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Lulu
4/7/2015
a aimé ce texte
Un peu
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Je n'ai vu le jeu de mots du titre qu'au moment de rédiger mon commentaire. C'est bien vu.
Après lecture de ce poème, j'ai pensé que le narrateur se parlait peut-être à lui-même, s'exhortant à écrire autre chose... J'ai trouvé le texte sympathique. On retrouve quelque chose du slam en court, avec ses rimes suivies. J'ai trouvé mignonne l'image de "La piscine municipale et sa javel sans eau"... Parler "d'herbe verte", sortir du milieu proprement urbain... Pourquoi pas ? Mais la ville est aussi une source inépuisable d'inspiration. Elle inspire nombre de poètes, et pas seulement les slameurs. Enfin, en relisant ce poème, je me rends compte qu'on se perd un peu dans les pronoms... Il y a le "tu" et le "je"... cela, je l'ai bien saisi, mais il y a confusion avec le "on" qui d'ailleurs passe au "nous" sans que cela ne soit justifié. Ainsi, avec le "on", je me demande qui parle dans "on manque de fric" par exemple... D'où l'impression première que le narrateur (ou le slameur, puisqu'il s'agit d'un petit slam) se parle à lui-même... |
Vincent
5/7/2015
a aimé ce texte
Bien
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déjà le titre
un slam'di sur la terre les ados de la cité ne parleraient pas comme cela cela ne s'invente pas d'être de ces banlieues Moi, j'rêve de t'embarquer dans ma virée Loin d'ce bitume, et des tours d'la cité Décoince, rends à tes pieds leur liberté ils aiment le coin où ils ont grandit chacun aime le coin où il a grandit je pense donc je ne suis pas d'accord avec le fond le texte est bien écrit j'ai bien aimé |
Pimpette
26/7/2015
a aimé ce texte
Passionnément
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"Nos poches sont trouées, il nous reste les mots
La piscine municipale et sa javel sans eau" Humour de tout ce texte autour d'un vrai sujet...le slam est-il condamné à raconter la ville, les troquets médiocres, le bitume et les tours de la banlieue? Non...viens tester les chatouilles du sable devant la grande bleue... ce sera très chouette aussi! Intelligent et poétique. Un beau texte. |
Robot
26/7/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une poésie libre légèrement slamée. J'ai surtout apprécié le fond. A dire plutôt qu'à lire. "Viens tester les chatouilles du sable" Belle invitation je trouve. "Nos poches sont trouées, il nous reste les mots" a l'oral ça passe bien.
La preuve qu'un slam peut être poétique. |
papipoete
26/7/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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bonjour kyrielle; au poète qui slame ses vers au comptoir, au milieu d'un mot apostrophe, un " keum " venu d'ailleurs lui crie de s'tirer d'son bitume, d'sa cité.
Pour voir la mer là-bas et laisser la mère ici. Il voudrait bien, mais n'peut point, ses poches ont des trous, et l'fric n'pousse pas dans l'ascenseur! N'empêche, le slameur rêverait bien d'un coin d'herbe verte ce soir... " c'est une histoire ordinaire, on est tout simplement, tout simplement un samedi-soir sur la terre " chanterait Cabrel ou un autre jour? Sur les arpèges de Francis, je fredonne votre poème, ça lui va bien! |
Anonyme
26/7/2015
a aimé ce texte
Bien
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Je n'ai pas trouvé de véritable relation avec les scènes ouvertes de slam comme le signale l'incipit mais plutôt une envie de changer d'environnement " Loin d'ce bitume, et des tours d'la cité " pour une plage au soleil " Viens tester les chatouilles du sable, sans vergogne
Au zénith, quand l'Dieu soleil cogne ". La forme est tout à fait adaptée pour un rap. |
wancyrs
26/7/2015
a aimé ce texte
Bien
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Pas une vraie réflexion non ? je dirais un avis... mais bon ! C'est un peu court je dirais, on a à peine ouvert la bouche que tout est englouti sans rien d'autre pour bourrer la panse, c'est dommage car j'aime bien ! Vous ne voulez pas en faire un vrai slam ? genre conversation avec réplique du gars de la scène ?
Wan |