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Eki
22/2/2024
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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Cheminement intérieur lorsque l'on refait un retour sur son passé...
La tristesse nous submerge, l'état des lieux inéluctable... Ce poème traduit bien que l'automne est synonyme de mélancolie dans le coeur des êtres. On ne peut s'y détacher. Je trouve que certains vers sont trop longs et essaime un peu de poésie dans la lecture comme le troisième vers de la première strophe. Pour le dernier vers, je le trouve sans compassion cet orage qui noie le chagrin mais ce n'est que mon ressenti. |
papipoete
7/3/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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bonjour Jemabi
J'entends encore le crissement des graviers, dans ces allées du jardin, où nous allions promener. Aujourd'hui, sous mes seuls pas ce sont des douleurs de chemin de croix, que je ressens au fond de mon chagrin... NB pour quoi faire " compliqué ", lorsqu'un chapelet de mots ardents, nous murmure - j'ai si mal sans toi, et l'hiver des saisons est pour moi, la seule couleur de mon ciel dorénavant, comme dans mon coeur sous les intempéries... ceci est mon scénario, mais la version de l'auteur est peut-être celle de deux êtres toujours vivants... mais dont toute lumière a fui. |
Damy
7/3/2024
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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Très jolie évocation de la "mélancolie", au sens clinique du terme, peut-être (?).
Concerné, je suis vraiment ému. Merci. |
Provencao
8/3/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Bonjour Jemabi,
"L'épais brouillard des années a figé nos deux cœurs sur ce banc qui survit en dernier témoin d'une saison incandescente obscurcie par le froid." J'aime ce brouillard épais si mélancolique, et qui offre cette dépréciation. Cependant vos mots usités restituent fort bien leur histoire et offre cohérence à ces intempéries. Au plaisir de vous lire Cordialement |