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lucilius
9/12/2018
a aimé ce texte
Un peu
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Texte beaucoup trop long sur le sempiternel sujet du respect de la vie (Prends la vie comme elle vient et respecte là, car elle est beaucoup trop courte pour être gaspillée).
Malheureusement, je ne puise pas les éléments contradictoires suffisamment argumentés pour parvenir à me convaincre du bien-fondé de cette longueur. |
Corto
10/12/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Belle ode à la vie sous l'angle de l'espoir, du partage, de la confiance en sa propre force intérieure, de la lucidité.
Vivre au maximum de ses capacités et vouloir aller plus loin encore semble être le message de ce beau poème. Pas de niaiserie mais peut-être un oubli des accidents matériels ou psychiques qui peuvent briser l'élan "Lorsque la vie est trop cruelle". Pas de mysticisme non plus car "la fin de l’existence Est bien la fin, ne t’en leurre pas". Se redonner toujours confiance car "Le plus difficile à saisir C’est nous; la force vitale Cachée au tréfonds de nos êtres". Les mots sont simples, le discours bien construit. Un beau texte pour un beau message:"c’est cette vie qu’il faut remplir" Pour la forme on aurait pu espérer un rythme plus marqué, plus entraînant, cohérent avec l'esprit du texte. Bravo. |
Vincente
27/12/2018
a aimé ce texte
Bien
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Voici un style qui déverse une logorrhée comme un sauve-qui-peu. Dès la première strophe, sans recherche particulière, s'affiche le propos. Et ensuite, j'ai entendu cette plainte qui tente par l'auto-suggestion d'arriver à l'auto-persuasion.
Si j'ai pu apprécier l'ensemble, c'est d'abord par le fait que ce flux appelle l'empathie. Le parler est vrai, presque littéralement sorti de l'esprit en doute, et sur ce plan c'est réussi. Comme si l'authenticité compensait la forme trop brute qui s'écoulait de l'esprit. La longueur du texte est aussi une conséquence de ce processus, pas simple à endiguer ("Où nos esprits incontenables / Semblent se perdre à l’infini"). J'ai donc été convaincu que cette forme assez linéaire se justifiait. Et puis j'ai appris par un terme intéressant "phanères". Et la fin est jolie dite comme vous l'avez pensée : "Avec la trace de nos pas Laissée azur au ciel abîme Poussière d’étoile dans le vent" Peut-être me serai-je passé de l'ultime vers ("Ou bien lanterne dans la nuit") |
Anonyme
27/12/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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" la force vitale
Cachée au tréfonds de nos êtres ". C'est elle qui doit gérer les climats de notre existence, du mieux possible. Tenter de vaince les " moments de doute, où tout nous semble à la dérive", ceux de " déceptions et de déboires lorsque la vie est trop cruelle" mais surtout, profiter de " Ce qui est beau, pur et vrai ". Bien sûr, c'est ce qu'il faut - ou faudrait - garder en mémoire à chaque instant de notre existence. Mais, pas toujours facile à mettre en oeuvre... " Elle répondra quand la mémoire Lancera les fusées de détresse Qui battent l’appel du passé " beau passage. |
Robot
27/12/2018
a aimé ce texte
Bien
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Si je comparais à la musique, ce serait au Boléro de Ravel. C'est un peu plan-plan, comme un thème répété de strophe en strophe. J'ai surtout apprécié à partir de "Aux heures tardives de désespoir" Le texte prend son essor et s'anime à partir de là. Mais l'écriture poétique est sincère et bien présente.
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Anonyme
27/12/2018
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Ce matin, ça allait pas trop mal, là j’ai carrément envie de me taper un bon verre de ciguë pour en finir. Je me rends compte trop tard qu’il suffisait d’autostimulation pour changer de vie. Vive l’écholalie.
« Que renoncer n’est pas un tort Mais qu’il faut savoir attendre Se tenir prêt, toujours, encore À recevoir l’espérance » Etc…Etc…Etc… Merci aux psaumes de la New Generation, celle de traverse la rue, c’est quand que tu te bouges le cul ? Tu sais fabriquer une commode, ça te dit pas de tondre des caniches ? C’est vrai que là au moins ça stimule, je sens comme une force monter soudain en moi. Ça va faire plaisir au chamane. J’ai peur de risquer l’euphorie si je reprends une louche de cette bouillie druidique. FrenchKiss tombé petit dans la marmite |