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daphlanote
9/9/2007
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Du bon, joli.
J'ai aimé, pour les quelques secondes qu'il m'a fallut pour le lire. Mais un goût de trop peu. "Équerres de mots entre présage et impression". Ca et les deux dernières lignes. A creuser. |
Pat
19/12/2007
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strega
28/4/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Oui, pour le coup, je suis assez d'accord avec daphlanote, c'est presque trop court, même si tu en dit énormément. C'est dommage, pour l'amour de qui tu voudras, ne sois pas hermétique...
En revanche, j'ai beaucoup pensé à la "Perte d'auréole" encore et encore. Ce besoin impérial que le poète a d'être dans le vrai, dans tous les sens du terme. LE vrai des sentiments, de la vie, des hommes, de ce qui l'entoure. Et non pas de s'enfermer dans cette tour d'ivoire qui le met bien à l'abri de tout. En fait, c'est peut-être ça l'hermétisme finalement, se couper de tout... "Fascinés et aveuglés par les promesses brûlantes des oracles, nous essayons de réduire l'écart du terre à terre entre nous et le soleil..." J'ai un faible pour le fond du fond de ces vers. Même si c'est indissociable du reste... En ce qui concerne le premier vers, c'est bien révélateur, et tellement honnête aussi. Nous sommes tous dans la même galère, ou barque selon les cas, et toi Larivière, tu rame à notre place. Tout ça sans jamais juger ou commander, c'est vraiment très fort... |
jaimme
10/10/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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Ou nous n'aimons pas la vie parce qu'elle n'offre pas assez de vertige... C'est selon.
J'aime la dernière phrase. Pas l'avant-dernière. Le mot "vérité" me révulse. Là encore j'aime moins. |
Anonyme
2/7/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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12/4/2009
ici c'est dans le choix des mots que le poème est bien réussi. Je note ce caresse qui se promène seul... et l'outre monde... Equerres de mots entre présage et impression... J'aime la première phrase. qui résume à elle seule toute l'essence de l'Homme avec un grand H. étonnant comme c'est la première fois que je suis dérangée par le nous... j'aurais voulu un je peut-être? Oui. Pour que ça soit plus Icarien. Que tu... enfin non les fragments sont de nous pas de tu... alors je me tais. Contrairement à Daph, j'aime moins les deux dernières phrases, un rien euh... comment l'exprimer... un rien facile dans l'ensemble, un rien plus détaché (enfin c'est mon ressenti) pas incongru mais déjà trop "généralisé" pour que ça me touche. J'aurais aimé une autre métaphore... tant pis pour moi. Mais j'aime beaucoup... malgré elles. Es |