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Anonyme
7/7/2013
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Que voilà un bien joili texte métaphorique à souhait, aux sonorités musicales, empli d'une forme de douce mélancolie émanant d'une vision qui touche aux plus beaux sentiments qui puissent être éprouvés : l'attente de l'autre, d'autre chose, le besoin d'aimer et d'être aimé, la déception d'être finalement extérieur à ce à quoi on voudrait se fondre. Il y là quelque chose de platonicien.
Juste une réserve dans l'expression de ce désir de fusion / l'emploi qui me paraît excessif de la forme pronominale (se...) dans la dernière strophe qui donne au discours un côté familier, presque négligé, d'où le moins. Merci pour cette belle lecture. |
Anonyme
18/7/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour
Très joli texte, ce pas de l'autre que l'on devine et qui n'est jamais comme le nôtre. Bel écrit sur la différence, finalement. Bien à vous. |
brabant
18/7/2013
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour Lapsus,
Il paraîtrait que nous aurions un troisième cerveau, à ceux de la folie et de la raison, il faudrait ajouter celui des comportements imitatifs, c'est sans doute dans ce sens qu'il faut comprendre la citation de Lacan, ce que me semble confirmer le poème, bien construit et plutôt brillant à mon sens, dont ressort au final une tonalité pessimiste, ce pas de l'autre, même si on le voulait, on ne pourrait pas y atteindre. "Le ciel est noir" chantait Nana Mouskouri, et le raisin mûr de la treille éclate pour mieux pourrir. Je me pose une question : Mais qu'allait donc faire Paul à Damas ? Et je ne suis pas d'accord avec vous, nombreux sont les chemins qui y mènent, à en perdre celui de Rome. Bon, pas trop convaincu par la thématique "tango" du texte : "un pas en avant, deux pas en arrière", je penche plutôt pour le pas de deux, l'existence à mon sens c'est plutôt cela, que l'autre veuille ou pas. Ben voilà lol Edition : J'avais tiqué aussi sur ce "On se..." voulu triplement dérisoire, mais quand même... |
Robot
18/7/2013
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Joli texte, d'une belle écriture.
Avec quelque lyrisme comme ce "pas de l'enfant fuyant l'enfance ou le pas de l'autre est parchemin mais qui n'est jamais le nôtre". Ce pas de l'autre qu'on voudrait peut-être inconsciemment aligné sur le sien. Mais reste la question qui vient à l'esprit à la lecture de votre poésie: Qu'adviendrait-il si tout le monde marchait du même pas ? Certes, on pourrait réaliser plus ensemble, mais faut-il prendre le risque de la pensée unique qui viendrait à guider le "bon" pas. Voilà où votre texte a conduit ma réflexion au delà de ce qu'était peut-être votre intention. Reste qu'au final votre poème m'a plu. |
Sansonnet
19/7/2013
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Un délice à lire à haute voix.
Une image globale de ce qu'est le pas vers l'autre, si vrai à mes yeux. Mon heurt vient de Damas. Y'a-t-il une précision, un lien historique, géographique (ou que sais-je encore !) par rapport à ce texte ? Car j'ai l'impression que c'est une référence prise "au hasard". Du coup, ça fait tomber un peu l'envolée lyrique que me proposait gracieusement votre beau poème. Bref, j'ai beaucoup apprécié. |
Miguel
19/7/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je n'analyse pas : je reste sous le charme d'une première lecture si mélodieuse : Quels beaux vers ! Quel chant ! Et si je n'analyse pas je n'en ai pas moins compris le message, grave et humain, qui nous concerne tous. De la philosophie en poésie, ce n'est pas toujours une réusiite ; ici, si !
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TheKid
8/8/2013
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Une lecture des plus plaisantes sur une idée qui donne envie d'écrire.
Ici philosophie et poésie font le miroir d'une seule quête...se retrouver en l'autre. mes félicitations |