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Anonyme
17/2/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Commentaire de Grange:
Un très beau texte dont la seule faiblesse — selon moi — est cette référence à une personnalité du temps présent. Cette précision (Elle évoque Arielle Dombasle) nous ramène un peu trop vite sur terre et dans le monde des "vrais gens" alors que précisément j'aurais aimé construire ma propre image de la personne évoquée avec ce qui en est dit dans les premiers vers qui sont magnifiques tels quels (caryatide). Dommage d'affaiblir ainsi ce très beau texte. Le titre gagnerait à devenir "La caryatide" où je ne sais quel titre de votre choix et à éliminer la référence à Arielle Dombasle. |
Brume
18/2/2017
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour,
Je trouve que les répétitions de "elle" et "lui" sont trop nombreuses et n'apportent pas grand chose. Je ne saisie pas l'utilité des points d'interrogations après les pronoms personnels. Les pronoms n'indiquent rien d'interrogatif, à ma lecture il me semble que les personnages sont bien affirmés au niveau de leur identité et de leurs actions. Je ne comprends pas le choix de découpage de vos vers, à ma lecture cela rend le rythme trop haché et nuit à l'émotion que vous souhaitez donner à vos personnages. Je pensais qu'Arielle était le nom de cette femme nimbée d'un voile noir, mais non vous évoquez la chanteuse Arielle Dombasle qui apparaît dans votre poème comme un cheveu sur la soupe. Je pense que vous devriez retravailler votre poème en supprimant les nombreuses répétitions, et pour un rythme plus harmonieux, plus fluide, revoir les retours à la ligne. |
costic
19/2/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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beaucoup aimé le jeu des pronoms qui nous ramènent à l'enfance, le rythme syncopé, l'ambiance envoûtante qui nous fait succomber à la séduction et au charme de la poésie.
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Anonyme
19/2/2017
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour,
Ma lecture me semble assez positive dans l'ensemble ! L'auteur a choisi un champ lexical, une syntaxe, même une ponctuation, dont la singularité surréaliste me touche beaucoup. Le fond m'échappe peut-être, je vois un tableau en deux temps rassemblés dans un instant commun, la réminiscence peut-être pour cette Arielle. Et au final peut-être que j'aime bien ne pas être certaine de ma lecture. La construction souligne le flou, elle déstabilise le lecteur (peut-être un peu trop, peut-être pas assez)... Les six derniers vers sont ce que je préfère dans toute la poésie. J'aurais aimé que toute l'oeuvre soit de cette force, de cette puissance dans l'évocation, dans l'épure de l'image (qui ne peut être parlante qu'en étant muette). Et donc j'en viens à ce qui me dérange dans l'ensemble, car oui, je trouve ce texte trop parlant pour être des images muettes. Sur le rythme c'est bon. Mais sur la force d'évocation et du coup la valeur poétique ajoutée aussi, je pense que certaines choses peuvent être allégées. Au choix et de manière non exhaustive : "Précieuse et sophistiquée Moues enfantines Regards doux et langoureux" c'est tellement commun et plat pour décrire la chose, que je ne trouve pas d'accroche pour me représenter ces derniers. Du coup l'effet image est complètement tombée à plat et je reste muette... "Une tonsure légère" est joli dans les sonorités et très moche dans l'image au moment où elle tombe. "Les yeux, les moues, les inclinations," "La grâce empruntée" même remarque que pour les premiers vers cités, je perds de la force évocatrice, l'image est plate, surtout qu'après viennent : "Les mains Une étreinte mimée" qui par contre se tient de ce point de vue. Idem au final pour "Et dépose un baiser doux" heureusement suivie d'assez près par "Sur les lèvres de Lui" pour faire oublier la banalité de l'acte... un baiser doux, sérieux ? Une gifle qui claque, ou un marteau qui cogne aurait été lapalissade plus subtile. Avec mes excuses et sans vouloir vexer l'auteur. Une certaine inégalité donc, dans la construction (rattrapée quelque peu par la beauté de la fin et la forme choisie) qui au contraire du flou agréable qui la ponctue, jette une forme de faiblesse sur les jolies trouvailles qui le ponctuent. J'espère que mes remarques pourront être utiles et que l'auteur ne se formalisera pas de mon perfectionnisme, j'aurais aimé que l'auteur aille jusqu'au bout de son idée, qu'il ose le surréalisme à fond. Dommage, c'était pourtant bien fini ! Au plaisir de vous relire, et bonne continuation ! |
Anonyme
7/3/2017
a aimé ce texte
Un peu
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" Caryatide d'albâtre " ...
" Elle recule sa chaise La grâce empruntée Se lève doucement " une caryatide assise ? Assez nouveau !! " Retenue de l'affaissement programmé " je ne saisis pas le sens de l'image. " Lui, invisible " "Lui est là, Une tonsure légère " (?) " Évoque Arielle Dombasle En plus mûre " (!) Je n'ai ressenti aucun intérêt pour ce texte ; une scène d'une pièce de théâtre peut-être ? |
Robot
7/3/2017
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Au début je croyais que le narrateur décrivait une statue qui ressemblait à l'actrice Arielle Dombasle. Mais après plusieurs lectures, voilà comment je lis ce texte:
Le narrateur observe un couple, On peut supposer que le narrateur est un homme car il s'attache à décrire plus Elle que Lui. Ça nous donne un récit déséquilibré. Le narrateur trouve qu'ELLE ressemble à Arielle Dombasle pour qui il a de l'admiration. Mais dans la strophe: "Elle ? Evoque Arielle Dombasle En plus mûre" A cause du point d'interrogation on a l'impression que c'est la femme qui évoque être Arielle Dombasle. Ce n'est pas très cohérent. Et ces lui/elle interrogatifs ne servent pas l'ensemble qui s'en dispenserait aisément, et de plus ça donne un aspect désordonné au récit. "La tête haute Retenue de l'affaissement programmé" Ce n'est flatteur ni pour "Elle", ni pour Arielle Dombasle. Je reste sur l'impression d'un récit anarchique et mal construit. Et dont je n'ai peut-être pas saisi le sens |
papipoete
7/3/2017
a aimé ce texte
Un peu
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bonjour JMCO ( il ou elle )
Je vois un commentateur de sport ou autre fait notable, décrire pour nous ce qu'il voit ; un homme et une femme bougent, posent et ressemblent à ... Un style presque télégraphique avec des tournures parfois alambiquées " retenue de l'affaissement programmé " ? " sur les lèvres de/lui " " anniversaire de/un " Chaque nouvelle ligne en " libre " n'impose pas une lettre majuscule . NB la première strophe exceptée la phrase " retenue ... " annonçait pourtant un texte accrocheur, hélas ... |
lucilius
8/3/2017
a aimé ce texte
Pas
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Histoire sans paroles ou commentaire d'un tableau (peinture/photo) surréaliste ? un peu des deux mon capitaine !
Je découvre une scène animée sur un jeu muet de séduction et qui soudain se fige... sur Arielle Dombasle et sa fraîcheur éteinte. Aïe aïe aïe mes aïeux ! Qu'est donc venue faire la Cariatide dans cette galère ? |
JeanMarc
8/3/2017
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
J'ai une double sensation en lisant ce texte, il me vient des images qui parle beaucoup avec un texte qui vient d'être publier sur les personnes qui ne se parlent plus... et puis j'ai du mal a rentrer dans ce texte parce qu'il manque des suites à ses mots même si je suis souvent un adepte des phrases que le lecteur peut finir à sa guise. C'est bizarre mais la poésie est aussi parfois bizarre. Je repasserais vous lire. |
Proseuse
8/3/2017
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour JMCO,
Votre poème me laisse une drôle d' impression un peu mitigée tout de même, j' ai cette sensation que vous avez pris le parti d' être totalement extérieur aux scènes que vous décrivez , un spectateur qui pense tout haut , mais sans vraiment s' émouvoir de ce qu' il regarde, de ce qu' il me montre ! je me trompe peut-être, je ne sais pas ... mais pour moi, il y a quelque chose ici, de pas fini ! En même temps, c' est aussi un parti pris possible en matière de poésie sans doute ? Merci de toute façon pour ce partage et à vous relire une autre fois bien sûr |