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Couette
6/3/2008
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Emouvant cette attente de l'enfant! Tu aurais dû mettre un point après : "que tu me souris" dans le dernier vers puis "signer "papa". Du moins c'est ce que j'ai compris : un père qui se fait une joie de la naissance de son futur enfant. J'ai bien aimé même s'il y a des mots argots "pannards .."
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clementine
6/3/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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C'est très beau et émouvant et puis assez inhabituel.
En effet un père qui nous parle de sa relation avec l'enfant alors qu'il est encore en gestation dans le ventre de sa mère, c'est rare. En plus la sonorité est belle, j'ai aimé le fond et la forme. Brin d'âme, c'est trop joli! Merci et bravo. |
Anonyme
7/3/2008
a aimé ce texte
Bien ↓
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Les mots d'argot sont un clin d'oeil (un de plus) à Ferré qui
aimait en employer. Bon, ce poème là ne me parle pas vraiment... Eh oui c'est pas parce que j'aime bien Léo que je dois aimer un texte dès qu'on prononce son nom... Je ne trouve pas ce poème assez "coulant". Il y a de bon vers mais l'ensemble est assez inégal à mon sens. |
Anonyme
7/3/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Je suis touchée par cet amour déclaré à un être en devenir, je le suis un peu moins par les mots d'argot (encore que !).
Clin d'oeil à Ferré ou à Renaud ? J'aime particulièrement "tu es le moi d'un novembre". Conclusion : le futur père est attendri, la lectrice que je suis aussi ! |
jensairien
10/3/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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un poème riche d’images et d’émotions. La vie et ses convulsions de bonheurs et douleurs y sont si bien peintes. Jefka fait des poèmes touchants, sensibles, plein d’âme. Un bel hommage au père (ah oui j'avais pas compris mais apparemment il s'agit du futur père)
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Anonyme
13/2/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Deux petits "défauts"
- Toi qui pointes le bout d'ton nez au lieu d'son nez - Et tu souris à ton papa au lieu et que tu me souris papa A part cela, ce qui me touche c'est le côté maladroit de cette tendresse qui peu à peu se dessine, s'installe. Au travers du quotidien de ce papa, le changement s'opère avec l'envie de partager, de déjà créer un lien. Je retiendrai cette belle strophe : "Toi qui gigotes nonchalamment Sais-tu au moins, impertinent Le temps en deux trois mouvements Se fait la malle en dérivant" |