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wancyrs
5/10/2010
a aimé ce texte
Un peu ↓
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J'avoue n'avoir pas compris grand chose à ce texte, pourtant je ressent des possibilités cachées. Peut-être est-ce la ponctuation ?
Cette strophe par exemple : Nos émotions Pieuses expiaient, De mes poumons faibles le râle, de ma mémoire l'Éternité. Pourquoi "pieuse" ? je trouve que cela ne sert pas à grand chose ici, sinon d'alambiquer un peu le vers. Brusque passage du "nos" à "mes" qui casse une ambiance instaurée avec le premier vers. "de mes poumons faibles le râle," ici je crois que la virgule devait intervenir après l'adjectif "faible". Et puis, le râle provient de la gorge, même si le souffle vient des poumons. Un texte qui demande à être encore travaillé. |
Anonyme
11/10/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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J'ai été vraiment séduit par ce texte : champ lexical très bien choisi ; musique qui s'invite, radieuse... Je relève en particulier : "Onde promesse, roulis, réveil" ; "L'inpalpable m'enveloppait, L'ineffable me parvenait" ; "Ô ! ma défunte mort, Murmures d'Aurore...".
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LeopoldPartisan
12/10/2010
a aimé ce texte
Un peu
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En général je peux vraiment apprécier une certaine forme de minimalisme. Mais ici c'est vraiment un peu court comme métrage...
Peut être est cela que l'on appelle la petite mort due à un plaisir qui suivant ce que l'on m'en a dit ne durerait que quelques secondes ? |
odkali
21/10/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un adjectif devient nom, une ponctuation découpe à sa guise, un Ô déplacé. Des « p » poignants. Et même si je n’ai pas saisi votre insaisissable poésie, j’ai eu l’impression d’être devant une peinture non captable mais me procurant des émotions. Je restais sur ma faim de votre fin « Murmures d’Aurore », quand j’ai lu « éveil à la vie concis ».
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Anonyme
22/10/2010
a aimé ce texte
Pas ↓
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Très joli effet sur pieuses expiaient, une lapalissade en guise d'entrée - il s'agirait tout de même de noter que pieuse signifie qui expie - ensuite je m'interroge sur la ponctuation, la virgule après Faibles et avant L'éternité m'aurait semblé plus judicieux.
Ta peau changeante n'a rien de très poétique. Humeurs filantes (définition d'humeur - humeur a plusieurs définitions - : du latin umor, lui-même issu du grec : liquide. Exemple l'humeur vitrée.) n'est pas très heureux. En fait, si je peux me permettre, j'ai l'impression que l'auteur aurait pris des mots assez entendus en poésie et littérature, sans vraiment en comprendre toute l'essence poétique. Le procédé ne me gênant pas, je pense que le reste est travail. On obtient un résultat qui peut surprendre par son vocabulaire, mais au niveau du sens reste assez plat et qui manque cruellement de poésie. |
Reggio
23/10/2010
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour, j'ai un peu de mal avec votre poème.
Chaque strophe prise à part est très acceptable, le côté cliché de certaines mis de côté, au sens où le rythme suit le fond. Notamment dans la première strophe où un sentiment d'oppression respiratoire se joint au champ sémantique. Je dis bravo, ça, j'adore. Par contre ce que je reproche ici, c'est le manque de compréhensibilité des liens. On palpe les liaisons entre les strophes, mais je trouve qu'elles sont trop lâches. Ca se tient, mais il y a un je-ne-sais-quoi qui m'empêche de passer de l'un à l'autre, de synthétiser, alors que je vois bien que le tout se tient. Ce que je ressens, c'est que chaque strophe secrète chez moi une émotion différente,toute relative à une même situation, mais sans cohérence entre elles. Ceci n'est que mon ressenti, mais je m'interroge: Voulu ou pas? Désirable ou indésirable? A l'auteur de voir. |
machin
24/10/2010
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Je ne serai quoi t’écrire sinon que je n’ai pas su apprécier ton poème. Il ne m’évoque rien. Il me laisse sur le seuil et dans le noir. Mes idées seraient-elles encore dans le brouillard du sommeil?
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Anonyme
24/1/2017
a aimé ce texte
Pas
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Les premiers mots de l'écrit, ne prêtent pas à beaucoup d'attention, c'est rebutant, par le vocabulaire employé soutenu par une ponctuation mal ta propos, et des phrases qui semblent incohérentes.
Est-ce là sans doute un écrit bien personnel, car la compréhension reste dissimulée derrière les mots utilisés. Je ne m'attarderai pas davantage, votre poème laisse mon ressenti en berne, malgré toute ma bonne volonté et après vous avoir relu plusieurs fois, l'impression est la même, trop éloignée d'un quelconque échange d'émotions. ce commentaire est du 14/01/2017 (correction mot oublié) |
Anonyme
10/7/2017
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Commentaire supprimé par l'auteur
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