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David
26/11/2008
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour Joconda,
J'ai bien aimé l'espèce de violente lassitude qui se dégage. La fin m'a fait un drôle d'effet, le "toi" et "moi" serait plus rapprochés que le "panorama" ne s'égayerait pas pour autant. Ils regarderaient ailleurs, sans doute. |
Doumia
26/11/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Super !! Franchement ton poème aurait pu être sinistre tant ce que tu dénonces est tristement réel. Tu as choisi le ton qu'il fallait je crois. Il y a quelques phrases bien trouvées et très amusantes, le tout est bien tourné.
Merci pour l'humour Doumia |
beth
2/6/2011
a aimé ce texte
Bien
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J’ai bien aimé cette épine dans le cœur et dès la première strophe avec la métaphore de l’orgueil citadin coulant dans les égouts.
Le prosaïsme parlant des images ou des données: vue panoramique en deçà de la braguette / 2 mois de loyer en retard Tout est dit dans ces lignes du ressenti sur le Social. Joconda publie pour son petit frère…peut être publie-t-il ici en son nom maintenant ? Merci pour ces vers libres. |
Ashanon
2/6/2011
a aimé ce texte
Bien
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Très intéressant.
Mais je voudrais savoir, puisque le règne de l'ordre se termine au seuil de la porte de l'auteur, est-ce en sortant ou en entrant ? J'adore les cigognes et leurs bébés morts-nés. Les deux mois de loyer impayés, les acrobates de l'échelle sociale : quelles images ! tout un symbole ! Bravo. |
Anonyme
5/1/2017
a aimé ce texte
Pas
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"Une épine dans le cœur" dit l'incipit, est-ce pour cela qu'il se dégage de votre écrit autant d’amertume.
Que de noirceur, c'est sinistre, ce texte. Certaines phrases sont plus que déplaisantes, je n'aime pas leur formulation : - " un peu plus bas que ma braguette " !! quel en est l'intérêt - " laissent tomber des bébés morts-nés " quelle horreur ! - " Un groupe de vrais cons " pourquoi, parce qu'ils existent des faux cons" de toute façon on est toujours le con de quelqu'un Je comprends ce que vous voulez exprimer, c'est la manière dont vous le faites qui ne me convient pas, elle est trop caricaturale, trop dans l'excès, cela heurte plus que cela interpelle. Un langage plus mesuré est plus persuasif, davantage entendu, compris. Cet écrit m'a quelque peu horripilé, il se veut donneur de leçon, il a aussi un petit côté "méprisant". Franchement je n'ai pas aimé l'ensemble de cet écrit. |