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Poésie néo-classique
Jeser : La goutte de l’écrivain
 Publié le 23/07/07  -  3 commentaires  -  394 caractères  -  87 lectures    Autres textes du même auteur

Écrit contre la goutte, cette f… plaie des bons vivants
En un mois quelconque de la douloureuse année 1997.


La goutte de l’écrivain



Un seul pied en godasse,
Mêm’si j’me décarcasse,
Pour avancer boiteux…
C’n’est pas moins douloureux !

J’essaie bien d’écrire,
Pour tenter de fair’rire,
Mais si j’prends pas mon pied,
J’arrête… dégoûté !

Si l’un d’mes pieds fout l’ camp,
Vous s’rez t’nus au courant.
Et là, direz sans doute…
Bin m’fi …On n’y voit goutte !


 
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   nico84   
28/10/2007
Je ne comprends même pas le dernier quatrain :(

Je comprends le sens mais pas la logique du texte ...

   Bidis   
28/10/2007
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↓
Quand un poète parle de pieds, il délire vite.
Quand Jeser délire, il délire bien.

   Anonyme   
10/3/2016
 a aimé ce texte 
Bien
Court juste ce qu'il faut, pour délivrer ce petit message qui fait sourire, bien que cela ne soit pas drôle de souffrir de ce mal, douloureux.

Un peu de mal aussi à saisir complètement le sens de la dernière strophe.


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