|
|
papipoete
16/12/2017
|
bonjour
Dès le départ de votre plume, on comprend qu'il y aura au moins 10 strophes de 6 vers, et ça ralentit l'ardeur du lecteur qui voudrait vous suivre tout au long de la soixantaine d'octosyllabes ! Tous les événements, heureux ou malheureux vont s'égrener dans ce récit, mais même s'ils sont fort bien écrits, je crains que vous ne perdiez en route, moult regards découragés par la longueur de votre saga ! |
Anonyme
16/12/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Ces rendez-vous chez " la Montalant " (allusion à " Les bourgeois " de J.Brel) permettent de narrer une tranche de vie de chacun-une de ces camarades de classe qui s'en vont vers la vie d'adulte.
Il ne faut pas lire d'un trait, afin de ne pas se laisser rebuter par l'apparente longueur du texte ; chaque stophe est une petite histoire. Un petit + pour les deux dernières strophes. |
Azedien
16/12/2017
a aimé ce texte
Bien
|
"Eric aura sous les paupières / le bonheur qui part en arrière"
Merci pour cette image originale qui atteint directement mon imaginaire et mon empathie. Un texte nostalgique, angoissé, qui saisit d'une poigne ferme à dix doigts une solitude qui s'installe en rampant. La "longueur" (très relative) ne me pose aucun problème, elle est cohérente avec votre propos. "Allô docteur j'ai mal aux gens" Impeccable. Merci pour votre texte. |
Donaldo75
16/12/2017
|
Bonjour,
Je partage l'avis de papipoete sur la longueur de ce poème pourtant bien structuré. Il risque de décourager pas mal de lecteurs, surtout vu que le procédé stylistique est assez figé. Dix ans, ça parait un siècle ici. Dommage, il y avait de l'idée. |
Anonyme
22/12/2017
a aimé ce texte
Passionnément ↑
|
C'est long, très long, cette lecture, mais quel bonheur ...
Je vous ai lu, relu, relu, en découvrant à chaque fois encore plus de charme à votre écrit. La vie qui défile, avec des promesses de se revoir, mais le temps, la distance nous disperse, parfois le hasard et l'on se raconte ... hier ... on échange, on change ... quel curieux mélange ... Vous avez su m'embarquer, j'aime la façon dont vous nous projetez le film de votre vie, c'est rythmé, fluide, avec des petites pointes d'humour, de tendresse aussi. Ma corde sensible vivre sous votre phrasé subtil et plaisant. J'ai adoré : " Et moi je ne me refais pas ! " " Et moi et moi et moi et moi. " " Le passé qui pass’ de travers " " Allo docteur, j'ai mal aux gens " Je me suis franchement "régalé", votre écrit est "savoureux", il ne manque pas de dépeindre cette Vie, la vôtre, un de la nôtre, et puis peut-être un peu de la leur ... avec tous ces tenants et ces aboutissants, intelligemment, en plus avec une belle sensibilité. Écrit parsemé de trouvailles géniales dans la formulation, le vécu vrai, sans pathos ... Belle fresque de ce qui a été, notre temps, est qui nous file entre les doigts, n'épargnant aucun de nous. |
Jean-Claude
26/12/2017
a aimé ce texte
Un peu
|
Bonjour,
Peut-être un peu long mais ça se laisse lire. Bonne chance. |