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Eki
23/8/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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Une seconde jeunesse...le texte peut être méritait mieux que cette amorce.
Une lecture agréable sur fond de dérive mélancolique avec la lumière qui pointe... Avec les ans, on devient comptable, on fait des addictions, on soustrait le nombre des années, on rajoute les souvenirs oubliés qui s'entassent... Peut-être faut-il se laisser glisser dans le grand toboggan de la vie. On ne peut pas sauter de toutes les façons. Laisser glisser et regarder le paysage qui défile. La seule issue de secours est de devenir philosophe. Je n'ai pas dit "fataliste". Apprécier ce que la vie sait offrir. Vos mots sont des battements de coeur, la vie est là. Eki coincée sur le cadran de l'horloge C'est l'analyse, la réflexion que m'inspire votre texte. |
Robot
24/8/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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La nostalgie du temps de la jeunesse n'empêche pas l'envie et l'espoir d'un renouveau.
Ne pas renoncer, regarder vers l'avant, c'est le message que je retiens de ce texte tout en nuance dont la fluidité de lecture permet aux mots de s'écouler avec sérénité. |
papipoete
24/8/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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libre
Je peux lire toute forme poétique, lire jusqu'au bout sans ressentir cette décharge, que votre poème ici me procure et m'en aller feuilleter d'autres pages de cette fameuse bibliothèque secrète. Après l'orage, lorsque s'en vont les nuages mourir sous l'horizon, ou effrayer d'autres coeurs en souffrance, " ma voix presque sourde se tait pour écouter le vent disperser des rêves... " NB non point de la poésie, mais plutôt de la dentelle au fuseau, que votre plume exécute à la perfection ! j'aime bien ce " Je " relançant toute nouvelle strophe, qui insiste comme pour donner du courage. Toute strophe m'est agréable, et votre conjugaison au passé simple, fort à propos ! n'est qu'au 8e vers, le " jour/re " qui frotte un peu... un détail ! papipoète |
Ornicar
29/8/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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L'orage du titre est avant tout émotionnel et personnel au narrateur. Le poème est celui de sa reconstruction quand, après la douleur des épreuves subies, il lui faut malgré tout "continuer" parce que, comme pour chacun de nous, il n'a pas d'autre choix. Il lui faut, il nous faut, continuer à vivre. Malgré tout.
Mais de quels maux souffre-t-il donc ? La réponse apparaît peut-être à la dernière strophe, en forme d'oxymore : "Et mes mains tremblantes / cherchèrent dans l'absence / un toit où déposer / le fardeau..." - Absence d'un proche, de l'amour de toute une vie peut-être, qui peut savoir ? L'exergue "Une seconde jeunesse" laisse la place à une lueur d'espoir. Le premier vers de chaque strophe, en forme de discrète anaphore ("Et") structure le poème. Les images ne sont pas particulièrement fouillées, ne brillent pas non plus par leur originalité folle. C'est que les éléments convoqués (l'eau, qui n'est jamais la même, la lumière, toujours changeante, et le vent) sont immatériels et fuyants, échappant à toute convoitise ou tentative d'appropriation, de fixation. A peine esquissées aussi, elles participent, sur un sujet grave, à la légèreté de l'écriture, qualité essentielle de ce poème. La dernière strophe, ma préférée, ouvre une porte sur une libération au goût de l'iberté, quand vient le moment de faire le vide, à la fois "autour" et "en" nous, élargissant l'horizon et le champ des possibles. Se délester du poids de nos vies. Idéal zen en somme. Toute petite remarque : le texte étant écrit à la première personne, pour le dernier vers, j'aurais mis "pour enfin m'en libérer" plutôt que "s'en libérer". Loin de tout artifice et sophistication inutiles, c'est la simplicité qui est à l'honneur ici : simplicité de la forme, du propos, du choix des mots, des images retenues. Il n'en faut parfois pas plus pour atteindre son but et me plaire. Dans la simplicité, réside l'essentiel. Et peut-être aussi la poésie. |
Mokhtar
30/8/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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1) La détresse s’éloigne 2) L’envie prend le pas sur l’abattement. 3) Les rêves et les ambitions se font à nouveau jour 4) Chercher à reconstruire et oubliant le passé.
Cela décrit probablement une rupture sentimentale, en voie d’être surmontée. Ce texte est très bien fait. Le ciel bleu, la clarté du jour, le vent qui emporte…belles images poétiques qui illustrent les phases progressives du « redressement » du narrateur. Je suis conquis par cette écriture à la fois sobre, poétique et concise. De l’excellent travail à mon goût. Merci. Mokhtar en EL. |
Quistero
9/9/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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Le ton général sur le fil du désarroi, pour user d’un euphémisme, me plait plutôt bien. Le ton me plait parce qu'aussi le titre laisse augurer d’une porte de sortie qui se dessine dans l’ultime quatrain. Néanmoins, et selon moi, le manque d’épaisseur des images qui est sans doute une volonté de l’auteur, grève quelque peu le ressenti après lecture. Merci.
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Damy
10/9/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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J'ai envie de copier/coller le commentaire que j'écrivis à propos de Nocturne d'Eloaire, alors je vous le dédie aussi.
Merci Jemabi. |
Marite
10/9/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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J'ai retrouvé dans ces vers la succession des "petits pas" que l'on tente de faire après avoir subi un violent orage de la Vie ... L'âme déchirée qui commence à se ressaisir et le coeur broyé qui s'essaie à l'accompagner. Restent la voix puis les mains qui, bien prudemment, sortent de leur léthargie. L'instinct de survie se manifeste ainsi ... Les images évoquées, en liaison avec la nature, permettent de saisir l'ampleur du travail accompli pour un retour à la Vie.
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