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Anonyme
7/4/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Oui... Pas du super Larivière me semble-t-il. Bon l'entame, sans plus. Habitué à la verve de l'auteur, je demeure un peu la lisière de l'émotion. Je vais retenir "les pavés résonnent comme des peaux mortes". J'ai trouvé certaines autres images un peu tristounettes. Aller quoi, merdre!
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Anonyme
7/4/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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C'est limpide, c'est clair, c'est triste, sans pathos excessif.
J'ai bien aimé, mais j'en voulais plus! Une arrivée, un départ. C'est court. Développez, délabyrinthez vos sentiments! Parlez de l'espoir qui nait du retour d'exil! Evoquez la déception de ces non-retrouvailles! |
clementine
7/4/2009
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J'ai aimé ces quelques mots inattendus de Larivière.
Simples, épurés et sombres ils nous font partager cette infinie tristesse que nous narre l'auteur. Le retour vers "un paradis perdu", l'absence du seul être qu'on voulait y retrouver. Seul le dernier vers me choque un peu, non dans sa signification mais dans sa sonorité. (ou alors c'est de la déformation professionnelle...) Touchée. Merci Monsieur Larivière. |
nico84
7/4/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bien mais par rapport aux différents textes que j'ai lu de toi, c'est bien en dessous.
Je me rapelle encore de ses longues phrases, et de cette nouvelle géniale. Que le vrai Larivière revienne. Je ferme cette parenthése. Sur le texte en lui même, il ya quand même la phrase que notrac a relevé que j'apprécie et aussi la fin. Je sais que tu peux faire mille fois mieux, tu as tant fait vibré, on attend beaucoup de toi mais je sais que tu reviendras, la talent ne se perd pas. A bientôt. |
Anonyme
7/4/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Magnifique, en fausse légèreté, un texte qui exprimme si bien le poids du vide, de la solitude...
Ce greffé est superbe et très fort... la solitude greffée au corps, attachée qu'on ne peut pas retirer sans une intervention lourde... je vois dans ce greffé le moment fort, l'image lourde ... Magnifique ! |
xuanvincent
7/4/2009
a aimé ce texte
Bien
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Les images, la fluidité de ce poème m'ont plu.
J'ai trouvé ce poème émouvant et, pour une fois assez facile à comprendre. La structure du poème, ce vers isolé, après la succession ininterrompue des vers précédents, a retenu mon attention et m'a paru mettre en valeur ce dernier vers. Il ne s'agit sans doute pas là, pour rebondir sur les paroles de notrac, du poème le plus original, le plus singulier de Lariviere mais malgré ou peut-être pour cela, il m'a plutôt plu. |
FredericBruls
7/4/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Alors là, je suis très étonné. Nous sommes loin des fragments et de leur férocité stylistique. Délaissant la verve ducassienne, Larivière revisite le célèbre (et sublime) vers de Lamartine. Cela prouve une chose : Larivière a une grande tessiture de voix, et c'est heureux.
Un seul regret : les deux "comme" sont assez proches et "accrochent" un peu lors de la lecture à voix haute. J'ai adoré le dernier vers. |
Anonyme
7/4/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'aime vraiment cette forme épurée où tout est dit en quelques vers aux mots simples mais qui suffisent amplement.
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Anonyme
8/4/2009
a aimé ce texte
Bien
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J'avoue que je suis beaucoup plus réceptif à ce genre de poésie sincère, simple et chantante qu'à tes fragments.
J'ai aimé. |
Marite
9/4/2009
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Larivière. J’ai aimé ce poème très humain et sans mot inutile. On comprends facilement l’émotion qu’il contient. Je n’ai pas vraiment pris le temps de prendre connaissance de vos publications sur Oniris. Je n’ai en mémoire que le très long commentaire que vous aviez fait sur ma nouvelle « C’était écrit ». Ce poème me donne envie d’aller fouiner dans vos textes publiés. Marité
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thea
15/4/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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j'ai lu à voix haute , su ce que je voulais savoir, ressenti l'essentiel. J'ai aimé ma lecture.
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Anonyme
18/11/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Retour d'exil, mais il ne reste plus que l'ombre du passé ...
Un texte aux vers courts et forts qui font ressentir douloureusement le poids de cette solitude. J'ai bien aimé le passage de l'infinitif à la personnalisation avec ce "Mais toi". J'ai moins apprécié le vers "que jadis on connaissait", un peu plat à mon goût. Le dernier vers tombe avec une grâce pesante (oxymore, je sais ;-)) qui clôture joliment ce poème. |
Anonyme
2/7/2010
a aimé ce texte
Bien
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7/04/2009
Moi j'ai aimé. c'est assez épuré, c'est court et ça va direct au but... J'aime cette impression d'arriver quelque part et d'avoir besoin de s'y sentir bien... et puis un seul être manque... ça me rappelle... bon c'est con je sais mais je suis sortie avec un forain quand j'avais 13 ans et puis quand j'ai eu 14 ans j'ai voulu le retrouver... mais son manège avait déménagé... Bref... Merci moi j'aime le poids de la solitude greffée... l'impression de froid malsain qui se dégage de ces quelques mots... |