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dom1
7/8/2016
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Le vilain capitalisme mis à toutes les sauces de nos rancœurs. Tout jeter, le bébé avec son eau, c'est oublier que la vie est ce que nous en faisons.
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MissNeko
19/8/2016
a aimé ce texte
Bien
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Le poème est bien écrit, il y a du rythme. Je le verrais bien chanté ce poème avec ce refrain intéressant.
Le thème ne m émeut vraiment pas ( les goûts et les couleurs ...) mais il se lit agréablement A vous relire. |
Anonyme
19/8/2016
a aimé ce texte
Bien ↓
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J'ai trouvé peu de poésie dans cet assortiment d'alarmes maintes fois entendues et en fin de compte assez sommaires.
Bien sûr c'est un cri, mais je lui reproche avant tout son manque de subtilités, en dehors d'un jugement porté sur sa justesse. Au reste, sans doute eut-il été plus approprié de déposer ce texte dans la catégorie 'chanson/slam' au regard des vers courts qui se suffisent à eux-mêmes, des répétitions de strophe, du ton employé, etc. |
Anonyme
19/8/2016
a aimé ce texte
Bien
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Toujours les mêmes cibles, récurrentes : la finance, le capitalisme, le profit, le " nouvel esclavagisme "... Mais quoi de changé depuis longtemps ? L'argent s'affirme un peu plus chaque jour comme le maître du monde.
" Il te faudra sans doute courir Au milieu du règne animal " "nager au milieu d'une tribu de squales" Mais pourquoi s'entiche-t-on à assimiler tous nos travers au monde animal, alors que nous avons beaucoup de leçons à prendre ! Décrier mais subir ; n'y a t-il pas autre chose à faire ? Réfléchissons. |
Robot
19/8/2016
a aimé ce texte
Bien
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Un texte où le narrateur ne se fait pas d'illusion sur un aspect de nos sociétés. Une opinion affirmée avec une force tranquille mais un peu désespérée, comme s'il y avait un renoncement, une résignation à la situation établie. Ce dernier aspect qui ressemble à une soumission aux circonstances me gêne un peu et j'en reviens à Victor Hugo "Ceux qui vivent ce sont ceux qui luttent" et à "A vous de jouer" de Stéphane Hessel faisant suite à son cri "indignez-vous !"
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Vincendix
19/8/2016
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Dénoncer les injustices sociales, cela part d’un bon sentiment, mais la lutte du pot de fer contre le pot de terre a toujours tourné à l’avantage du premier.
Quand les rebelles prennent le pouvoir, ils deviennent aussi sanguinaires sinon plus que les tyrans déboulonnés. L’homme est un animal féroce, « anthropophage », il y a les dominants et les dominés et puis il y a celles et ceux qui se démarquent de ces deux catégories, qui ne perdent pas leur temps à récriminer mais l’utilisent pour améliorer leur sort et qui ne prêtent pas leurs flans aux prédateurs, c’est possible ! Mis à part le sujet qui s’apparente à des doléances stériles, je salue la qualité de l’écriture. |
papipoete
19/8/2016
a aimé ce texte
Un peu
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bonjour Koubi33,
Il te faudra, souffrir, pleurer, vomir tant l'avenir qui te guette au tournant est moche, pue, aura ta peau ! Biensûr que demain est inquiétant mais le rythme de la vie a toujours été ainsi ! Nos parents, nos aïeux, nous racontaient déjà la couleur ambiante ( guerre, précarité, faim ), puis un jour renaissait l'espoir, l'envie de vivre, sourire aux autres ! Je trouve votre texte infiniment noir, désespérant, à se flinguer dès maintenant ! Que faites-vous des " hommes de bonne volonté ", humanitaires, syndicalistes, visiteurs d'hôpitaux, de prison etc ... Je ne dis pas bêtement " tout le monde est beau, gentil ", mais sur notre terre, la France en particulier, il y a encore du ciel bleu en l'air, et au fond de notre coeur ! |
Vincent
19/8/2016
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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bonjour
votre texte part d'un bon sentiment et c"est TANT MIEUX pourquoi ce serait le contraire qui serait bien les luttes sociales partent de la compassion alors que l'inverse aboutit au conservatisme je suis pour votre texte et son écriture m'a séduit |
JulieM
19/8/2016
a aimé ce texte
Bien ↓
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Poème engagé, désenchanté et solitaire, je le perçois bien, comme une ode à l'humain, perdue au milieu d'un océan de détritus et de dollars gâchés à remplir des poches déjà pleines de l'argent casino.
J'y vois (mais ici le fromage doit peut-être mûrir un peu?) comme une tradition des plus grands, des plus tristes poètes, peintres de leur temps, ou jazzman qui désabusés rythmaient leur tristesse impuissante en phrasés de complainte. De grands artistes ont créé dans de telles circonstances (comme Magny, magnifique compositrice-interprète, ou Aragon qui décrit à merveille ces temps de violences, de toute part. Et au travers même de ce regard, nous retrouvons un peu d'humanité, en réponse à la haine. Merci Koubi33 de livrer cela comme une piqûre de rappel, La France et d'autres en ont sans doute bien besoin. |
GilbertGossyen
20/8/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Merci beaucoup pour ce texte, pour ce cri. C'est vrai que je l'imagine aussi sous forme de chanson. Je ne sais pas pourquoi il me fait penser à Thiefaine et aussi un peu au "Il n'y a plus rien" de Léo Ferré. Je ne comprends pas très bien certains des commentaires qui suggèrent que parce qu'on pose le constat d'une société devenue folle, on est forcément quelqu'un qui n'agit pas. Écrire c'est déjà agir et c'est aussi inciter à penser au changement. Merci. Encore !
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FABIO
6/9/2016
a aimé ce texte
Passionnément ↓
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très beau travail, je ne pencherais pas sur le coté politique,
mais du début a la fin c'est soutenu, haletant, équilibré, rythmé. Belle ,très belle écriture, des mots soyeux qui touchent. encore bravo |