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izabouille
2/10/2018
a aimé ce texte
Bien
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J'ai bien aimé cette poésie, peut-être un peu moins le premier vers, "le jeune cresson qui pousse dans tes yeux", la formule est bizarre je trouve. Mais ce n'est que mon avis.
Il y a aussi "... comme des lauriers de prairies", je n'arrive pas à bien comprendre cette image. Mais l'ensemble donne une jolie carte postale aux couleurs de l'automne. Merci pour le partage |
Castelmore
8/10/2018
a aimé ce texte
Pas
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Non ...trop d'images confuses à la suite perturbent le sens ... à tout le moins ma faculté de compréhension ...
au service de la Muse ? Je ne le crois pas non plus ... Avec un sourire |
Brume
11/10/2018
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour
C'est joli mais ça ne me suffit pas. Votre poème manque de profondeur. L'absence de ponctuations n'est pas un problème à condition que les transitions soient bien marquées, ce qui n'est malheureusement pas le cas ici. Dans la première partie j'ai l'impression de lire une énumération bucolique car les vers ne semblent pas avoir de continuité avec les vers suivants. Un poème qui manque de rigueur selon moi. Je vous suggère de retravailler l'harmonie des vers pour lier vos idées de manière plus nette. |
papipoete
25/10/2018
a aimé ce texte
Un peu
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bonjour josy
l'auteure a envie de " lui " dire plein de choses, que l'humeur automnale suggère au poète ... Mais ! le premier vers me fait peur et songer à des orbites vides au fond d'un marigot où le cresson s'est installé pour pousser ! Le 3e vers n'est pas très heureux avec ces " feuilles du tilleul qui/descendent " . Je trouve ces " pavés dans la mare " bien dommageables au milieu d'un ensemble de bon aloi ! |
Anonyme
25/10/2018
a aimé ce texte
Un peu
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Je n'ai pas trouvé dans ce texte une image qui me plaise vraiment.
Elles se succèdent sans trop de relation entre elles, à mon ressenti bien sûr. " le jeune cresson qui pousse dans tes yeux " vraiment pas très poétique, je trouve. "portent comme des lauriers de prairies ce que mon amour égrène de saveurs " j'ai sauvé ces deux vers. A vous lire une autre fois. |
Vincent
26/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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bonjour,
je trouve que votre tristesse égrainant ces vers est palpable je le ressens profondément et l'élan de mon cœur accompagne votre chagrin, j'éprouve beaucoup de compassion à votre égard cela sonne en moi comme du Chopin |
LylianR
26/10/2018
a aimé ce texte
Bien ↓
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Une seconde partie, à partir de "mes mots hésitants qui te cherchent" meilleure que la première.
"Pour le jeune cresson qui pousse dans tes yeux" est un vers qui ne me semble pas très heureux. L'expression "beaux habits de lumière" est commune. "les feuilles du tilleul qui descendent" : le verbe "descendent" n'est pas expressif. Mais j'ai aimé : Pour l'abri de verdure des Poètes la rondeur et le goût du raisin la vérité du rêve et des légendes Pour les mots sonores qui s'effeuillent Un poème inégal mais intéressant. |
Lulu
27/10/2018
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bonjour Josy,
J'ai trouvé ce texte tout simple et mignon dans son intention au vu de ce qu'il dit et du titre "Te dire…". J'ai aimé cette simplicité, ce côté aisé d'écriture et de lecture, au final. Cependant, j'ai trouvé dommage que vous ayez répété le pronom "qui". On le lit cinq fois dans le poème. Cela me semble beaucoup pour un texte court. Ainsi, pour le premier vers, j'aurais mieux vu "Le jeune cresson pousse dans tes yeux"... etc. Cela aurait d'ailleurs rendu le verbe plus actif et donné plus de force, je crois, au vers, tout en l'allégeant du pronom qui n'était pas indispensable ici, ou plus loin. Cela aurait impacté la suite, cependant. J'ai aussi regretté l'expression "habits de lumière", peut-être déjà trop lue. Si les mots sont simples à lire, j'ai toutefois ressenti une certaine confusion du fait que la première strophe n'ait pas été coupée en plusieurs pour plus de clarté. J'ai bien aimé cette partie : "Pour l'abri de verdures des Poètes la rondeur et le goût du raisin la vérité du rêve et des légendes"... C'est là plus cohérent. Bonne continuation. |
FANTIN
24/2/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Succession d'images remplies d'évocations belles et douces, comme un courant qui emporterait avec lui des feuilles, des fleurs, des brumes et des mystères.
Un poème d'amour chatoyant et séduisant, écrit dans une langue à mi-chemin entre rêve et réalité: ce qui est le propre de la poésie pour moi. Merci pour cette lecture. Fantin |