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papipoete
14/6/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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libre
Quel est donc ce sentiment qui fait la vie heureuse, et donne dans le cou des frissons posés d'une bouche ? L'héroïne rêve les yeux grand-ouverts à celui qui la ressuscite chaque fois qu'elle perd conscience, s'abandonnant entre ses mains de velours . NB de belles couleurs, de tendres images et des mots bien doux pour évoquer l'amour ! J'aime particulièrement le titre ! papipoète |
Anonyme
27/6/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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De belles images pour signifier cet attachement, voire passion pour l'âme soeur.
" quand le ciel est clair je te respire et le soleil me suit " "quand le soleil construit le raisin " original ! Une lecture agréable. |
jfmoods
27/6/2018
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Le titre ("Comment t'appelles-tu déjà ?"), répété trois fois dans le poème, est un clin d'oeil malicieux et affectueux à la personne aimée.
Le rythme du coeur épouse celui de la nature. Les sens s'épanouissent dans l'écrin flamboyant de la relation amoureuse (métaphores : "couronne d'odeurs", "je me suis étendue sur un buisson de vent", personnifications : "l'été rythme mes dernières forces", "le soleil me suit", périphrase élective : "l'or du ciel tombe en rayons chauds", parallélisme : "le soleil construit le raisin" / "j’ai dans mon cou, ta bouche", comparaisons : "ta voix chuchote comme un ruisseau", "Ta caresse est comme un jardin de réséda", question rhétorique : "Aurais-je pu ne pas t'aimer", retour fasciné de l'amorce : "quand" × 6, toucher : "lèvres", "tes bras m'enserrent", "le baiser résurrecteur", "Mon velours", toucher et goût : "le velours d'une pêche à une autre pêche", goût : "pain d'épices", "fondante et suave", "Ma soif", odorat : "les citronniers deviennent aromatiques", "la fougère, / la violette", vue : "le ciel est clair"). Une ligne de partage s'esquisse. J'ai fait de toi un homme en te tirant des griffes d'une compagne oppressante ("ta solitude vaincue"). En retour, tu as fait de moi une femme en me ramenant à la vie ("J'ai pris de toi tout le baiser résurrecteur"), en me donnant tout l'oxygène dont j'avais besoin ("Je te respire"), en me faisant découvrir la plénitude de la sensualité (métaphore : "le livre de chair", "les gouttes qui tremblent / des nuits chaudes d'Orient"). Tu as transformé le fantasme en réalité ("J'ai dénoué l'instant où je rêve,… où je dors") et notre rayonnement s'étend sur l'univers qui nous entoure ("dans l'épanouissement du monde"). Merci pour ce partage ! |
jude-anne
30/6/2018
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Josy,
Merci pour ce joli poème plein de sensualité. J'ai apprécié te lire même si personnellement je trouve qu'il y a des "quand" et "que" superflus. les retirer ne nuirait pas à la compréhension du texte et accentuerait sa sensualité. le mot "résurrecteur" a sonné faux à mon oreille, je trouve qu'il nuit au rythme harmonieux du poème. Mais tu m'as emporté dans une caresse avec : "l'or du ciel tombe en rayons" "quand le ciel est clair je te respire et le soleil me suis. "Je me suis étendue sur un buisson de vent" "les gouttes qui tremble des nuits chaudes d'orient" |
Vanessa
1/7/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
J'aime beaucoup votre texte. Cette ritournelle "Comment t'appelles-tu déja ? " prépare le lecteur à de belles envolées poétiques. La question, au fil de vos belles images a de moins en moins d'importance, jusqu'à ne plus en avoir du tout et enfin rester suspendue aux sensations. L'Amour vibre ici ! Bravo et merci . |
Anonyme
5/7/2018
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour Josy,
La sensualité, la volupté mêlées à l'Orient donne un ton particulier à ton texte. J'aime la manière dont tu sais évoquer sentiments et sensations, dont tu sais les partager avec le lecteur, les lui faire ressentir. Ton style s'affine et c'est un plaisir de te lire, ici. Il y a quelques broutilles qui pourraient être encore mieux : Parfois tu effleures le convenu mais sitôt après tu reprends la barre: "l'or du ciel tombe en rayons chauds" manquant un peu d'originalité mais "Aurais-je pu ne pas t'aimer fondante et suave en ta solitude vaincue," vient rassurer le lecteur. Merci du partage, Éclaircie |