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clementine
2/2/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Epoustouflant. J'adore!
C'est une première lecture, à froid, je vais sûrement y revenir. Pas besoin d'alexandrins, ni de rimes, ni de rien, avec vos mots "crachés", jetés, hurlés, susurrés, vous nous atteignez, vous nous entrainez, vous nous séduisez, vous, Mr Jensairien...qui savez si bien. |
Anonyme
3/2/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Effectivement, le verbe ici est puissant ...
Et qu'importe les mots! Communs ou précieux usités ou rares, que sais-je encore.. Ce qui compte c'est ce qu'ils portent. Ce poème porte un morceau de nous qu'il va chercher profondément |
Anonyme
3/2/2008
a aimé ce texte
Bien
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Je suis assez d'accord avec les commentaires précédents. C'est fort et évocateur ! Je regrette un peu la forme, mais assez puissant pour secouer le lecteur !
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Anonyme
4/2/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Très touché.
Ce n'est pas le verbe qui est fort mais les sentiments qui le dessinent. Ici l'émotion déroule son masque d'encre. |
beran
28/2/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Un fleuve d'émotions. Que du vrai! Ça ne pouvait être que comme ça ... pffff... ça me rappelle, on va dire, des sacrés moments! Mais des fois, il faut y aller pour pouvoir devenir... poète!
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Anonyme
24/6/2008
a aimé ce texte
Passionnément
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Je dis juste : FRISSONS
Et puis aussi que ça fait le ennième poème que je lis de toi aujourd' hui, jensairien, je n' en sais fichtrement rien, mais ça me fout un blues total. je vais faire un break. |
Flupke
2/1/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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C’est marrant comment ces mots simples, de tous les jours, arrivent à induire ce léger sentiment de tristesse quand je les lis. Mots bien agencés et bien choisis.
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Anonyme
4/3/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un chouia mélancolique, une très jolie complainte.
"J’aime bien tous ces chemins Et l’eau qui coule d’entre tes mains J’aime bien ton regard qui se dérobe Et le volcan que possède ta robe J’aime bien cela, ces entrelacs" Un aperçu du bonheur avant de renouer avec la mélancolie : Nos corps comme nos âmes Jamais nous appartiennent Mais suis pas certaine que ce soit mélancolique, c'est encore plus subtil, ce qui reste, après lecture. |