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Robot
31/1/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Il est de ces moments où l'on navigue entre déprime et espoir. Voilà pour le ressenti sur votre poème.
J'aime ce "ou colorer ma vie" final qui semble dire que le choix de réagir au mal-être est aussi en nous même. J'ai beaucoup apprécié votre dernier paragraphe ou l'on sent l'hésitation entre soumission au chagrin et envie de revivre. |
leni
15/2/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour lalalode
Ce texte prend le train C'est la ligne:petite déprime-espoir Et ça sonne juste Il y a des jours où l'on fait composter sa vie Et ça repart A Montparnasse il y a la rue de l'arrivée et la rue du départ Bravo pour cet écrit sincère Faut colorer sa vie LENI |
Pimpette
15/2/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Tout est dit par très bonnes images successives....sans explicetions ni blablas!
C'est ça que j'aime! On est bien en poésie! Par exemple: "Le cri des pneus usés des vieux tacots Sur la chaussée larmoyante D’une nuit trop arrosée Brouille les pensées." Tout est de ce tonneau là et c'est vachement agréable! |
costic
15/2/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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J’ai beaucoup aimé le début de ce poème. Instantané juste et précis. Des images simples, claires, se superposent et touchent.
La fin sonne comme un appel vibrant et sensible. Le rythme un peu lancinant nous entraine dans le sillage de ces pensées contradictoires et vagabondes. |
senglar
15/2/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour lalalode,
Bon, ben, ni plan-plan ni tran-tran ce train semble dire au poète de ne pas sauter : "... des visages des sourires Sourires vierges de souvenirs défilent..." Il y a plein d'espoir là-dedans... Non ? Le titre est explicite : "Oubliées, les valises" Y compris celles que l'on a sous les yeux (lol) Je vous attends quand même dans un registre plus gai :) Ecriture sûre et assurée. brabant |
Anonyme
16/2/2014
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Lalalode,
Quand on commence un poème par une brève de comptoir à la Pierre Dac : " Ma mine de charbon " , difficile ensuite d'avoir du vague à l'âme. Le sourire de plomb accroché au zinc est la deuxième couche du calembour précédent. J'ai donc été surpris de la rhétorique beaucoup plus convenue des wagons suivants, surtout la dernière strophe avec ses "tableaux verdoyants" très 17e siècle. Mélanger les registres n'est jamais chose facile. On sent une volonté de décrire, mais pas d'ongles pour gratter le fond. On reste à la lisière de ce qu'on veut exprimer. Et si la routine de cette vie se nourrissait de la routine des mots ? Sur un autre point, la ponctuation n'est pas suffisamment rigoureuse. Certains vers comportent des virgules à la fin, d'autres non, alors qu'il en faudrait. Exemple : " Prendre un train en marche Entrer dans la transe de sa musique" Mon avis irait plutôt vers une suppression totale de la ponctuation, mais sachant cette idée minoritaire chez certains publics, alors je vous invite à rajouter plein de virgules, car en l'état la construction n'est pas achevée. Lalalode, vous êtes très modeste dans votre présentation. Vous dites vouloir "tourner le dos à vos peurs et vous jeter à l'eau, peu importe la critique". Si vous le faites et que par bonheur vous n'ayez pas encore sombré, vous méritez largement que je vous lance une bouée. Ludi, formé par Pamela Anderson (Alerte à Malibu) |
Purana
17/2/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonsoir Lalalode,
J'ai beaucoup apprécié la lecture de ce poème, surtout à haute voix. Vos vers déterminent magistralement les moments de respiration. Bravo ! En vous lisant, je n'ai pas eu besoin de ces ponctuations, mises ici et là. Pour moi, c'est cette indépendance de la ponctuation qui distingue la poésie libre de la prose. Parfois, en lisant des "poèmes libres", je me demande s'il ne s'agit pas d'une prose mise en colonne, ce qui n'est pas du tout le cas avec ce poème. Une chose est sûre : votre texte mérite d'être un poème : Je trouve que vous avez réussi à écrire un poème qui chante doucement grâce au rythme qui semble être né tout naturellement alors que le reste du contenu de votre texte était créé. Cordialement, Purana |
Anonyme
1/3/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Puisqu'à Oniris, le vouvoiement est de mise, je transgresserai.
Comment ne pas aimer la musique de ta langue? Simplement, tu laisses venir tes pensées embrumées, échapper ta voix éraillée avant l'éclat joyeux d'une décision prête à surgir du brouillard ( colorer ma vie). J'ai envie de suivre tes pas (en poésie )pour être là quand tu prendras ton envol.. Mcsolex Pardonne moi les parenthèses! |
chVlu
1/5/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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j'ai perçu la morosité de l'être dans l'ambiance plus légère du bistrot et apprécié la mise en miroir, puis ce regard filtré qui observe la rue. Je "regrette" que le tagada (musique-musique, contrées-contrées, ...) des joints de rails (non stupéfiants) ne file jusqu'au dernier moment d'un saut de l'ange retrouvé plus flamboyant ou plus re-avalé je ne sais.........
Beaucoup d'idées suivies qui me laissent en même temps la sensation d'un plus abouti presque là. bravo |