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lucilius
25/8/2019
a aimé ce texte
Bien
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Difficile, pour qui est néophyte des sciences que se transmettent les guérisseurs de la corne africaine, d'apporter quelque hommage humain à l'appui d'un texte trop hermétique.
Etant initié, j'ai donc plus de facilités à comprendre et partager des images dont l'écriture me parle. |
Gabrielle
26/8/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un très bel hommage rendu.
Le tableau dépeint renvoie à un décor qui appelle au voyage. La poésie fait naître chez le lecteur l'envie de rencontrer ces habitants dont on se rapproche grâce au texte. Merci à l'auteur(e) pour cette invitation. Au plus de vous lire. |
Pouet
14/9/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bjr,
Après Bénarès, l'auteur nous invite dans la corne de l'Afrique. J'ai encore une fois pleinement goûté aux métaphores pétries d'humanité. Un très joli "jeu" sur les renvois, les sonorités, les corrélations comme cette inspiration de l'air et le rire de l'être, ces paumes levées vers le ciel et ces psaumes des sources, cette eau qui appelle l'aube à coups de cornes dans cette région éponyme de l'Afrique où les piques des bouviers côtoient la pudeur des épines... Et puis ce magnifique final et ses femmes arc-en-ciel berçant des rameaux d'enfants. (Comme dans son précédent texte, l'auteur clôture avec l'enfance.) Dépaysement, découverte, sensibilité, talent d'évocation. |
papipoete
14/9/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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bonjour krish
nous voici, après l'Inde en Afrique noire, où la magie qui guérit les hommes et les bêtes, opère au soleil couché, quand la divine lune sert de réverbère. Les chants, les gestes au ciel entrent en action jusqu'à l'aube...et la vie reprend son cours normal ; les femmes bercent le beurre dans leur calebasse. NB bien sûr que j'ai suivi de loin ces rituels, que le cinéma nous montre dans ses documentaires, et n'imagine pas la ferveur que cela doit engendrer ; il faut être de là-bas pour le ressentir ! Mais en vers-images, l'auteur tente d'éclairer qui ne sait pas, mais partager pleinement qui connait ! " l'eau appelle l'aube à coups de corne " est de ces beaux clichés ! |
Luz
15/9/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour krish,
Je n'ai pas bien compris le texte, mais j'ai ressenti une grande poésie dans chaque vers, dans chaque image. Un voyage, une fête hors de notre monde habituel. Vraiment très fort ; on voudrait juste être présent. Bravo ! Luz |
Davide
16/9/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour krish,
Ce poème brille d'une forte "présence", à la lisière de l'univers des contes et des légendes. Il y a d'abord les verbes d'action, nombreux et tellement évocateurs, qui enrobent d'un voile de mystère ces guérisseurs de ces "collines aux cœurs purs" : "bousculent", "chahute", "fécondent", "appelle", "enroule"... Puis il y a la nature sous un clair de "lune" éblouissant ; ces rituels aussi fascinants qu'impénétrables convoquant les forces du divin et l'esprit des éléments : "braise"/"lave", "air", "eau", sans parler du "ciel", de "l'encens", de "l'aube" etc. Sans conteste, la poésie nous parle à voix susurrée. Il n'y a rien que je n'ai pas aimé, tout sonne juste, jusqu'à la délicieuse musicalité des vers. Ah si, une petite réserve peut-être sur cette forme en bloc quelque peu rebutante. Merci krish, Davide |
troupi
4/11/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Il n'est pas simple pour un non initié de saisir un sens à ce poème mais cela n’empêche pas de voir la beauté des images, la finesse des métaphores qui émaillent ce texte.
Je pense qu'il aurait gagné à être présenté sous une forme plus étirée, peut-être en supprimant les "." et en laissant un espace entre les phrases, offrant ainsi au lecteur une respiration propice à l'introspection. Ce genre d'écriture l'accepte. "Sous le feuillage tendre des épistyles noueux les légendes des femmes à la peau arc-en-ciel bercent le beurre des calebasses et des rameaux d'enfants." Quelle belle image loin des clichés habituels. |