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jeanphi
1/4/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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La jeunesse rêve, ce qu'elle fait souvent de meilleur pour le monde, c'est le point commun à vos danseurs, le constat des réalités s'impose chaque jour, à chaque page, à chaque pas. Votre tableau s'ouvre progressivement, se déplace, les paramètres fluctuent, demeurent les idéaux semblables. Le point de départ et d'arrivée de votre texte est comme une boucle, jamais bouclée.
Une solennité émouvante derrière des mots vifs et dynamique. Au plaisir de vous lire |
Yavanna
11/4/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Chansons/slam est un genre que j'ai parfois du mal à aborder, mais j'avoue qu'ici j'ai été emportée par le rythme et le côté "tragique mais non pathos" du texte. Je trouve l'ensemble que l'ensemble sonne bien et juste.
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Geigei
11/4/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Avec mes références de profane, j'ai pensé aux chansons à liste qu'appréciait Renaud, comme "Laisse Béton" ou, plus proche, "Dans mon HLM".
Ça, c'est pour le côté "revue" et humour grinçant. "J’dors en bas des champs élimés" est un jeu de mot mais le couplet parle quand même des sans-abri. Pour la métrique aussi puisque j'ai essayé de chanter ce texte avec le rythme de "Laisse Béton" et les couplets passent très bien. Remarque mineure car toutes les chansons en octosyllabes passeraient... L'ambition est grande puisque le texte évoque aussi le dérèglement climatique, les guerres, des enfants soldats, les quartiers défavorisés, les violences dans les couples, le chomage, le 49-3, les migrants... Et le côté Stromae, forcément, pour "Je danse" comme refrain. "Je danse malgré tout" parce qu'il faut bien supporter cette chienne de vie. Je salue l'intention, la compapassion, la douceur même dans la dénonciation, mais on se prend un peu toute la misère du monde dans la tête. On danse, certes, mais ça reste lourd. Le côté "chaînes d'infos en continu" n'est pas simple à entendre quand on en a déjà trop entendu. Dansons ! |
Edgard
11/4/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Bonjour Kemo,
La misère de l'enfance, j'y suis évidemment sensible, et votre slam me touche. Bien sûr c'est un peu long...mais à vouloir faire le tour, ce pourrait être encore plus long. Le problème c'est qu'à vouloir tout intégrer, le lecteur se perd un peu et à la fin on a l'impression d'avoir survolé et on ne sait plus bien par où on est passé. Mais je loue en même temps votre sensibilité, et votre style simple et plein d'images prenantes...avec parfois un humour un peu noir qui n'est pas du tout choquant. Ça passe mieux en le chantant, ça a déjà été dit. C'est une épine de plus enfoncée dans notre indifférence, et ce n'est jamais assez. Merci |