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Gabrielle
24/1/2019
a aimé ce texte
Bien
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Le thème est abordé sous un regard nouveau;
"Monochrome" dépeint la mort sous le regard de l'artiste comme le ferait un peintre appartenant au courant surréaliste. Sur la toile, la vie associée à une pluralité de couleurs s'oppose à la présence d'une seule couleur, synonyme de mort (première strophe). Ainsi le rouge,,synonyme de vie, devient dans le texte synonyme de sacrifice (cf. chute "me cloue"). : Merci à l'auteur'e) pour ce texte original. |
Provencao
25/1/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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"Je suis là
Je suis Je" Écriture compliquée, pour moi, lecture qui m' invite à plusieurs lectures. J'ai ressenti une poésie semi-vivante, qui s'invente qu'à l'instar où l'idée s'afflige, laissant avertie la barrière entre l'imagination et la réalité " le plomb se noie dans ma gorge se force en moi et me cloue". Mot hoqueté, coupé et regagné un tant soi peu sur l'oubli, réécrit comme tirant l'idée hors du texte et du temps. Comme si l'imperceptible se devait d'être transcrit. C'est ainsi que j'ai perçu votre poésie. Au plaisir de vous lire Cordialement |
STEPHANIE90
26/1/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Déjà à la moitié de la poésie je manque de souffle, cherche en vain à quoi m'accrocher pour résister à cette déchéance.
Ce "martèlement", du cœur me semble t'il, est un mot que vous souhaitiez mettre en avant ? Si oui, plutôt qu'une barre d'énumération j'aurais utilisé les guillemets comme je l'ai fait au-dessus pour attirer l'attention sur lui, voir je lui aurais dédié un vers. Néanmoins, parvenir à mettre en texte cet évènement en si peu de bons mots est presque un exploit, que je me dois de souligner. Merci pour cette vivante prose... |
arigo
6/2/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'aime beaucoup ce côté épuré.
Peu de mots, mais suffisants en soi pour dépeindre entièrement la scène. Monochrome, mais suffisant pour éveiller le sens : personnellement j'ai des goûts qui me viennent en tête à la lecture de ce poème. "Je suis là Je suis Je" Le procédé est habile et fonctionne parfaitement. De nouveau peu de mots, pour évoquer beaucoup. Merci pour ce partage, Arigo. |
Vincente
6/2/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Eh bien, ce texte me laisse sans voix, le bec un peu cloué, assez interloqué.
Je remonte le fil pour comprendre d'où vient ce trouble qui m'atteint mais paradoxalement aussi m'enchante. Là je remarque le phrasé haletant des vers courts au sens peu évident, mais aux mots simples, évidents eux. L'agencement est très efficace, j'y ai adhéré, j'y ai collé mon ressenti de voir la mort s'immiscer dans le corps, imminente, toute proche mais dans ces derniers instants où la conscience est encore "consciente". Une puissante (belle bien que pénible) expression qui utilise la liberté de la forme très pertinemment. |
Donaldo75
6/2/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Hello Kapri,
Ce que j'ai trouvé le plus remarquable dans ce poème, c'est son découpage. Il remplace de façon magistrale la ponctuation, poussant le cerveau à la remplacer pour ressentir cette sensation d'étouffement, presque claustrophobe. C'est juste très fort. Bravo ! Donaldo |
senglar
6/2/2019
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Kapri,
Intéressant Ambigu ? Je n'ai pas osé l'approche psychanalytique "Statique blanc", terrain glissant Et des plombages (sur les caries ?) Etouffement De la couleur, mercurochrome, Un martèlement C'est du précoce Mais le public est charitable Il y a du pardon dans l'air Malgré tout Je n'ai pas osé l'approche psychanalytique Ambigu ! Intéressant Senglar |
Lulu
6/2/2019
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Kapri,
Je n'ai pas vraiment été sensible à ce texte à la première lecture, ayant peut-être cherché, malgré moi, des couleurs allant contre ce "Monochrome" que je percevais à peine. J'ai ensuite songé à Roland Topor, ce dessin - je ne sais le titre - où un coup de marteau est donné sur le menton, empêchant l'artiste de s'exprimer… Il y a, dans votre poème, quelque chose de cela, de cette impossibilité de dire, mais dans des circonstances que le narrateur garde pour lui. Ainsi, on a juste cet effet brut du langage ou de son incapacité - ou impossibilité - de dire, et d'aller vers un enchantement. Mais la poésie fonctionne, car elle est aussi cela, cette émotion colorée monochrome. Peut-être aurais-je été plus sensible s'il y avait eu juste une pointe, une orientation, même infime, vers ce qui se trame chez le narrateur. Mais je me contente de ce qui est livré, ici, et espère vous relire bientôt. Mes encouragements. |
Anonyme
6/2/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Sont-ce les derniers instants lors d'un suicide, ou bien les effets d'une overdode ?
" Le fond approche- Aveugle - Sans relief - Glissant - Sans appuis " Ce " glissement " vers la perte de conscience est bien rendu par ces simples mots placés de façon saccadée. " Un seul son reste – un martèlement Rouge Il meurt déjà " les battements d'un coeur qui ralentit et va s'éteindre. Un texte sombre, hermétique et fascinant à la fois. |
Anonyme
7/2/2019
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Ce texte me fait penser à une soudure, ou à la complainte d'une dent en train d'être plombée. Mais dans le genre devinettes, j'ai le sentiment que les amateurs sont légions.
Que dire du style, si style il y a, sans recevoir des MP, offusqués par ce que je ressens, et que j'exprime honnêtement. Promis, je ne viendrai plus commenter les écrits dont le niveau me paraît "inintéressant". |
Myndie
7/2/2019
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Kapri,
J’aime beaucoup le côté pictural de votre poème et l’idée d’associer l’organique, souffle, sang, vie et mort aux couleurs. J’aime aussi le choix d’une structure très épurée qui, par nature, se doit de forcer la suggestivité et d’aviver l’imaginaire. Sur ce point, je reste un peu sur ma faim. Certains vers trop longs ne permettent pas à la force d’évocation de s’exprimer vraiment. Ecrit dans sa totalité en vers di et trisyllabiques, votre texte aurait immédiatement et intensément donné la sensation d’un épuisement, de quelqu’un qui cherche son souffle désespérément. Et, sans forcément expliquer l’inexplicable, au moins en eût-il dessiné les contours au plus près. Comme un peintre expressionniste. Je prends votre poème comme un bel essai inachevé ; je trouve juste qu’il manque d’émotion brute. myndie |
Eki
10/2/2019
a aimé ce texte
Pas
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Des secousses ventilatoires...pour moi !
Mais une veine d'inspiration exprimée... Ce texte reste trop monochrome. Les mots sont jetés en vrac, tout semble trop déstructuré pour moi et je ne fais pas le lien entre eux... Mais c'est probablement ce que vous avez voulu créer...un semblant de désordre face au sujet. Eki en marge de la poésie qu'elle aime |