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Cyberalx
1/9/2007
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Ce morceau là, il me fait penser à du Hubert félix thiefaine.
Une critique constructive ? Je n'ose même pas y penser, ça me fait voyager, sourire et c'est inspirant : pour moi, c'est l'essentiel. |
Bidis
1/9/2007
a aimé ce texte
Passionnément ↓
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"les espoirs et les projections fondent comme neige au soleil et l’atmosphère se charge et se plombe et s’échoue dans les essais malheureux du futile."
Pourquoi, pour arriver à ce pur moment ais-je un peu peiné, je ne sais pas. Mais quand c'est un texte de Larivière, je remonterais tous les courants... Je mets une note pour qu'avec des plumes le texte s'envole vers d'autres lectures. |
Pat
19/12/2007
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Anonyme
3/3/2009
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Merci pour ce voyage.
Sincèrement désolée pour ce commentaire qui ne t'apprendra rien, sinon qu'ici, j'ai lu. Et aimé. |
FredericBruls
3/5/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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J'ai trouvé ce morceau moins magnétique que les précédents, moins gorgé de sève métaphorique. Surtout dans la première partie. Ceci dit, cet opus a le mérite de la clarté (si j'ose dire !). Critique de la société de consommation, qui nous vend des rêves et des voyages bon marché loin, bien loin, mais qui nous laisse en rade, nous, voyageurs de l'absurde, dans les couloirs de notre solitude.
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jaimme
10/10/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Oui, mais parfois: "la banquise nous creuse les joues, l’ouragan prend son rythme de croisière.." nous emporte vers l'inverse.
C'est ça la beauté de cette putain de vie! Heps: toujours superbe! PS: et effectivement les voyages organisés... |
Anonyme
2/7/2010
a aimé ce texte
Bien
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12/4/2009
moi étrangement je n'ai apprécié que la fin. à partir de Cloués sur les ternes reliefs du quotidien. Je retrouve ici la substance des premiers fragments. Je suis plus dans l'évasion. au sens onirique du terme, ce qui est étrange puisque tu parles d'insomnies... je sais pas... j'aime la dernière phrase... beaucoup. un petit retour au temps qui passe... du dépit... de l'impuissance aussi peut-être dans tout ce vouloir... Merci encore, désolée pour la note qui ne dénote que mon bof pour la première partie... parce que je t'ai dit hein que la fin je kiffe.. Es |