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Pat
19/12/2007
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strega
9/1/2008
a aimé ce texte
Passionnément ↓
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"Orgelets formidables", quel exquis oxymore... Ce texte fait très post-apocalyptique je trouve. Ceci expliquerait peut-être (pour tous les Fragments peut-être, mais je m'avance...) l'explosion totale de la syntaxe et du sens. Certains écrits demandent une participation active du lecteur, comme pour faire vivre l'écrit au travers de l'Autre.
J'ai la prétention de croire avoir saisi quelque chose dans les écrits de Larivière. Ses écrits sont autonomes et chacun peut voir ce qu'il veut dedans. Dans ce texte je suis partagée entre la perte de l'Eden ou justement un épisode post-apocalyptique. Peut-être l'auteur me dirait qu'il parle simplement d'un chien. Mais qu'elle importance en fin de compte. Depuis peu, j'ai découvert Larivière, je ne dirai pas que je suis fan parce que finalement cela ne veut pas dire grand chose. Disons plutôt que cette écriture révèle le langage que je ne garde normalement que pour mon écriture. C'est une discussion interne... |
Anonyme
14/3/2008
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oups ! que fais-je ici... je me croyais sur un forum. pardon.
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Anonyme
27/6/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Un chien crevé...
Couleurs et parfums... Poils mouillés sur l'arc-en-ciel. |
FredericBruls
3/5/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Sentiment mêlé à l'égard de ce fragment. De bons passages, une fin prégnante.
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jaimme
21/10/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Parfaitement d'accord: le bon vieux temps est irréel.
Et d'accord aussi: les parfums sont les souvenirs les plus fidèles. Impressions et faux souvenirs très visuels. On s'arrête, on relit et on espère ne garder que le mot "jasmin". |
Anonyme
2/7/2010
a aimé ce texte
Bien
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23/4/2009
Images fortes, crues, tristesse... Oui, comme un tableau de Bosch... une noirceur qui me parle un peu moins que d'autres fragments. Mais la fin! - Orgelets formidables. Creusent les cuivres des visages sages. Tourmente et phtisie de nos grandeurs. Perle liquoreuse l’exténuation du splendide fatiguée de chercher, l’ébullition magnifique jadis passée sur les nuques. On se souvient, les parfums. Jardin des mille saveurs. Jasmin des yeux et des merveilles. Rien à jetter. Es |