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bernalot
4/10/2007
a aimé ce texte
Bien ↑
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Mon araignée aime tout dans ce poème à priori fantaisiste, mais un peu désabusé. Elle aime surtout le rythme et l'originalité du propos.
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Bidis
4/10/2007
a aimé ce texte
Passionnément ↓
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Génial, sinistre et drôle.
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Anonyme
6/2/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Comme ça prendre au hasard un poème de jensairien...
Constater une fois de plus que sa mygale fait des claquettes sur les ridules de son cervelet... Fermer la page un petit sourire idiot sur les lèvres... |
calouet
6/2/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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étonnant au départ, épatant au final.
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clementine
24/6/2008
a aimé ce texte
Passionnément
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Un que je n'avais pas commenté et que je trouve excellent.
C'est absurde et grincant à point, c'est Jensairienesque. |
nico84
11/1/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Absurde mais vraiment bien trouvé, beau.
C'est si facile de faire la poèsie ? Non. C'est justement sa beauté qui me le fais croire. J'adore, j'adhère. |
fufaru
26/2/2009
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Super ! un poème très long mais qui se lit très vite. Preuve de sa capacité à capter le lecteur avec de simples mots.
bravo Fufaru |
Flupke
4/4/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Du déjanté de chez déjanté !!!!
J'adore. Quel chouette moment de lecture. J'ai vraiment eu l'impression de m'évader en lisant ton poème. Bravo !!! |
Raoul
17/4/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Fascinant!
Quel plaisir de se laisser entraîner dans cette course folle, bargeotte, logique, saugrenue, en roue libre d'idées qui s'enchaînent et se déchaînent en dérive de frigo avec tant de naturel. C'est le genre de dérive qui pourrait durer trente pages… Je ne me lasse pas. Fascinant! |
kullab
18/4/2009
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Celui-là, il vaut de l'or.
Les images, les idées, le rythme... Rien à ajouter, rien à enlever... je me me tais. |
Anonyme
18/4/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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ça part dans tous les sens, avec un naturel confondant...
C'est Thiéfaine qui couche avec Dali... |
aldenor
19/4/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un poème absurde au rythme emballant qui sent le naturel, le premier jet.
Une pensée absurde ne l’est pas dans la logique de son enchaînement mais dans ses prémices : « J’habite dans le frigo ». Ce vers tombe superbement. Le poète laisse d’abord aller sa plume avec nonchalance. Laisse venir les mots. Et puis bing ! Entrée dans l’absurde. L’inspiration s’installe et la suite dans les idées, qui fait le charme de l’absurde. Un passage remarquable : « Et nos mots, nos mots Ce sont des pierres Et quand on ne s’en sert pas Pour se les jeter à la figure On en fait des phrases Comme des murs Qui nous entourent Et nous étouffent » Mais il y’a de nombreuses taches ; revers de médaille du premier jet : un passage atrocement privé de rythme : « Au bureau Je fais le beau Personne ne sait être drôle Comme moi « Épatant ! » dit Lise La fille du chef Que je voudrais marier » Une fâcheuse répétition : « Vous avez le câble ? » et de nouveau peu après « Le câble ? » « Et tout, tout » qui ne fait aucunement correspondance avec « Et nos mots, nos mots » A mon avis, ce poème mérite un deuxième jet. |
Yaya
23/8/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Je précise d'emblée que je n'y connais rien en poésie, mais là, j'ai adoré... C'est loufoque mais avec une cohérence interne, une mention particulière pour la strophe sur les mots.
Merci beaucoup. |
framato
30/8/2010
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Je ne peux pas croire que ce "délire" partant dans tout les sens, certes drôle mais qui sent vraiment trop le premier jet fasse partie des "merveilles" d'Oniris. Le nombre de répétitions est incroyable, ça me donne l'impression d'un jeu sur un bout de nappe le soir, tard le soir, après une bonne séries de bières brunes, blondes, rouges mais fortes. Un impression de chaos, de non travail terrible. Vraiment non, la poésie ce n'est pas ça, pas cette facilité, ce non travail (aussi génial soit il dans l'idée). Un texte totalement non travaillé !
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MarionTouvel
25/9/2010
a aimé ce texte
Vraiment pas ↓
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Mon appréciation sera (trop) sévère.
Ce frigo est bien vide. On aurait pu s'attendre à des descriptions farfelues, à du contenu tout simplement. Mais rien à se mettre sous la dent, à part ces araignées et ce squatteur de frigo en guise de justificatifs pour tout un texte. Pourquoi ces minuscules strophes et ces vers de quelques mots ? On dirait une prose très diluée qui singe la poésie en faisant mine d'être éthérée. Mettons tout bout à bout et on aura un début de paragraphe. A ce stade, c'est brouillon, ça se lit vite et ne laisse pas grande impression. Dans l'ensemble, c'est dommage, j'aurai ou aimer l'histoire d'un type qui vit dans son frigo. |
machin
9/11/2010
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Commentaire modéré
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