J'aime vraiment ce poéme, et je suis surpris que personne ne l'ait commenté. J'apprécie surtout les contrastes dans les notions, transcris dans ces vers :

"Son but l’amour, la liberté ou l’espoir
Chasse la haine, l’esclavage ou le désespoir
Pour tout amour
La haine est autour
Dans toute liberté
Il y a un esclavage décliqueté
Le désespoir
Est bâti par un espoir
L’amour n’arrange pas ceux qui n’ont pas le goût
La liberté dérange les tyrans debout"

J'adore ce passage en effet, il ne peut n'y avoir de sensation ou de concept sans son contraire. Beaucoup de choses existent, et sont intelligibles par differenciation à un contraire.

Dans l'univers, tout est possible, chacun a son chemin, certains ont l'immense honneur de pouvoir le choisir.

Et dans ces combats eternels celui duchangement de chemin, de destin pour une vie meilleure, la colére de voir les autres si apaisés, encore un sentiments naissant dans la découverte d'un sentiment contraire. C'est quand on voit l'herbe des autres plus verte que l'on décide de la brûler.

Vraiment bien, il nous plonge dans des reflexions. La balance vicillera toujours sous le poids des balances inégales des ambitions personelles et des injustices incessantes.

Bravo, pour cette création simple, pure, intense, profonde.

J'aime bien cette façon de définir une idée globale des besoins vitaux de chacun, des interactions entre elles, l'idée aussi d'une nécessaire prise de conscience collective pour que chacun puisse avancer quelque part... Ca fait un peu "get up, stand up", finalement, pour ce que j'en ai saisi (ou voulu en saisir...)

Sur la forme, on dirait un slam, ça n'est pas une critique. Le rythme et les contratstes entre sonorités est assez rude, convient bien au thème, je trouve.

Un petit détail enfin, quand tu écris "Pour qu’elle soit à notre faveur on doit alimenter l’autel ", moi j'aurais plutôt vu "(...) EN notre faveur (...)", mais là, c'est toi le boss.

Merci pour la lecture.

J'ai toujours à vous lire, cette difficulté à saisir ce que je vous cherchais à dire, ce n'est pas vraiment très explicite et c'est ennuyeux à lire.

Tout cet ensemble forme un tas de mots, pas franchement marquants, dès les deux premières phrases :

" La quasi-totalité sombre dans la tristesse
Le reste célèbre la victoire de la noblesse "

Ces mots là ne m'inspirent rien de bien cohérent, j'ai l'impression de réflexions à voix haute, tout cet écrit est brouillon, confus, de plus que de répétition (liberté, haine, vie, désespoir, intérêt, esclavage). Vos propos effleurent tout et rien à la fois, c'est l'impression qui ressort de mon ressenti.