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StayinOliv
29/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Pour une première c'est pour moi une réussite ! J'ai beaucoup aimé la mélancolie/nostalgie qui se dégage de votre poème malgré le recours à une forme imposée, qui ne le dessert pas du tout.
J'ai moins aimé la deuxième strophe, premièrement car que je ne comprends pas trop ce que des geais viennent faire pas ici, et deuxièmement la ponctuation de cette strophe me dérange un peu. Vous devriez retirer la virgule après geais, ainsi que la virgule après richesse, et enfin le point après ais, et le tout serait beaucoup plus fluide et facile à comprendre. J'ai adoré le dernier vers et son jeu de mots ! |
papipoete
8/4/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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classique
C'est votre premier poème à forme fixe, aussi je me permets de regarder si sa construction est bien menée . L'histoire, que certains esprits chagrins trouveront " rebattue ", me touche, dès lors que l'on y parle d'amour . La Seine frémissante sous les arches du pont, semble un poisson qui gobe ce que le promeneur lui lance, même ces " je t'aimerai toujours ", et digère peu à peu vos souvenirs les plus doux . Le flot, efface même vos pensées, ces promesses non tenues, ces échos de tendresse . Si d'aventure, " il " revenait, trop tard ce serait ; et là sur le pont Notre Dame, en cherchant bien, tout juste trouverait-il des débris de vers... Comme vous l'écrivez bien votre douleur, et ces 14 alexandrins m'ont " sonnet " . Le dernier tercet me séduit particulièrement ! L'essai me semble transformé . NB au 11e vers, j'aurais choisi un synonyme pour " emportant ", employé au 4e vers . papipoète |
Anonyme
22/4/2016
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour
Pour un premier sonnet classique, l'intention est louable mais le résultat mitigé, tout au moins de mon point de vue. Beaucoup trop de participes présents fleurissent au gré de la lecture : Annihilant, emportant, jetant, et re emportant. De plus, ils se mêlent à des mots de même tonalité : antan, courant, troublants. Tant et si bien que le son han me fait peiner. Autrement l'ensemble me rappelle quelque peu Apollinaire et son fameux coule la Seine et mes amours mais la comparaison s'arrête ici. Au final et personnellement, je pense que ce texte est à retravailler. |
Anonyme
22/4/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Jeanou. L'écriture classique est respectée et j'ai bien aimé le premier quatrain ainsi que le tercet final ( hormis le vers ultime ).
Par élimination vous aurez compris que le second quatrain et le premier tercet ne recueillent pas mes suffrages. En effet, il y a, à mon avis, dans ces derniers de la rime forcée ( geais/ais, poétesse/richesse, berge/immerge ). D'autre part un point, et non pas une virgule, devrait clore le second quatrain. Enfin pour le dernier vers je pense que "Il ne restera rien" n'est pas du meilleur effet d'autant qu'il y a mille autres solutions : -Car tu n'y trouveras que des débris de vers -Il ne reste d'alors que des débris de vers Etc. L'incipit nous indique que ce poème est le premier dans cette catégorie et pour un coup d'essai ce n'est pas mal du tout ! Bonne continuation quelle que soit la catégorie poétique que vous choisirez à l'avenir. |
Vincendix
22/4/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Le sonnet n’est pas facile à réussir, je le sais et je trouve que celui-ci est abouti « techniquement », le dernier tercet étant le plus remarqué.
Le sujet n’est pas vraiment original mais au fil de l’eau, il s’écoule agréablement. Je suis surpris de redécouvrir le mot « ais », il fallait le dénicher celui-là, je me souviens d’un ancêtre qui l’utilisait dans une expression populaire. Bravo pour ce premier « classique », je pense qu’il sera suivi de beaucoup d’autres. |
bouloche
22/4/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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triste et sincère, ce poème reflète l'âme nostalgique du poète,
assombrie par la couleur noire des participes présents. |
Anonyme
22/4/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
J'ai aimé ce sonnet comme j'ai aimé ce Paris des bords de Seine quand je traînais sur son pavé. Je retrouve ici mes propres promenades. C'est un texte imagé, peut-être un peu cliché. Le dernier tercet... "Si tu reviens un jour, sur le pont Notre-Dame, Ne cherche pas mes mots dans le creux d’une lame, Il ne restera rien que des débris de vers." ... est magnifique Bravo. A vous relire. |
Anonyme
22/4/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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un beau poème empreint de nostalgie.
De belles images, et, à mon goût, un fort joli premier tercet. " Ne cherche pas mes mots dans le creux d’une lame " |
Pouet
22/4/2016
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Bjr,
Je ne vais pas me prononcer sur la forme, d'autres sont bien plus qualifiés que moi. J'ai eu quelques soucis de compréhension. Alors, "ais", je ne connaissais pas j'ai donc cherché... Les définitions sont très nombreuses. Je pense qu'ici nous sommes plus sur la définition: "un mot ancien qui désigne une planche de bois (d'où l'expression renfermé entre quatre ais signifiant être dans une bière)." Ou alors vouliez-vous parler de ceci: "En menuiserie, tringles en bois de bateau qu'on emploie pour les cloisons à claire voie". Ou bien encore de cela: "En reliure, les ais sont les planchettes de bois utilisées par le relieur et peuvent aussi désigner les plats d'un in-folio." Mais je penche plutôt pour la première définition. Je bute un peu du coup quant au terme "promeneur" qui seraient "entassés sur les ais". Je n'arrive pas à me le représenter. Ils sont "sans richesse" ces promeneurs du coup j'ai pensé à des SDF notamment pour le côté "entassés sur des planches" et donc ce mot "promeneur" me gêne. Trop trivial. Ensuite "Emportant avec lui les fabliaux pervers." Là non plus je ne comprends pas trop. Fabliau: "nom qu'on donne dans la littérature française du Moyen Âge à de petites histoires simples et amusantes, définies par Bédier comme des contes à rire en vers. Leur vocation est de distraire ou faire rire les auditeurs et lecteurs, mais ils peuvent prétendre offrir une leçon morale, parfois ambiguë." Ce sont sans doute ces "promeneurs qui parlent de faits troublants" mais j'avoue ne pas vraiment saisir le sens de tout cela. Donc voilà, pour ma part je reste un peu à quai principalement à cause d'un manque de compréhension. Ne pas comprendre certaines images ne me dérange pas mais ici je n'ai pas vraiment vu de côté surréaliste,c'est un poème très classique tant sur le fond que sur la forme et le sens est censé couler de source dans ce genre de composition, d'où mes interrogations. Bonne continuation. |
Cristale
22/4/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Jeanou,
C'est bien d'essayer d'autant plus que vous semblez connaître les règles de prosodie. Poème sur la nostalgie suite à une rupture amoureuse qui se déroule sur des alexandrins au fil de vos pensées comme au fil de l'eau de la Seine. Petit bémol, pour un sonnet classique pas de répétitions admises : tout mot ne doit paraître qu'une seule fois dans le poème, exception faite des mots de liaison ( prépositions , conjonctions ...) Nous retrouvons le mot "important" aux 4ème et 11ème vers. Mais cette erreur rédhibitoire est facile à corriger. Les sons "an" alourdissent vos belles images. Il est conseillé d' éviter également les mêmes sons aux hémistiches sur les vers qui se suivent afin de ne pas créer des rimes internes, proscrites elles-aussi : courant-antan- et de varier les rimes en alternant des noms-adjectifs-verbes. Je ne suis pas experte, je partage seulement le peu de mes connaissances avec vous qui vous donnez la peine d'essayer une forme plus complexe qu'il n'y paraît. Le dernier tercet est superbe et le vers médaillon en rehausse l'éclat. Bravo et merci à vous. Cristale |
Ioledane
24/4/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Une scène et une émotions bien transcrites, avec pudeur, sans pathos inutile. Tout est dit dans ces "fabliaux pervers" qui s'en vont avec le courant, ces "débris de vers" qui subsistent à peine.
Si c'est un premier sonnet, bravo, il est techniquement solide et bien construit, même si les rimes en "ais" notamment manquent un peu de richesse. A ce propos, les geais et les ais m'ont un peu dérangée, ils me semblent artificiels, plus présents pour la rime que pour un vrai apport au texte. J'ai un peu de mal avec le flot qui se perd dans le flux qui l'immerge, ou encore avec les lames que j'imagine plutôt maritimes. Quelques détails de ponctuation : un peu trop de virgules (la fin des vers 1 et 9 ainsi que la césure des vers 5 et 12 s'en seraient à mon avis bien passé), et j'aurais mis plutôt un point à la fin du second quatrain. Mais dans l'ensemble, bravo pour ces "Débris de vers". |
Curwwod
25/4/2016
a aimé ce texte
Bien
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Votre "Pont Mirabeau" intime que vous évoquez avec un certain bonheur, même si ce premier poème à forme fixe m"apparaît un peu inégal avec de très jolies images
"Sous les arches du pont où passe la jeunesse, Si tu reviens un jour, sur le pont Notre-Dame... et d'autres expressions plus maladroites dont le côté forcé, artificiel m'a un peu gêné. " le flux qui sans peine l’immerge, Emportant avec lui les fabliaux pervers. Parlent de faits troublants, entassés sur les ais," Mais pour un coup d'essai ce n'est franchement pas mal du tout. Continuez à travailler ce genre de poésie en portant l'accent peut-être plus sur la poétique de l'émotion que celle de la forme. Le reste viendra en son temps et vous donnera bien des satisfactions. |
mina
18/5/2016
a aimé ce texte
Bien
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Un poème très fluide et agréable à lire , j'aime beaucoup le titre et la dernier strophe , belle trouvaille .( je retiens ;))
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