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clementine
7/1/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Ah, le printemps 68!
Quelle année, Les Beatles chantaient, les barricades se dressaient, les étudiants se révoltaient, les ouvriers contestaient, l'essence manquait, mon fils s'annoncait. Merci d'avoir fort bien évoqué cette période en fait un peu obsolète et rejeté parfois par ses propres protagonistes. |
james
7/1/2008
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Commémoration d'un temps jadis. Ici le ton est récitatif, loin des effervescences de ce temps complètement fou. On est à la nostalgie, une jeunesse avec ses rêves et le grand soir passé à la trappe. On est en plein blues et l'auteur par ses mots arrive à nous faire partager ce sentiment simplement sobrement. C'est bien
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Anonyme
7/2/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'aime beaucoup parce que Léo Ferré est cité et qu'il est à mon sens un des plus grands poètes du 20ème, pour l'ambiance et pour les deux derniers vers (qui ne font pas la publicité de la SNCF...) Poilade en coin, c'est un beau moment de nostalgie.
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