Page d'accueil   Lire les nouvelles   Lire les poésies   Lire les romans   La charte   Centre d'Aide   Forums 
  Inscription
     Connexion  
Connexion
Pseudo : 

Mot de passe : 

Conserver la connexion

Menu principal
Les Nouvelles
Les Poésies
Les Listes
Recherche


Poésie contemporaine
jekarev : Amour [Sélection GL]
 Publié le 22/08/15  -  14 commentaires  -  882 caractères  -  340 lectures    Autres textes du même auteur

Éternelle question...


Amour [Sélection GL]



Est-ce que tu m'aimeras toujours
Quand tout aura changé nos vies ?
L'habitude ayant pris séjour
Dans les rides de nos soucis.

Est-ce que tu m'aimeras toujours
Quand tu verras des bien plus beaux ?
Ces plus drôles te feront la cour
Avec la passion du nouveau.

Est-ce que tu m'aimeras toujours
Quand bien plus vieux que notre amour,
Je deviendrai ton petit enfant,
Tout doucement au fil des ans ?

Est-ce que tu m'aimeras toujours
Quand nous aurons tout raconté,
Et que la tendresse de nos jours,
Elle aussi nous sera comptée ?

Est-ce que tu m'aimeras toujours
Quand notre amour deviendra sourd ?
Est-ce que tu m'aimeras toujours
Quand tous les deux, seuls, sans recours,

Nous verrons se consumer la romance de notre vie, à la fenêtre de nos cœurs ?


 
Inscrivez-vous pour commenter cette poésie sur Oniris !
Toute copie de ce texte est strictement interdite sans autorisation de l'auteur.
   Robot   
1/8/2015
 a aimé ce texte 
Un peu ↑
Je reste indécis devant ce texte.
Sur la composition, je vois plus une poésie d'aspect contemporain qu'une prose.
L'idée est intéressante, mais le traitement moyen. Il y a quelques aspects bien vus mais pas toujours bien exprimés.
Ce questionnement manque de force et peut-être faudrait-il envisager de le retravailler vraiment en prose.

   Vincent   
3/8/2015
 a aimé ce texte 
Passionnément ↑
Est-ce que tu m'aimeras toujours
Quand tout aura changé nos vies?
L'habitude ayant pris séjour
Dans les rides de nos soucis.

et

Est-ce que tu m'aimeras toujours
Quand notre amour deviendra sourd?
Est-ce que tu m'aimeras toujours
Quand tous les deux, seuls, sans recours,

Nous verrons se consumer la romance de notre vie, à la fenêtre de nos cœurs?

à cette question si bien posée

je peux répondre : oui

je me suis marié en 1961 avec ma femme

et nous nous aimons plus que jamais

nous sommes sereins

certains de ne pas nous être trompés de personne

l'amour quand il existe réellement

change avec nous mais est de plus en plus beau

votre texte est merveilleux

il montre bien cette angoisse face à ce bien le plus précieux : l'amour

je l'ai adoré

   papipoete   
4/8/2015
 a aimé ce texte 
Beaucoup
Est-ce que tu m'aimeras toujours, même quand Amour il n'y aura plus? Le feu devenu tiède braise, puis inexorablement cendre froide.
Est-ce que tu m'aimeras toujours, quand " en enfance " je retomberai?
A moins que tous les deux redevenions gamin, et fillette à se promettre des illusions insensées?
Ainsi, la romance de notre vie se consumerait comme flammèches à la fenêtre de nos coeurs?
Question essentielle pour qui regarde le temps qui avance, et grignote peu à peu nos forces, nos sentiments, notre âme?
Le deuxième quatrain est équivoque; veut-il se rassurer à ce point le poète qu'avant d'être " parti " là-haut, sa douce regarde ailleurs?
J'ai bien aimé vos interrogations.

   Lulu   
5/8/2015
 a aimé ce texte 
Bien
Je lis là l'inquiétude de quelqu'un qui s'interroge sur la viabilité de l'amour, avec cette phrase interrogative qui revient comme un leitmotiv : "Est-ce que tu m'aimeras toujours ?"

On ne peut pas ne pas être touché par cette inquiétude qui appelle une réponse affirmative. Je trouve l'ensemble, cependant, un peu pessimiste, car si le questionnement peut être légitime, il suppose aussi que l'on peut avoir raison de s'inquiéter.

Maintenant, faut-il avoir peur d'aimer au risque de voir l'autre courtisé(e) par d'autres... ? Et ce n'est qu'un exemple, je ne vais pas tout relever. Evidemment, non. Il faut bien se lancer. Du reste, sans amour véritable, où va-t-on ? Si l'amour est véritable, cependant, alors, le questionnement tombe de lui-même au fil du temps et de la confiance accordée. Car il faut bien dépasser tout cela pour aimer et l'être en retour.

Mes encouragements pour ce poème.

   Anonyme   
22/8/2015
Excusez-moi... mais n'a-t-on vraiment que cela à se mettre sous les yeux ou dans la bouche ? Avec 58 poèmes en attente et peut-être -enfin !- quelques pépites ?

Alors pour ne pas être modéré, appréciation littéraire.

"est-ce que tu m'aimeras toujours"
"quand tout aura changé nos vies"

L'auteur est-il sérieux ou pratique-t-il le super-déjà-lu dans des journaux ados transcrits à l'Xième degré ?

Allons au 3ième quatrain, je le copie-colle, au cas où un lecteur aurait déjà "craqué" ou se serait coupé les veines avant.

"Est-ce que tu m'aimeras toujours
Quand bien plus vieux que notre amour,
Je deviendrai ton petit enfant,
Tout doucement au fil des ans ?"

Apoplexie. Vous allez enfin être débarrassé de moi...

"Est-ce que tu m'aimeras toujours
Quand nous aurons tout raconté,
Et que la tendresse de nos jours,
Elle aussi nous sera comptée ?"

Allez, dans un dernier souffle, héroïque... je ne peux que répondre : "Ben non, je ne t'aimerai plus dans ce cas, quelle question !"
A question ......; réponse adéquate.

Dites, que se passe-t-il sur Oniris ?

Après le "légèrement inspiré"
http://www.oniris.be/poesie/lucas-l-eloge-a-une-femme-6836.html

Je m'interroge.
Mais bon, peut-être personne ne me lira-t-il... personne n'osera-t-il (ou elle) se poser la même question...

   Fabien   
22/8/2015
 a aimé ce texte 
Pas
Bonjour, je suis aussi déçu de lire un texte de ce niveau sur oniris. Sans vouloir blesser l'auteur, il y a une recherche poétique à effectuer. Quand je vois l'indigence des rimes et du vocabulaire, rien ne me fait penser à de la poésie.
A bientôt et au travail.

   Marite   
22/8/2015
Ce texte me laisse une impression de « coquille vide ». Disons qu’il m’apparaît comme un assemblage de vers, de mots dont aucun n’éveille une quelconque émotion chez le lecteur. Il s’apparente à mon sens à une tentative d'écriture poétique « non habitée » par la sensibilité de l’auteur. Ceci est purement subjectif bien entendu.

   Anonyme   
22/8/2015
 a aimé ce texte 
Pas
Bonjour Jekarev,

désolé, mais je me suis posé la même question que RB et Fabien.
Pour ma part le deuxième quatrain m’a fait un peu peur et pour une fois je me surprends à espérer que pour la forme ce soit du second degré…

Pour le fond Lulu a assez bien analysé la question de l’amour : éternelle question… j’ajoute qu’il y en une autre de presque aussi éternelle : c’est quoi la poésie ? Je me la pose souvent, surtout depuis que je fréquente Oniris. Et je pense que vous devriez vous la poser aussi.

Mais il y a quand même votre aspiration, et parfois on sent bien qu'une réelle inspiration est sous-jacente à vos vers qu'il vous faudra quand même tisonner encore pour espérer nous réchauffer d'un vrai feu.

Sans acrimonie aucune.
Cordialement.
Corbivan

   Anonyme   
22/8/2015
Je trouve ce texte un peu simpliste dans ses questions.
"Quand tu verras des bien plus beaux". L'amour se résume t-il à ça ?
"Quand bien plus vieux que notre amour,
Je deviendrai ton petit enfant,". Ah bon..

Il me semble que ce genre d'appréhension ne témoigne pas d'une grande fusion qui mérite le mot Amour...

Je n'ai pas aimé. Désolé pour cette fois.

   David   
22/8/2015
 a aimé ce texte 
Vraiment pas
Bonjour Jekarev,

Je trouve que le texte rassemble des maladresses d'écriture. "Pris séjour" au 3ème vers ne me semblait pas très spontané, c'est un genre de collage en fait que j'associais, plus loin, à "des bien plus beaux", ça semble un effort sous la pression de la rime à formuler de façon complexe des trucs assez simples. "la passion du nouveau" est du même ordre, ce n'est pas très beau ni bien énoncé à mon goût. Avec "Quand bien plus vieux", même si l'expression me semble plus naturel, ça répète le "bien plus (beau)" précédent. Pour "petit enfant" ça peut s'entendre, mais je ne pense pas qu'il s'agisse vraiment d'un enfant nain, juste d'un pléonasme. Les deux vers "Quand tout aura changé nos vies ?" et "Quand nous aurons tout raconté," je les rapproche pour montrer ce qui bouscule la lecture, la "littérature" ou la "poésie" était sans doute plus dans ce que résumait ces deux "tout" qui ont l'air de bâcler le travail, je veux dire que ça peut être une facilité de langage oralement mais à l'écrit, ça ne me fait pas du tout le même effet. Il y a aussi "Quand notre amour deviendra sourd ?" et je ne saurais sans doute jamais à quoi il sera sourd, ce n'est pas moche en soi mais ça tombe comme un cheveu dans la soupe et ça n'est raccroché à rien, rien de muet autour ni d'évocation de la voix, de la bouche, c'est encore la rime qui plie les mots j'ai eu l'impression, et ça sera presque de même pour "à la fenêtre de nos cœurs ?" pas de rime cette fois-ci mais il apparait une fenêtre, je n'avais pas l'impression d'avoir lu une maison, un intérieur, ou quoi que ce soit qui me préparerait à cette image.

j'ai fait cette énumération parce que je pense que le problème est dans le style, bien trop entravé. Vous avez fait comme Icare dans son rêve de voler, vous avez voulu écrire un poème sur ce qui vous touchez profondément, vous avez bien ciré votre plume et ça tombe comme un soufflet, à ma lecture du moins.

C'est quand même un sentiment amoureux particulier qui est décrit, la crainte de l'usure du temps en gros, alors pourquoi donner un titre aussi large que "amour", ça ne va pas lancer la lecture sous une invitation bien nette, encore une fois, c'est un écrit, pas une parole que l'on peut moduler en fonction des réactions d'une autre personne, ça serait comme de dire "servait moi un océan" pour demander un simple verre d'eau.

Pour finir et pour le répéter, il y a sans doute de bien meilleurs poèmes qui sont cachés à la place des "tout", ou bien essayez la "vision périphérique", c'est pour éviter le syndrome d'Icare, l'éblouissement qui rend "un peu idiot", il faut baser le poème sur quelque chose de tout proche de ce qui obnubile les pensées (un paysage, un objet, ou plus abstrait même) et en parler avec la passion de ce qui peut vous animer.

   Blacksad   
22/8/2015
 a aimé ce texte 
Vraiment pas
Au-delà de la question éternelle (et un peu éculée) sur la durabilité de l'amour(et à laquelle malheureusement la meilleure réponse est à mon sens celle chantée par les Rita Mitsouko), je trouve ce texte bien trop enfantin dans ses réflexions comme dans ses formulations.
Par ailleurs, les rimes sont peu recherchées (amour avec toujours par exemple) et le style bien trop sage et appliqué.

J'espère aimer un prochain texte... mais celui-ci ne me touche ni sur le fond ni sur la forme, désolé.

   ameliamo   
23/8/2015
 a aimé ce texte 
Bien
Eternelle problème de la durabilité d’amour dans un couple. Et, comme d’habitude, l’un demande, mais il ne se demande pas, soi-même, s’il aimera aussi, toujours, son partenaire. En tout cas c’est jolie, cette poésie.

   OH2Warenghien   
26/8/2015
Commentaire modéré

   OH2Warenghien   
28/8/2015
 a aimé ce texte 
Bien ↑
Est-ce que tu m'aimeras toujours...

La question..., qui taraude et nous torture!

Je ne saurais trop dire, de peur de mal le dire sans avoir de réponses, jeune et bègue, j’ai été privé de disert…, mais j'ai aimé la profondeur de cette poésie!

   Anonyme   
1/3/2017
 a aimé ce texte 
Beaucoup
es -ce que tu m'aimeras toujours?
l'amour a plusieurs couleurs, plusieurs saveurs avec l'âge et le temps.
Il s'entretient aussi..il suffit parfois juste d'un regard , d'un geste ou d'un sourire vrai et authentique ..qui permet de répondre à cette question.


Oniris Copyright © 2007-2023