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Eki
3/8/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Ah ! la fouine vicieuse...
Peut-être que ça ne casse pas trois pattes à un canard mais tout de même Bob vaut bien cette oraison...Un canard qui ne cancane pas, c'est tout de même exceptionnel... Une fantaisie bien agréable que j'ai aimé découvrir. Bob n'est pas ce vilain petit canard, il a fait partie "des meubles" si je puis dire, de la vie de cette basse-cour sans t... 17 ans...ça crée des liens. Il paraît qu'on peut attribuer l'âge d'un canard avec la taille de son pénis...si, si ! entre autres... Vivant et plein d'humour ce petit monde d'amis mots ! Une écriture aboutie pour l'originalité. Eki |
embellie
3/8/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Voici une oraison funèbre originale et pleine d’humour. Délectons-nous, ce n’est pas si fréquent !
Je retrouve ici l’esprit de monsieur de La Fontaine qui savait si bien se servir d’animaux pour nous démontrer tous nos défauts humains. Je trouve très amusante la manière dont ce canard est personnalisé : « un canard qui est toujours resté discret, attentif au respect de la vie privée de chacun, gardant comme des trésors les secrets du jardin... » et habile la façon de nous décrire ses travers : « ce courageux de la zone d’ombre – ce vaillant qui laissa sa canne – cet inlassable batailleur qui disputait chaque soir son bout de paille avec Domi ». Mais ce Bob, que « ses maîtres pleurent de temps en temps » est mort et peut partir « la conscience tranquille ». La personnalisation aura été parfaite jusqu’au bout. |
Lebarde
6/8/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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Y a t-il un sens métaphorique à découvrir dans cette poésie en prose?
Je ne trouve rien de convaincant après plusieurs lectures attentives. Si peut-être, rester une tombe et discret de son vivant n’empêche pas de mourir et d’aller « patauger dans le basse-cour du Seigneur »? Alors si je m’en tiens au premier degré de cette histoire de canard attentif et bon copain avec tous les animaux de la ferme, je la trouve écrite avec élégance et vivacité et bien plaisante à lire jusqu’à ce que Ju, Jonas et Johana s’en mêlent et me perdent dans « l’herbe « du jardin où, comme vous d’ailleurs, “je m’égare “! Je le répète, je ne trouve pas le texte déplaisant à lire bien au contraire, mais j’ai quand même l’impression et c’est sans doute de mon fait, de passer à côté de quelque chose d’essentiel tout en relevant quelques fautes d’orthographe ( ou de frappe) qui n’échapperont pas aux correcteurs. C’est la première fois que je m’intéresse à la poésie en prose et je manque de recul et d’expérience pour juger. J’en suis confus. Toutefois en lecteur/commentateur obéissant, soucieux de bien faire et de donner un avis, je commente sans entrain et sans compétence particulière, je l’avoue bien volontiers, ce qu’on me propose en ce moment de lire… Et puis je dois noter…c’est la règle. Ne m’en veuillez pas. Peut-être aurais-je dû m’abstenir. En EL Lebarde désorienté |
Donaldo75
12/8/2023
trouve l'écriture
très perfectible
et
n'aime pas
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Est-ce de l’humour ? De la poésie humoristique ? Toujours est-il que je n’ai pas trouvé mon compte dans ce texte en prose dont la dimension poétique m’échappe totalement et dont l’humour passe à côté de ma lecture. Canards et jeux de mots, narration du genre « je vous parle, les gars, écoutez ma bonne blague », références à des publicités, voici les effets de style déployés ici. Je suppose qu’il y a un public pour ça. Je n’en suis pas.
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Provencao
19/8/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Bonjour Jeanphi,
J'aime bien cet humour qui porte la dépendance de la subtilité. Vous avez fait le choix de vous amuser de ce que d’ordinaire l’on fuit pour ne pas en pleurer ... belle distance heureuse entre la vérité et le sérieux. Au plaisir de vous lire Cordialement |
Corto
20/8/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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Comme quoi on peut faire drôle, simple et léger avec les mots. 60 secondes de lecture amusante, voilà qui ne se refuse pas.
D'ailleurs qui s'intéresserait autrement à un canard paresseux, abandonnant compagne et descendance pour se trouver un coin où, solitaire il pourra se rendormir. A une époque où le canard est élevé pour ses qualités gustatives, notre cher Bob fait figure de rescapé. Le tableau décrit ici est une sympathique évocation où la basse cour était un peu le reflet de la vie de la ferme. Ambiance nostalgie mais qui n'en pense pas moins... |
papipoete
19/8/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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bonjour jeanphi
Il est mort Bob, y'en a même qui l'ont vu pleurer... face à cette fouine qui put se laisser attendrir par ce courageux " pas va-t'en guerre " Il avait ce flegme au point de songer " mes petits canetons en proie aux rats, après moi le déluge ! Il est parti comme il vivait, sans dire un mot ! NB ouais, pas un modèle de chien de garde, ou mâle veillant au grain, un Neutre... Je souris quand-même à lire " j'sais plein de choses ; l'autre qui arrose nos fleurs avec de l'acide, lui qui fait pousser du cannabis...j'sais plein d'choses ! " Pour son côté narquois, j'ai bien aimé cette prose |
Rosaura
28/6/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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C'est drôle et enlevé. Un esprit à la Jules Renard ou Marcel Aymé. J'aime beaucoup. Et puis de jolies images : "cornes somnambules" "ce courageux de la zone d'ombre". Un croquis vivant et observateur du jardin et des lois de la nature.
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