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clementine
26/3/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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J'aime ton univers Jensairien avec cette vision à la fois légère et grinçante.
Et j'aime énormément cet oiseau symbole de la vacuité de notre existence. |
Anonyme
26/3/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Oui m'sieur!
"Se moucher dans le bonheur" "Se ranger des fermetures éclairs" J'apprécie ce genre de vers. Tu pourrais pousser encore plus, un exemple: "Frapper des mains dans l'eau", pourquoi pas: "Frapper dans des mains d'eau"? Mais l'ensemble est bien dit, le fond percutant. Du bon jensairien |
Anonyme
26/3/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Très belles images poétiques au début...
Vraiment.. |
i-zimbra
27/3/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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C'est le verbe falloir auquel on règle ici son compte, jusqu'à cette fin désespérante, non pas à cause de la cage, mais du ciel.
Je n'ai pas compris les chevaux légers, ça ne m'évoque que "Plume de Cheval". Les chevau-légers, oui-da ! (oh tu peux souligner en rouge, correcteur automatique d'Oniris) ça a des plumes. On admirera la rare économie de moyens, typographique, avec laquelle cet oiseau donne son unique coup d'aile, pour aller becqueter. |
AnGer
19/4/2008
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que dire sinon s'envoler dans vos mots juste pour le plaisir de vous relire,
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Absolue
21/6/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'adore la forme de ce poème. C'est clair et le rythme coule naturellement... De plus, les images sont très belles sans être inaccessibles. Le fond me plaît aussi beaucoup! Je crois franchement que ce genre de texte peut toucher beaucoup de gens. Si j'étais éditrice, je le publierais:-).
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Anonyme
21/6/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Oui, il aurait juste fallu. C' est regretable de n' avoir pas su ! Et c' est trop tard. C' est triste à pleurer, à mourir, et c' est beau.
Identification totale ! j' en ai des frissons. J' aime particulièrement : " On aura été aussi vide de sens qu' un ciel " et le dernier vers. Je suis bouleversée et sans voix. |
Anonyme
24/6/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bon ben j'ai tout simplement été emporté dans la poésie.
Je réserve ma préférence à la première strophe, ce qui ne veut pas dire que les deux autres ne sont pas bien ! BRAVO jensairien pour ce texte. Edit. : j'avais mis "Bien +" mais après relecture du texte je pense que le "Très bien" est ici mérité. |
Flupke
2/1/2009
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Oh la la . Un peu trop cryptique pour moi. Je n’ai pas réussi à rentrer dans le poème. Ou bien le poème n’a pas réussi à m’interpeller. Désolé je ne pense pas être en mesure d’évaluer.
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Anonyme
31/1/2009
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Voilà quelque chose de très beau ! Je viens d'arriver sur ce site et ce genre de poésie là me bouleverse. C'est à la fois désespéré et fragile. Cela parait enfantin, et pourtant, quelle maitrise !
Je n'ose pas donner d'appréciation. Trop nouveau pour cela. |
Anonyme
15/2/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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L'avions point vu c'ui là.
Si j'osais je dirais comme les djeun's qu'il déchire sa race !!!!!!! Attention pouet pouet, vré de vré. |
Anonyme
2/1/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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"Tout finira par retomber
Doucement Dans la langueur de la stupéfaction" Oui, sans doute... encore que je me morigène ne ne pas avoir été là, au bon moment, au bon endroit, pour sauver l'oiseau. je retrouve, avec un plaisir mêlé d'angoisse, mon âme d'enfant, lorsque les oiseaux étaient encore importants. L'époque où l'on préférait voir, et comprendre. Paradis des mots. Heureuse d'être passée par là. joceline |
aldenor
30/3/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Jensairien a l’art d’une poésie dite simplement.
Cet oiseau est le constat de toute une vie. Ce qu’il aurait fallu faire. Ne pas faire. Mais on préfère ne pas voir, pas savoir, on saute du perchoir à la mangeoire. La fin est superbe. Très gracile aussi : « Comme feuille au vent / Tout finira par retomber / Doucement / Dans la langueur de la stupéfaction » D’autres passages ne me disent rien : « Plumer les chevaux légers / Démonter l’océan / Se ranger des fermetures éclairs…. Respirer seulement / Chagriner le malin / Tempêter l’incertain / Frapper des mains dans l’eau / Comme le noyé / En vain/ Affolé / Juré craché…. » Mais dans l’ensemble le message est bien rendu, le poème ne manque pas d’unité, on suit toujours l’intention de départ. Une profonde méditation poétique. |