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BlaseSaintLuc
8/4/2019
a aimé ce texte
Pas
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ah "mime" n’eut pas rimé avec "domine" mais c'était la plus précis destin pour un reflet
bien-sur le sens de "mine "reprend souffle plus loin puisque qu'un esquif brise l'onde de sa rame bon l'esquif est bigarré soit ,il se doit de rimé avec les nuages égarés on tord le coup d'un canard au vol , il faut trouver rime en classique pour prendre bon envol j'ai renoncé (provisoirement au classique ) justement pour ne pas forcer le vers et me rompre les os sur une poétique en travers |
Mokhtar
12/4/2019
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Présenté en catégorie classique, ce poème sera surement reclassé ( métrique vers 10, Hiatus vers 13, césure vers 9) + de nombreuses rimes fautives.
J'ai cherché en vain la "piste" vers laquelle l'auteur voulait emmener son lecteur. Mais je suis un peu gêné dans la lecture par les recherches de rimes trop forcées. Le lac "domine" quoi. C'est quoi le "fin réceptacle" ? Il y a bien le rossignol réglementaire mais personnellement, j'aurais plutôt bigarré les nuages et égaré l'esquif. Désolé, mais je ne réussi pas à me forcer à trouver de l'intérêt pour ce texte. Une autre fois peut-être. Mokhtar en EL |
Donaldo75
29/4/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour JJund,
L'incipit nous livre une piste; je la trouve effectivement intéressante. Pour ma part, ce poème est réussi parce qu'il a du souffle, mesuré à dessein, de la musicalité, du rythme. Le format utilisé permet la mesure, la précision dans le choix des mots et des tournures, ce qui donne une impression de film documentaire aux tournures poétiques, aux effets picturaux. J'ai vraiment aimé. Merci pour le partage. Donaldo |
Anje
29/4/2019
a aimé ce texte
Bien
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A la lecture de ce poème, on sent qu'il y a eu du labeur. Et on le sent trop. L'acharnement à trouver la juste rime transpire, sue sur l'image et la délave. L'homophonie (domine/d'eau mine) ne trouve sans doute pas l'écho que l'auteur lui souhaitait. Et les inversions ; j'essaie de les oublier depuis que l'on ma justement fait remarquer qu'elles alourdissent la lecture. C'est dommage car il y a dans ces vers des couleurs, des senteurs qui ne demandent qu'à éclater, qu'à exhaler.
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Anonyme
29/4/2019
a aimé ce texte
Un peu
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" Dans un parc au soleil, un large lac domine." curieux !
Je trouve la phrase du vers 2 à 5 assez alambiquée et pas très fluide. Bon, c'est le printemps, la saison des amours, et la gente volatile le fête... C'est dans l'ordre normal des choses. " Caquetant, un passager........et prenant l’aviron, Dessine sur l’eau quelques symboles frivoles " c'est un canard qui conduit la barque ? " Phantasme ", pourquoi pas. " Et l’on range le manche en son fin réceptacle." Est-ce une allusion à ces amours ? Je n'ai pas réussi à entrer dans ce texte. A vous lire une toute prochaine fois. |
papipoete
29/4/2019
a aimé ce texte
Un peu
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bonjour JJund
Au Printemps, tout resplendit alentour, et dans les esprits ; la barque nonchalante froisse la surface de ce lac où canards et passereaux préparent le scénario de leur cour...mesdames s'agitent ça et là... NB un petit tour sur l'eau, en poésie... Mais certaines phrases ( mine/des arbres ? ) ( qui du canard...réplique ; une inversion quelque peu torturée ? ) ( charmé par pareils = char/par/par ; très rugueux ! ) Cet endroit fort bucolique au demeurant, se trouve chamboulé à travers votre plume trop " appliquée " ! |
senglar
29/4/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour JJund,
Ethéré, de belles images, notamment dans les premiers vers : "L'onde pure et câline en son reflet mine Des arbres, des ciels, des nuages égarés, Brisés par la rame d'un esquif bigarré" Très, très beau ça ! Puis c'est une invite à l'amour, tout y invite : la nature, les oiseaux. Et l'oiseau par excellence ici après la danse des canards, crrrr ! : "Rossignol, rossignol de mes amours Dès que minuit sonnera Quand la lune brillera Viens chanter sous ma fenêtre" L'une des rares chansons que j'aie apprise par coeur (mis à part les paillardes évidemment) - Luis Mariano, Maria Candido). Ben oui, tout le monde a ses failles... ou ses faiblesses, ses éclairs de génie. C'est selon. L'auteur écrit : "Diverses... compréhensions sont possibles..."... Je n'oserai pas la piste psychanalytique... parce que le manche d'une rame, aïe, même rangé en son fin réceptacle... Lol senglar |
STEPHANIE90
29/4/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour JJund,
surprenante et intéressante lecture !!! Une esquisse du jeux amoureux en poésie fantasmagorique !?! De la subtilité, il faut vraiment creuser le liniment poétique pour en savourer son contenu. Le canard au col Vert, tout un programme : la femme sage a droit à son canard alcoolisé de préférence. Rire ! enfin ça c'est plus où moins la définition du dictionnaire de la langue Verte d'Alfred Delvau parut en 1866. Pour adoucir ses mœurs peut-être ? Soyons sérieux 2 minutes... L'onde pure et câline...l'aviron qui dessine sur l'eau... , le rossignol qui s'envole, une barque voyeuse où voyante et un manche que l'on range en son fin réceptacle... Le seul petit grain dans le rouage est le douzième vers qui me semble inutile sauf pour la rime... Cela gâche un peu le tout alors qu'ensuite vous clôturez avec brio... Merci pour cette vivifiante lecture, StéphaNIe |
Davide
30/4/2019
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour JJund,
Oui, il y a des maladresses et des facilités d'écriture presque "grossières", dont ce "d'eau mine" et ce "col vert" qui ne sont pas du meilleur effet. Pourtant, je trouve ce poème très charmant, musical à souhait, il y a quelque chose du "Passeur d'eau" dans le paysage dépeint (poème d'Emile Verhaeren). De plus, de belles images émaillent cette escapade en "esquif" sur le lac, avec notamment cette rame brisant le reflet de l'eau ou dessinant quelques symboles... Très sensible à la beauté de son "univers poétique", encore en gestation dans ce partage, j'espère une autre publication de l'auteur(e). Je me permettrais (en toute humilité) de lui conseiller d'éviter ce que j'appelle les "effets de style" : ne pas chercher à faire des jeux de mots qui, au final, ne font que nuire à la poésie. Malgré tout, j'ai bien aimé ce poème. Merci, Davide |