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Pat
19/12/2007
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Pat
10/4/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Soleil noir au coucher éphémère… Même l’espoir garde l’amer de la mémoire et l’excessif des émotions. Futile anesthésie, même si elle est quelquefois nécessaire. Question de survie, parfois.
Les images sont violentes, tranchantes, terriblement intimes… et chaotiques… Aborder ce genre de rivage ne peut laisser indifférent… comme souvent avec Larivière. Ça s’entrechoque, mêle des extrêmes qui finalement sont indissociablement liés comme les deux faces d’un miroir… qui n’en forment sans doute qu’une. Je suis, évidemment, toujours troublée par cette écriture aux contrastes si évocateurs… si poétiques… dont la musique résonne profondément comme ces « effroyables mélodies des anges qui se répandent dans les méninges ». |
Anonyme
10/4/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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I n c r o y a b l e !
Rien que le premier paragraphe exige des pages et des pages d'analyse..Je renonce. Ici la poétique est trop forte, elle se soustraie, elle s'échappe par tous les pores du poète et de son verbe. Enigme ? Non pas tout à fait. Une impression de lire du Jabès, mêlé d'un Novalis que visiterait un Foucault devenu poète... J'avais déjà lu tous les fragments. Celui-ci en est un des plus prégnants |
FredericBruls
3/5/2009
a aimé ce texte
Un peu
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Oui, je vais te le dire franchement, Lari. Je n'ai pas aimé le second paragraphe à cause de son effet tunnel. Cette phrase est trop longue. Le souffle perdu, l'esprit s'égare et la magie n'opère plus. Je préfère mille fois (j'exprime mes goûts ; ce n'est en rien une critique), le style lapidaire, des phrases nerveuses, riches d'images serrées. ici, cela frise la logorrhée...
Même remarque qu'Estelle, le doublon est-elle volontaire à la dernière phrase ? Bref, par rapport au reste, c'est un cran en dessous pour moi. |
Anonyme
2/7/2010
a aimé ce texte
Bien
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9/7/2009
Je retiendrai : - les signes et les sermons se serrent sur des espérances en coronaires exacerbant les attentes d’absolu, un torse, une poitrine, un souffle réconfortant qui déconcertent finalement et soudain comme par enchantement d’une clé inattendue trouvant le trou narquois d’une serrure, la délivrance… L’éternité ? Une étincelle portée à bout de bras, inlassablement et soudain à portée de main dans une nébulisation brûlante à l’intérieur… Je me demande si la répétition de désormais est volontaire dans la dernière phrase? J'aime un peu moins que les autres, j'arrive pas à définir pourquoi... sais pas. je noterai après une autre lecture. Chose promise... j'ai moins aimé que d'autres parce que je trouve qu'il y a dans ce fragment un relent de prédicateur de l'apocalypse... étrange... comme une litanie... no se... je suis toujours partagée entre deux axe... j'aime ou j'aime pas trop. il y a tellement de belles et moins belles choses qui se suivent et se répondent... je prendrai le temps de t'expliquer ce qui me perturbe, si tu veux, tu demandes hein... je note donc mon ressenti, mon mitigeage... et je reviendrais relire une troisième fois, j'aurai peut-être encore un autre ressenti..^^ Estelle |