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Pimpette
11/11/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
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OUI!J'aime les mots de vous!
Bonne idée bien langagière et bien exploitée! Simple et plaisante....joyeux... et triste parfois...comme la vie...et j'aime qu'un poème s'inscrive bien dans la vie. Je sens que j'aimerais bien l'auteur de ce texte si je le croise qq part! POurquoi pas'cadeaux' le mot d'la fin??? |
Anonyme
12/11/2012
a aimé ce texte
Bien ↑
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Exercice de style qui rappelle "les petits papiers" de Gainsbourgh. C'est d'ailleurs presque écrit comme une chanson avec syncopes et apocopes. Inégal dans la construction (c'est difficile d'être bon partout; de bons jeux de mots, mais on a droit aux "mots maudits" habituels, et "le monde con à en vomir" est inutile) et avec ce que je me demande n'être pas une métaphore filée sur "Noël en quatre planches", parce que sous quatre planches en sapin c'est bien la mort qui rôde et qui pourrait imposer le silence final.
Le parallèle bonheur / malheur souligne bien la politique de l'autruche que la période permet. Mais je reste encore bloqué sur (et pas dedans) ces quatre planches. BD ? |
kamel
16/11/2012
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour
Une belle caricature se joue dans ce poème pour définir ces mots, une exposition sous forme de vers peint ce tableau à l'aide de mots divers, parfois fins, parfois découpés, en agglutination ou encore en adjonction pour montrer le bel aspect de leur composition et leur morphologie. Les mots sont mis en jeu par l'auteur pour leur donner une valeur distinctive dans ce paysage. Merci pour ce jeu. |
brabant
30/11/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Lagomys,
Bercé par ma lecture, enchanté en progression, ravi et conquis et amusé, j'me disais : 'Sont bien sympa ces mots !' et puis SPLASH ! j'arrive aux "mots de trop", j'me fracasse je veux dire ; m'a encore roulé dans la farine ce Lagomys. "Misère..." Ben Oui ! "Souffrance..." Ben oui ! "Solitude..." Ben oui" ! "Indifférence... ! Ben Oui ! 'Chuuut ! Chuuut ! Chuuut !' et plus de voix '... !'... l'a pas bientôt fini de casser mes jouets, de désemplir la hotte aux cadeaux Lagomys !... peux respirer maintenant ?! "Encore un coup sous le sapin, Ce s'ra 'silence' le mot d'la fin !" Ben non !... l'avait pas fini ! De la gouaille pour dénoncer l'égoïsme et la faux-jetonnerie ambiantes. Texte salutaire. "Ces mots, nos jouets" : Bien vu le titre, polysémique, nos jouets pour nous jouer des autres. Suis plutôt pessimiste en l'occurrence et ne me risquerai pas aux jeux de mots dans cette matière. Il y a du pamphlet dans ce poème ! Bon je suis d'accord pour défiler et porter une banderole... mais bouche cousue hein ! :((((((( |
Artexflow
30/11/2012
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Une très très grande réussite ce poème qui prend par surprise !
Vous savez quoi au contraire de brabant je n'aimais pas vraiment le début que je trouvais simpliste, enfantin mais pas dans le bon sens du terme. Et la conclusion m'a retourné ! Je me suis dit : "Aaaah, le salaud ! Il m'a roulé dans la farine le coquin !" Vous m'avez roulé dans la farine, ouais ! Bravo, je m'y attendais pas ! Super conception donc, bravo. Il est bon ce texte, vraiment, le Noël en quatre planches suivi des quatre quatrains/cadeaux blanc et noir... Au top ! Je note très bien + ! |
Labrisse
30/11/2012
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Commentaire modéré
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Anonyme
30/11/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
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Salut Lagomys. J'aime les mots quand, comme ici, ils sont employés à bon escient.
Ces mots d’un clic, ces mots ludiques, Ces mots qu’on brique et qui s’imbriquent... Conquis d'entrée l'Alexandre par ces mots qui s'imbriquent si bien du début à la fin avec quelques préférence comme... Puis il y a les mots de trop : Les mots couchés dans le métro, Les mots cassés, les mots cachés, Dits sous la main pour pas fâcher. De plus tout ceci sur un rythme sans faille, de la bel ouvrage Lagomys. Merci pour ce bon moment Ps Juste un détail, je n'ai pas compris les quatre planches. |
Arielle
2/12/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
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En dépit de son rythme allègre, mené tambour battant sur quatre temps j'ai d'abord pensé à un Nième poème sur le langage et ses jeux, le titre lui-même ...
Je me suis fait piéger comme tout le monde et sous les "froufoutaises" j'ai soudain découvert plus de profondeur et d'empathie que je n'en aurais attendu. Touchée, émue par cette façon de réveiller notre indolence ! "Ce s’ra silenc' le mot d’la fin !" Sans illusion ! |
Anonyme
2/12/2012
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Lagomys,
Très joli texte qui m'a fait d'abord penser à la chanson de Gainsbourg chantée par Régine "Les petits papiers" mais ici le ton est grave ; il ne faut surtout pas déranger les agapes de Noël et empécher les gens de consommer. A t-on encore le droit de faire la fête parmi la misère ambiante ? Texte très musical, qui clique, claque, cliquète comme une souris dont a remonté la clé et dont la fraîcheur est toujours présente. Merci pour cette lecture. |
placebo
2/12/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
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Il m'a fallu plusieurs lectures pour commencer à apprécier ce texte, que j'aime beaucoup désormais. Il y a le rythme bien présent (on pense effectivement à une chanson), ces quatrains filant des métaphores, et cette fin avec un joli retournement de situation.
Bonne continuation, placebo |
fugace
9/12/2012
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Magnifique jonglerie, magique!
"Ces mots, nos jouets": c'est la vie qui joue de nous, certains sont perdants. A ceux-là sont destinés "les mots maudits de l'hiver". Superbe approche d'un thème largement exploité: ça nous prend, nous emporte, nous laise " cassé" sous le sapin... Mais il n'y a pas un mot de trop. |
Lagomys
9/12/2012
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Anonyme
23/2/2018
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Je vais commencer par ce qui m'a "embêté" ; ce sont ces "qu'on" (5) dont 2 proche dans la même strophe ; ces " quand, qui " et pour finir l'emploi important du nom commun "mots". A force cela atténue leur portée, leur jeu.
Autre maladresse, flouant une bonne idée, "les mots" - "ces mots" s'inspirant de "nos jouets". Avec outrance, vous vous êtes polarisé sur le mot "jouet", il aurait fallu plus en jouer, être moins évident. Des formules loin d'être très jolies : - "Quand c’est Noël en quatre planches" - "Quand l’enfant do sur sa paillasse." - "Le monde con à en vomir." - "Minuit fretin se f’ra sans Dieu." - "Qui sont gommés du bout d’la botte." Ce texte est un panaché de bonnes et de mauvaises phrases, je n'arrive pas complètement à l'apprécier en sa totalité. A mon avis ce poème serait à améliorer. Cependant les mots restent parlants. J'ai lu vos "remerciements", je reste pensif, mon ressenti a été tout autre, pas aussi "profond", c'est en rien probant, j'avoue être passé complètement à côté. |