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Anonyme
28/7/2016
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Une succession d'images dont le sens m'échappe en grande partie.
Peut-être d'autres commentaires me feront percevoir cette ''clarté''. |
Vincent
28/7/2016
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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bonjour
vous avez beaucoup d'imagination et j'adore ça vous m'avez pris par la main m'emmenant dans des décors froids et chauds avec des matières saisissantes les images sont merveilleuses |
plumette
28/7/2016
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Bonjour Joss
je reste totalement en dehors de ce poème. je bute sur le sens, je suis obligée de chercher dans ma réserve personnelle de sensations, d'images et de vécu pour tenter de m'approcher de ce que l'auteur a voulu transmettre. mon ressenti à la lecture de ce poème ressemble à ce que je peux éprouver parfois devant une oeuvre d'art contemporain conceptuelle et qui me reste hermétique. "Une journée De verre à tenter de réanimer L'aurore et l'éphémère" je relève ces quelques vers car je m'y retrouve un peu plus qu'avec le reste tout en ne sachant pas trop ce que m'évoque "une journée de verre" une autre fois peut-être Plumette |
Robot
28/7/2016
a aimé ce texte
Bien
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Les deux premières strophes ne m'ont pas parues engageantes. Aérophane - squelette exotique - c'est trop technique.
La suite est heureusement plus relevée et même très poétique. Elle pourrait se passer de ces deux strophes initiales. "Se faufiler derrière les vitres embuées Pour y boire à travers," "les battements d'obscurs métronomes, Cliquetants comme autant de fantômes Déglingués et sourd " Sont des images que je relie facilement au thème de l'incipit, celles là me parlent. Donc sentiment mitigé. |
hersen
28/7/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Une immense nostalgie se dégage de ce poème et le titre en est magnifique. Le mot déterrer évoque ce qu'on voudrait n'avoir jamais perdu mais qui est enfoui trop profond.
l'univers marin, frais, limpide. Puis Un univers dévasté s'en dégage, des vacances anciennes dont une breloque perdue traîne dans la végétation d'un jardin en friche. venir boire ce passé à travers la vitre embuée, encrassée par les machines qui ont cassé le rythme des saisons; Une journée de verre à tenter de réanimer l'aurore et l'éphémère Regarder cette clarté du passé à travers la vitre de la vie. Aurore pour la lumière, éphémère pour fragilité. tout s'est enfui, irrémédiablement. Le dernier mot du poème illustre l'anéantissement de cette clarté que l'on a essayé de retrouver. Deuil. Merci de cette lecture |
Sodome
28/7/2016
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Il y a de beaux morceaux qui me frappent, des jeux de la matière réussis, mais l'ensemble est un peu faible : tout n'est pas bien lié, on a l'impression que le texte ne tient pas bien debout.
Il y a le métronome pour équilibrer tout ça, dommage que vous n'en ayez pas suivi le rythme. |
Lulu
28/7/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Joss,
comme d'autres, j'ai eu un peu de mal à me représenter ce que vous avez voulu signifier dans l'ensemble. Les images parviennent difficilement à se faire, mais malgré tout, et peut-être suis-je loin de ce que vous avez écrit, j'ai imaginé, en vous lisant, que vous relatiez un souvenir né d'une visite d'un parc aquatique... J'ai de fait perçu de belles images aux côtés d'un brin de mélancolie qui survient dans la dernière strophe, comme s'il éclairait l'ensemble. J'ai aimé le rythme de vos vers à l'exception de ce vers que j'ai trouvé trop long, car brisant l'ensemble : "Squelette exotique ébréché par les fonds écailleux". Bonne continuation. |
MissNeko
28/7/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Beaucoup d images extrêmement poétiques et belles mais qui peuvent parfois dérouter la lecture.
Mais l ensemble du texte est vraiment très beau même si un peu sibyllin je dois l avouer. J ai beaucoup aimé ce passage : Au point de chute aérophane du torrent Dans le creux mouillé de sa main tendue Rouille Un éclat de corail arrimé à l'écume sablonneuse D'un entrelacs de dunes Un moment de lecture qui flirte avec la magie des mots : on ne comprend pas tout mais la magie opère. |
Pouet
29/7/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Un côté surréaliste qui n'est pas pour me déplaire. C'est assez évocateur et par moment très réaliste comme le passage sur le "trophée" qui trône au-dessus de la cheminée... On (je) imagine une journée dans une petite maison de bord de mer, on ressent la nostalgie, l'attente et une certaine angoisse, le tout n'étant pas dénué de beauté. Beaucoup trop de passages à relever, l'ensemble me plaît en l'état. Franchement mon style de texte, j'ai lu avec grand plaisir. Bravo à vous, au plaisir de vous lire. |
Anonyme
31/7/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Bonjour,
je voulais commenter votre poème, car j’en ai apprécié la richesse poétique, cette dissertation imagée et nostalgique autour du thème de la clarté, ou de la lumière…en incipit vous parlez de la vie fragile. De quelle vie parlez-vous : la lumineuse qui se laisse percevoir et vivre parfois, je suppose. Je voulais le commenter (et quelques autres d’autres auteurs publiés sur le site récemment), mais je ne me sentais pas inspiré, alors j’ai remis…là comme vous vous plaignez un peu du manque de commentaires reçus, je me force à sortir de ma léthargie…voici donc que mon pauvre commentaire est posté. Un dernier mot : continuer à écrire avec cette petite flamme lumineuse que je perçois…et ainsi nous éclairer… A + C. |
Lylah
2/8/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Pour moi, la "clé" de ce poème aussi touchant qu'original est dans ces vers, très beaux :
"Une journée De verre à tenter de réanimer L'aurore et l'éphémère " Une douce mélancolie, ou une peine profonde ? On peut tout envisager et c'est ce qui m'a touchée dans ces lignes... Au plaisir de vous lire encore |
Anonyme
7/9/2016
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Un poème magistral, un texte riche, dense de sens et d'images que la forme libre met en avant, impossible de ne citer qu'un passage sans vouloir citer le texte entier pour sa qualité, dans l'attente de lire vos prochaines œuvres !
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