|
|
kamel
20/4/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonjour
Une belle poésie en prose vient de fasciner mon esprit par ce contraste du futur et du passé,entre la modernité et la tradition qui offrent de tout temps des oppositions fondamentales en maintenant le passé pour vivre le présent et que le futur plein d'imprévu prenne place pour les effacer ,un questionnement où l'individu favorise de garder le juste milieu pour sauvegarder ses origines, un moyen d’expliquer son "existence", son appartenance afin de conserver son identité. |
Marite
7/5/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Quelle justesse et que de précisions dans cette analyse, car c'est ainsi que je considère ce texte qui, pour moi, s'apparente davantage à la réflexion qu'à la poésie.
" Dis-leur au départ ou à l’ouverture j’emporte toujours mon vécu au talon de mes souliers et au retour je ramène des fragments d’un nouveau monde." J'ai aimé les introductions : " Dis ! ... Dis leur ... " Et à chaque fois des aspects terriblement réalistes et incontournables de chaque vie. Aucune difficulté de vocabulaire ou d'effet d'écriture expérimental ne perturbent la lecture, juste les mots justes qui se suivent et nous "parlent".... |
brabant
7/5/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonjour Krimat 1 Abd,
Vision de soi comme un syncrétisme où l'on a bien du mal à se situer. Gordien. Tranchez ou vous resterez un amibien ! Humaniste, épicurien (pas lucrécien) et religieux. Mais vous avez choisi un positionnement tiède... que sauve la poésie à la jonction de l'héritage et de la prise de conscience du présent en l'absence de libre-arbitre quant à l'avenir. Vous prenez acte en substitut à l'action jugée impossible. Me reste quand même un sentiment d'impuissance où vous subissez la contemplation. On n'a pas de prise ici sur son destin. La béatitude ravie, chrétienne ou autre, reste un esclavage. AMHA. Lol :) |
krimat1abd
8/5/2013
|
Commentaire modéré
|
Anonyme
8/5/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Un chemin quoi, avec tous les possibles, tous les incontournables, les aleas.
Joli rythme poétique dont la fluidité, le souffle auraient pu être meilleurs encore. Un bel équilibre entre ce qui est dit, la demande, la quête, la requête, le constat, les choses qui s'envisagent, passé, présent et même après et ce qui appartient à la formule. Voilà, ce qui me paraît important dans ce poème soufflé, c'est cet équilibre. Il manquerait parfois un peu de limpidité, comme pour ce singulier conjugué au multiple, poétique mais un peu incompréhensible :) |
Buldo
16/5/2013
a aimé ce texte
Bien
|
Bonjour,
beaucoup de dualités, ici, d'oppositions, pour finir par une réflexion logique, un peu trop logique pour moi, en fait ! Je respecte tout à fait le message ici (je le partage même), mais il y a quelque franchise dans ce dernier paragraphe qui me gêne... (On voit déjà cette affirmation ailleurs que ce soit dans les propositions ou dans la structure et le choix de la ponctuation, mais c'est bien ici que je lui trouve une prétention perturbante.) Pour autant, toutes ces oppositions, ces affirmations sont plutôt jolies, même si par ailleurs il y a quelques passages que je ne comprends pas : - "Un morceau de ma vie, façonnée dans plan (...)" - ou encore "Dis-leur que je suis le fruit et l’esclave le passé." Merci du partage ! |
Anonyme
24/1/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Je vous préfère nettement dans ce registre. Votre plume est bien plus fluide et parlante. Vous énoncez un ressenti touchant, ce qu'engendre, ce qui nous façonne jour après jour, par ce titre d'une grande justesse "Le futur du passé", les tenants et les aboutissements.
J'ai pris à lire votre écrit, un grand plaisir, celui-ci mérite beaucoup d'attention, un petit reproche cependant après la répétition de "Dis, dis-leur", ce n'est pas nécessaire d'insister de cette manière, vous savez fort bien exprimer ce qui nous fait et nous défait tout au long de notre vie, et le questionnement que cela implique. J'en retiendrai cette dernière phrase : " Un chemin qui ne soit pas le fruit amer de l’extrême mais de la douceur du juste milieu, un positionnement adéquat comme la distance à la braise entre la brûlure et le froid. " Persistez dans cette manière d'écrit, vous excellez. |