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Anonyme
28/1/2010
a aimé ce texte
Pas
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Déçu, le public est parti.
Un grand silence en guise de critique. Le spectacle est fini, tout le reste aussi. Ce fut aussi mon cas après quand même trois lectures qui ne m'ont guère éclairé sur le thème de ce texte... Ce qui m'inquiète c'est que ce programme n'est que le numéro 1 ! |
pieralun
29/1/2010
a aimé ce texte
Bien
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Je pense, je suppose qu'il s'agit d'un cerveau qui suit le chemin lumineux et psychologiquement chaotique de la mort, ou peut-être d'un délire associé à la prise de substances....ou peut-être autre chose.
Certaines belles images, des mots simples et quelques jolis vers. J'aime bien, sur les 3 premières strophes, la voix qui sert de guide à travers les constellations, c'est assez poétique. J'aime le jongleur de pierre, la jolie brume. Belle image également que ce retour systématique aux cendres. Le tout est assez beau et stressant, cela se rapproche d'un film d'horreur quand interviennent les clowns et les mimes nerveux. Je voudrais bien savoir ce dont il s'agit. |
Garance
30/1/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Poème en deux parties.
Première partie, le jeu de la vie est attrayant et semble devoir durer dans l'euphorie de la jeunesse et de la force de l'âge. Deuxième partie amorcée par : Entracte Et puis des cendres...et l'homme suit la pente qui le conduit jusqu'à l'acte final. Le spectacle est bien décrit même si cette évocation n'est pas réjouissante. |
Anonyme
31/1/2010
a aimé ce texte
Bien
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La fin du monde qui se donne en spectacle ? Le public est parti (en cendres ?)
Je ne sais absolument pas si j'ai compris ce texte. Qu'importe j'étais au premier rang de la piste, emporté par un rythme trépident et un peu fou qui ressemble bien à cet univers de cirque. Plaisant, vraiment. Il me semble néanmoins que parfois le texte gagnerait à être plus incisif, pour aller à l'essentiel. détail : passer dans des anneaux en flamme - je crois que l'auteur est passé juste à côté d'une belle allitération en choisissant le en au lieu du de... |
Leo
1/2/2010
a aimé ce texte
Pas
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La dernière séance d'un petit cirque moribond ? La naissance, la vie et la mort solitaire, accompagné par les infirmiers-trapézistes ? Et ce ne sont que deux parmi les clés possibles de ce texte.
A vouloir être trop poétique, on atteint l'hermétisme. Un discours qui n'est pas identifiable doit se distinguer par une musique, un choix de mots, d'images particulièrement forts. Cela manque assez nettement ici. Même si les pistes suggérées sont agréables à lire, elles se noient dans une recherche de sens qui nuit fortement à l'émotion. C'est dommage, il y a de la qualité d'écriture, par moment. Évitez cependant les ruptures de registre de langage : "ça vaut le coup" appartient à un registre trivial, déplacé dans ce contexte. |
Anonyme
12/2/2010
a aimé ce texte
Un peu
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Peut-être qu'il aurait fallu développer la vision ésotérique amorcée avec la constellation du taureau pour donner une dimension inattendue à la poésie. Ici le programme est prometteur, des formules et des finesses verbales pourtant mais je ne sais pourquoi je m'attendais à davantage de fluidité dans le phrasé. Jinn sait écrire, et bien, un autre poème sans doute me conviendra mieux.
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Anonyme
12/2/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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j'ai dû relire plusieurs fois certains passages pour comprendre les images. Ton poème est d'une grande originalité, le cirque en guise de métaphores pour désigner le ciel et les éléments.
Des images fortes, des personnages/éléments hauts en couleurs. Et ça brille, ça bouge, ça tourbillonne. Ça démarre par une ambiance sereine et brillante puis vint le tumulte. Commence une catastrophe (naturelle): " Encore des cendres, la mort, le vide." Puis vint le calme après la tempête et des clowns déçus (en états de chocs?) la quatrième strophe est celle que je préfère, je la trouve très belle. Merci pour le spectacle. Un bon moment de lecture. Magique. |
Bartholomeo
12/2/2010
a aimé ce texte
Bien
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J'ai bien aimé la comparaison entre la tombée de la nuit et un spectacle de cirque...je regrette juste qu'à la fin du texte ne se trouve un rappel de cette nuit qui tombe...on a presque l'impression que la métaphore du début a filé...
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bulle
14/2/2010
a aimé ce texte
Bien ↓
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La nuit, le jour.. La naissance, la mort..
Un spectacle d'ombre et de lumière, de feu et d'eau. Il y a de jolis mouvements qui me plaisent, quelques balancements qui rythment la scène. J'ai buté au début sur les passages "parlés", mais après relectures, j'en saisis par les entames "Ne la quittez pas des yeux" .. "Bientôt vous verrez".. "D'abord..." que cette présentation paraît être faite par un Monsieur Loyal.. Le ton "sec" m'a surprise, mais j'ai trouvé l'ensemble agréable. |
ANIMAL
14/2/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Ce texte un peu fou a quelque chose de fascinant. J'aime bien son rythme endiablé et cette succession d'images en apparence dissonantes et qui en réalité forment un tout indissociable.
C'est son hermétisme apparent lui-même qui me parle. Je ne cherche pas à analyser, je me laisse porter et à la fin du spectacle, je me dis "quelle aventure" en sortant de la salle. Voilà un poème, je pense, qui gagnerait à être entendu. |
jaimme
19/2/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Métaphorique du cirque, du grand spectacle, pour un événement céleste. Peut-être la supernova de 1054 qui marqua les esprits lors du grand schisme...
Un très beau thème, un très beau choix de traitement. Un beau tour de passe-passe, normal pour un djinn. Attention à l'utilisation des "comme" (deux en plus) qui pointent trop les métaphores. Un peu arrêté aussi par "mais ça vaut le coup", en phase avec le phrasé du Monsieur Loyal, mais un peu choquant dans le registre utilisé. Pas joli: "Les meilleurs des". J'aime beaucoup: "Une jolie brume en tenue légère, on ne voit qu’elle.". Merci Jinn, au plaisir de te lire à nouveau. |
David
21/2/2010
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Jinn,
Une légereté dans l'écriture, un absurde pas trop absurdement perché, peut-être simplement les tirades d'un clown triste. J'ai du mal avec ce passage : "Les nuages s’écartent comme des rideaux Et le tonnerre par trois fois, comme une canne." Est-ce que les nuages et le tonnerre s'écartent ? Les nuages comme des rideaux et le tonnerre comme une... canne. C'est pas vraiment ce qui est écrit mais c'est le seul sens que je parviens à recomposer. L'explication n'est pas le pus important, mais j'ai du mal à croire à l'insensé, il y a forcement quelque chose à lire. Si ce n'est un passage comme "Encore des cendres, la mort, le vide." ou un autre, à la fin "Le spectacle est fini, tout le reste aussi." c'est plutôt l'humour, un humour assez doux, qui domine dans le poème. S'il y a une certaine noirceur, elle est vraiment saupoudrée, comme par un marchand de sable, j'ai envie d'écrire. Je suis curieux du prochain numéro... |
Anonyme
9/1/2017
a aimé ce texte
Pas
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Je suis ce spectateur déçu du spectacle qui m'est présenté, il est sans teneur, sans profondeur, il est artificiel, l'émotion n'y est pas et puis cette phrase déjà lue et relue " - « Les tickets ne seront ni échangés, ni remboursés ! », c'est trop basique.
L'idée semblait originale, mais vous n'avez pas réussi à la faire davantage évoluer, s'envoler, elle est juste des mots qui se lisent, mais qui ne se projettent pas. Je trouve à l'ensemble un manque de cohérence. Je reprendrai vos propres mots : " Déçu, le public est parti. Un grand silence en guise de critique. Le spectacle est fini, tout le reste aussi. " Je n'en dirai donc pas plus ... |