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Anonyme
9/5/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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En dépit de quelques faiblesses d'écriture, et selon moi,('des raclements de l'eau', des raclements d'eau(?)), je trouve quand même que votre poème possède une belle ossature, une moelle certaine qui le tient debout.
Je ne comprends pas le 'parmi', isolé. Fowltus. Bonne continuation. |
Goelette
13/5/2018
a aimé ce texte
Bien
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Déroulant pêle-mêle poétique à certains moments " des mots étranges dépourvus de gens" mais décousu à d'autres endroits : les bruits entendus strophe 4.
J'aime beaucoup le "parmi" dépourvu de suite et les 3 derniers vers |
Anonyme
22/5/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'ai apprécié ces renversements de sens - c'est du moins ce que je perçois - les " mots" mis pour les gens dans la première strophe.
J'ai pensé à une réception - le bruit des chaises- où les gens viennent boire et manger "du vin dans les gosiers des mastications apéritives des brisures des tintements " Parler des animaux qu'ils ont perdus " le râle des animaux morts " Des discussions diverses et variées qui n'intéressent point le narrateur " Je n’ai rien compris à ce qu’ils disaient mais ce n’était ni important ni urgent ni primordial " Et "parmi " tous ces gens a-t-il reconnu l'amour ? " C’était toi j’ai reconnu le roulement des amours ". Par contre la dernière strophe ne m'a pas séduit. Voilà ma façon d'analyser ce texte. |
Ombhre
22/5/2018
a aimé ce texte
Un peu
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Un texte qui m'a interpellé et laissé sur ma faim.
J'ai beaucoup aimé la 1ère strophe, j'ai aimé l'idée, le rythme. Ces mots affamés, étranges, dépourvus de gens pour les porter. Et puis la seconde strophe arrive, et perd la musique, des images plus lourdes (mastications apéritives ne me fait pas rêver j'avoue). La 3ème strophe manque à mon goût d'équilibre, mais on y retrouve le sens de la 1ère strophe. Et puis ensuite je m'y perds. L'image de l'archet sur l'aorte est puissante, mais la suivante m'a semblé céder au souhait d'une facile allitération sans que j'en saisisse le sens . Je reste moi aussi dubitatif sur le "parmi", et la chute ne m'a pas convaincu, ou alors je vous ai perdu en cours de route. Merci pour le partage. |
Anonyme
23/5/2018
a aimé ce texte
Un peu
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Votre titre "J'ai ouvert la porte", s'annonce prometteur ...
Après plusieurs lectures, je reste très partagé sur l'ensemble de vos propos. Il me déroute quelque peu, ce pêle-mêle d'impressions formulées. Vous me dites quelque chose qui ne m'est pas complètement audible. J'oscille trop entre compréhension et incompréhension ce qui ne me permet pas de trouver un début de fil conducteur, mon ressenti s'émousse peu à peu, il fait trop le "yoyo". |
Lulu
23/5/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Jhc,
J'ai été un peu sceptique à la lecture du début, mais j'ai repris l'ensemble pour le lire posément jusqu'au bout et à haute voix, et je l'ai trouvé beau, ce texte qui a une certaine épaisseur, une résonnance... J'ai eu le sentiment de retrouver quelque chose de commun que je n'ai jamais ni lu ni écrit d'une telle manière : "je leur ai servi / des bruits de chaises / des raclements de l'eau / du vin dans les gosiers...". C'est triste et beau à la fois, ça chante comme une certaine solitude au milieu des autres, de la foule ou même de proches... J'ai juste trouvé étrange et peu poétique, à la première lecture "des mastications apéritives", mais c'est vite rattrapé par "des brisures / des tintements / le râlement des animaux morts"... J'ai beaucoup aimé cette expression : "Le soleil perçait une pause", ainsi que tous les mots qui suivent jusqu'au bout du poème. La première strophe me parle aussi beaucoup. Tous mes encouragements. |
Pouet
24/5/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bjr,
j'ai bien aimé lire ce poème d'un surréalisme attrayant même si j'ai buté sur deux trois petites choses facilement améliorables selon moi. De façon très subjective et sans vouloir me poser en expert poétique que je ne suis absolument pas et que j'espère ne jamais devenir, voilà comment j'aurais écrit certains passages, ce qui n'a pas valeur de parole d'évangile. Mon intention n'est pas de dire à l'auteur comment écrire ni de dire "c'est ainsi qu'on doit faire", j'espère que ceci est entendu. "des raclements de l’eau": des raclements d'eau "le râle des animaux morts": des râles d'animaux morts (le "le" tranche avec les autres "des, du, de" qui précèdent.) Ou bien alors faut-il isoler: "le râle des animaux morts solennel" du reste de la strophe. "Je n’ai rien compris à ce qu’ils disaient mais ce n’était ni important ni urgent ni primordial" J'aurais juste écrit: "mais ce n'était pas important", les autres adjectifs n'apportent que redondance. (si ce n'est déjà pas "important", ça ne saurait être "primordial) Voilà, sinon je trouve beaucoup de force, de puissance évocatrice à votre texte, le passage final, notamment ce: "Le soleil perçait une pause le temps d’accrocher les orgues aux tripes des rochers puis j’ai entendu le grincement de l’archet sur l’aorte l’ivoire de la dent sur la boucle le sombre de la trompe au fond du puits" est particulièrement réussi, cette strophe à elle seule est un poème. Voilà, mon commentaire n'a d'autre prétention que d'apporter un ressenti qui, je l'espère, pourra être utile à l'auteur. Bravo pour le souffle, bonne continuation. |