop compliquée pour moi, et guère sauvée par ces jeux de mots autour de l'o et de l'a.
Désola... euh pardon désolé, je n'accroche pas.