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Anonyme
15/3/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Alors ceratians vont dire ce vide ce vide qui se répète, c'est lourd... Je ne trouve pas, même seul le vide est lourd... et là il est criant, urgent de le combler... Ces mots me parlent oh combien...
Le vide le vide il faut combler le vide... Juste un regret, mais c'est ton choix assumé: tu aurait pu jouer avec l'espace, combler les vides de la feuille en renforçant la portée "visuelle" du texte... Un tout petit bémol donc |
allant-vers
15/3/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Le vide prend toute la place, jusqu'à l'oppression, jusqu'à l'obsession.
Tes mots expriment très bien l'angoisse et ce besoin compulsif de le combler à n'importe quel prix, sans réflexion. Mais comme rien ne saurait combler le rien, c'est le vide qui a le dernier mot. J'aime beaucoup. |
Anonyme
15/3/2009
a aimé ce texte
Bien
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Celui qui vit ce vide, je le plains. Ce ne saurait être ton cas, puisqu'au moins tu as cette conscience de ce que la vacuité appelle à de bizarres remplissages.
J'aime le rythme de ce poème, cette liste comme des coups de marteau, le mot "vide" répété, jusqu'à l'écœurement, un peu comme une régurgitation violente. Je ne suis pas certain pourtant que le texte aurait gagné avec quelques espaces. Je crois que c'est un souffle... un seul. |
lotus
15/3/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Il faut combler le vide, certes mais pas avec "le vide".
Le côté répétitif rend la lecture pesante, dommage. Cela manque de mélodie justement.Peut-être est-ce cela que tu as voulu faire ressentir aux lecteurs ? Cette sensation de vide? Quelque chose me manque...dans cette lecture. J'ai cette impression de vide. |
xuanvincent
15/3/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bien triste (pour ses idées), j'ai pensé, ce poème...
Sinon, j'ai trouvé que ce poème se lisait bien. La forme, une strophe ininterrompue, jusqu'à la répétition finale du terme "le vide), a retenu mon attention. |
Anonyme
15/3/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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J'aime assez cette litanie. Pas bouleversé quand même... Et puis tu as oublié le vin.
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Raoul
15/3/2009
a aimé ce texte
Un peu
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J'aime bien l'idée de départ, le choix du style, l'essoufflement de la lecture comme une crise de spasmophilie… mais pour moi il y a trop de poncifs.
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jensairien
15/3/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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j'aime bien le rythme et l'énergie de ce poème et la rage évidente qui sourd d'entre les lignes
sinon sans doute, je dirais comme BBL que ce n'est pas bouleversant non plus. on pourrait dire facilement que c'est voulu mais les images utilisées sont assez vides, n'évoquent pas grand chose. |
Anonyme
15/3/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Le répétitif est loin d'être monotone, c'est le vide actif... A la fin de ma lecture j'ai entendu quelque chose comme un écho et je voulais que le poème continue...
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Flupke
15/3/2009
a aimé ce texte
Bien
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L'angoisse est bien ressentie et la répétition du "le vide" fait résonner l'écho qui suggère aussi le vide.
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FredericBruls
15/3/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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Un chant obsédant, construit sur une trame unique et répétitive.
L'angoisse est assez bien rendue, grâce à la monotonie des vers. Un poème qui pourrait devenir une chanson assez intéressante, avec cette anaphore "il faut combler le vide" qui sonne comme un refrain. |
myrtille
18/3/2009
a aimé ce texte
Bien
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Il faut combler le vide avec tout ce qu'on trouve, des mots, des notes...
Beaucoup de répétitions, le vide, mais aussi l'âme qui revient tout le long, je ne crois pas que ça me dérange à la lecture |
David
19/3/2009
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Kullab,
Simple et efficace, ça parle aussi de musique je crois, ou de silence, enfin d'air et de matière, un poème de Danaïde, c'est sûr... |
Anonyme
14/5/2009
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Pourquoi vouloir combler le vide ? Le vide est nécéssaire pour l'obtention de la forme.
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Anonyme
9/5/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Je suis tout de suite rentrée dans l'écrit, des deux pieds, cela vous attrape par la résonance frappante et martelant de ce "vide", craint, redouté, la peur du vide, au sens propre comme au sens figuré, je le perçois ici pleinement.
Parfois cela en devient obsessionnel, il est cette attention de tous les instants, pour ne pas le laisser avoir une quelconque place. Cascade mots pour le dire, pour le formuler, enfin de compte le concrétiser, c'est étrange comme je ressens votre écrit, il m'est très parlant. |