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Brume
9/12/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Petite faute d'inattention j'imagine: "S'il faut-il aller plus loin, " - " Faut-il aller plus loin," si c'est ce que vous vouliez écrire il manque donc un point d'interrogation. J'ai bloqué dans la 5è strophe: "Meurt un oiseau marin dans un flash d'overdose," si l'oiseau marin est une métaphore, je trouve qu'elle ne colle pas... la rue, la ville, le bitume, et...l'oiseau marin...marin égale la mer, le port...bref. Jusqu'à la fin, noir c'est noir il n'y a plus d'espoir. J'ai lu votre poème comme un polar, la rue dans la nuit illuminée par les réverbères. Une ballade dans la rue, contemplation amère de la misère humaine dans les 2 sens du terme: sociale et affective, visible et invisible. L'écriture est très belle, vous avez su instaurer une atmosphère sombre et torturée qui met bien en valeur cet univers désolant. PS: Commentaire fait en EL, la petite faute d'inattention que j'ai relevé a été corrigé à ce que je vois. |
Robot
9/12/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une poésie éloquente sur la misère que l'on rencontre de plus en plus dans les rues de nos villes.
Sans appesantissement mais avec beaucoup d'émotion on suit grace aux métaphores et aux images expressives le cheminement "dans le cœur de Paris, des visages fêlés" Je me suis beaucoup attaché à l'avant dernier quatrain expressif sans grandiloquence. |
papipoete
9/12/2016
a aimé ce texte
Bien
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bonjour Joss,
Drame ordinaire de la vie au ras du macadam, où ceux qui n'ont rien, ou qui n'ont plus rien, rêvent encore ou font des cauchemars . Ici, on ne naît pas mais il arrive qu'on y meurt ! Trop de douleur, trop de malheur , ce soir un " visage fêlé " n'en peut plus ; il entend grincer l'acier ... |
Anonyme
9/12/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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" Les larmes ont triomphé que faisions-nous là,
Les mains dans les poches à regarder passer La douleur, le fracas, tout comme au cinéma " L'habitude de voir et ne pas s'attarder sur la misère ; l'indifférence qui s'étale sur notre société. Des images expressives pour définir " la peine dans des rues bousculées ". " Qui contre un peu d'amour bazarderaient châteaux Et matelas en soie qu'ils n'ont jamais reçus " |
LenineBosquet
9/12/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
Un texte sombre, je crois voir un quidam dans le métro qui voit défiler sous ses yeux la misère ambiante. Le cauchemar prend fin quand le métro freine, il est l'heure de rentrer chez soi et de fermer sa porte, ne plus voir. J'aime beaucoup le thème, le ton mais aurait d'autant plus apprécié avec un léger effort sur la métrique (je compte plusieurs vers de 13 pieds me semble-il). Merci! |
Anonyme
9/12/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonsoir,
De belles images pour ces "Effrois de trottoir" dans une ambiance noire et subtile propice à la mélancolie. Wall-E |
Anonyme
10/12/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour
J'ai apprécié cette succession d'images urbaines où abondent les figures de style. Peut-être un peu moins le rythme qui me semble parfois heurté. Mais sans doute est-ce voulu. |
Noran
11/12/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'ai apprécié l'ambiance sombre de ce poème urbain.
J'imaginais les phares jaunis des voitures passant sous l'orange réverbère. Un léger côté Old School, qui ne me déplaît pas du tout, j'ai eu le sentiment de me retrouver devant le générique d'un Maigret, avec sa bande son cuivrée qui monte en tonalité ( c'est un compliment ). Je me suis même surpris à attendre Monsieur le Commissaire au détour d'un vers. Peut être une prochaine fois, dans une semblable ambiance ;) Bien à vous. |